L’ex-président Obama, qui s’est beaucoup démené pour soutenir Biden, est un métis, fils d’un père Noir (Kenyan) et d’une mère blanche (d’ascendance anglaise). La nouvelle vice-présidente des USA, Kamala Harris, est une métisse, fille d’un père jamaïcain et d’une mère indienne (tamoule). Elle est donc moitié Afro-américaine, moitié Asio-américaine (Indo-américaine). Ce qui enthousiasme Marie-Cécile Naves (« Kamala Harris représente l’Amérique métissée »), directrice de recherche à l’IRIS (Institut de Relations Internationales et Stratégiques), un Think tank bien introduit dans les allées du pouvoir. Kamala Harris a vécu à Montréal de 1976 à 1981 avec sa mère, biologiste, qui avait obtenu un poste à l’Hôpital général juif. Lorsque ses parents étaient étudiants à Berkeley, ils ont beaucoup fréquenté les milieux gauchistes qui y sévissaient, y compris les durs comme les Black Panthers.
En France, les bobos se sont pâmés devant le métis Noah, fils d’un Camerounais et d’une Ardennaise. Cet engouement (voyez les pubs à la télévision) n’est pas anecdotique. Il correspond à une idéologie, celle qui veut la disparition des races pour laisser la place à une humanité métissée, issue de tous les croisements possibles et imaginables, qui offrira un terrain propice pour la domination d’un mondialisme exigeant un déracinement général et l’éradication des identités. Le moyen le plus subtil et le plus efficace pour la disparition des peuples c’est le métissage. Faisons confiance à Biden et à ceux qui l’ont mis en place pour appliquer ce beau programme.
Pierre VIAL