Savoir garder de la mesure en toutes choses, par Pierre Vial
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Le Professeur Claude Perrin, dont les travaux dans le domaine de la médecine font autorité, rappelle dans le numéro 83 de la revue Terre et Peuple combien les Grecs, qui nous ont laissé des leçons de sagesse trop oubliées aujourd’hui, se défiaient de l’hybris, c’est-à-dire la démesure, source de bien des maux.
Nous en avons un exemple quotidien sous les yeux avec les réactions suscitées par la crise du Coronavirus. Quand je vois la multiplication des déclarations et prises de position toutes plus péremptoires les unes que les autres, je préfère choisir un silence modeste car je n’ai ni l’intelligence ni surtout la formation scientifique nécessaire pour avoir un avis argumenté pour ou contre telle expérience, telle théorie, suscitant des polémiques comme celle concernant Raoult. Alors même que je suis concerné par l’épidémie dans ma famille et que j’ai donc toute raison de suivre de très près l’évolution de la situation, j’ai dans cette affaire, comme dans bien d’autres, un point de vue purement pragmatique : j’applaudis sans réserve toute solution (je n’ose dire recette) qui peut permettre d’améliorer la situation. Pour lever toute ambiguïté : certains m’ont reproché d’avoir rappelé (comme l’a fait Robert Spieler) certaines affinités de Raoult avec le Peuple Elu, car je considère qu’il est bon de le savoir. Mais cela n’enlève rien à l’éventuelle pertinence de ses choix médicaux et si ceux-ci donnent de bons résultats je serai le premier à m’en féliciter.
Ceci étant les donneurs de leçons me hérissent le poil. En ai-je entendu, au cours de ma vie, de ces « amis » m’expliquer ce que je devais faire ou ne pas faire – sans jamais, bien entendu, bouger de leur coin paisible (on n’est jamais trop prudent, n’est-ce pas). Je m’en suis longtemps scandalisé. Aujourd’hui cela m’indiffère : la sérénité est un don, précieux, de la vieillesse.
Mais mes états d’âme n’ayant aucun intérêt, revenons aux choses sérieuses. Par exemple la mise en évidence, grâce au Coronavirus, de la nullité intrinsèque des politiciens. Un Macron (et ses sbires), un Trump ont commencé par nier l’évidence : ce n’était rien, il ne fallait pas s’affoler. Une Agnès Busyn, elle, avait compris (tout comme Gérard Collomb avant la crise des Gilets jaunes) et l’une et l’autre ont préféré prendre la poudre d’escampette avant l’explosion. Et puis, toute honte bue (mais ces gens-là n’ont jamais honte) Macron, Trump et tous les autres ont proclamé la mobilisation générale. En dramatisant au maximum pour faire accepter par les braves gens des mesures d’exception qui correspondent à ce que Big Brother veut depuis longtemps : une société fliquée au maximum.
Tout cela révèle les vrais enjeux : y a-t-il encore des femmes et des hommes qui veulent vivre libres. Sans vouloir jouer les prophètes, gageons qu’on aura la réponse sous peu.
Pierre VIAL
JUPITER ONE (vidéo humour)
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- Catégorie : ACTUALITE
Dr Montagnier : le COVID serait d'origine humaine
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- Catégorie : GEOPOLITIQUE
Le Docteur Montagnier prix Nobel de Médecine sur le VIH déclare que le COVID 19 serait manipulé !
Bombe atomique médiatique que les média tentent à tout prix de censurer...
C'EST L'INCROYABLE RÉVÉLATION QUE LE PROFESSEUR LUC MONTAGNIER, PRIX NOBEL DE MÉDECINE EN 2008 POUR LA "DÉCOUVERTE" DU VIH
Ce labo de Wuhan d'ou serait parti ce virus a été ouvert grâce à la collaboration de l'INSERM et de Mr LEVY, mari de Mme BUZIN...
Outre cette proximité physique jugée suspicieuse par certains, les déclarations du journaliste italien Paolo Liguori, soutenant que ce virus a été créé en laboratoire, ou encore celle de Dany Shoham, un ancien agent des services de renseignement israéliens, sur le « probable » développement d’armes chimiques chinoises au sein de certains laboratoires nationaux, n’ont fait que renforcer ces soupçons sur le Web.
Faites vous votre avis !!!
Nidhal Tarhouni a violé Jeanne (prénom modifié)
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- Catégorie : IMMIGRATION
Nidhal Tarhouni a violé Jeanne (prénom modifié) dans la nuit du 8 octobre 2017, ont estimé les six jurés et les trois magistrats qui composaient la cour d’assises de Seine-Saint-Denis, à Bobigny. Ils l’ont condamné, vendredi 6 mars, à quinze ans de prison, la peine maximale prévue pour les viols. Le caractère homophobe de l’agression n’a pas été retenu.
Considérant que le prévenu « savait très bien pourquoi elle se refusait : parce qu’elle était lesbienne », l’avocate générale Maylis de Roeck avait demandé au jury d’« avoir le courage de mettre des mots sur les choses » : « 4 % des femmes hétérosexuelles disent avoir été victimes de viol, contre 10 % des femmes lesbiennes. On ne peut pas faire semblant de ne pas comprendre. »
Ce 8 octobre 2017, deux inconnus se rencontrent place de la République, à Paris. Il est 3 heures et demie. Un jeune homme qui dit se prénommer Karim aborde Jeanne, qui est avec l’une de ses amies. Ils passent quelques heures dehors. Karim et Jeanne se plaisent. « Il met son bras autour de moi et je lui dis que je suis lesbienne, a raconté Jeanne, 34 ans, au premier jour du procès. Il remet son bras. Je pose ma tête, il y a quelque chose en moi qui lâche, je me sens en sécurité. »
« Je me souviens de la douleur »
Cette nuit-là, ils rentrent ensemble chez la jeune femme à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis). Jeanne répète ce qu’elle a maintenu tout au long de l’enquête : elle a bien envisagé d’avoir une relation sexuelle avec Karim. Mais après des tentatives douloureuses, elle lui demande d’arrêter. Jeanne voit alors le regard de l’homme changer : « Ah, tu kiffes les meufs, je vais te faire kiffer. » Il l’étrangle. Le viol commence. « Les viols », relève Christophe Petiteau, le président de la cour. Des pénétrations digitales, péniennes, anales ; des fellations ; des coups. « Je me souviens de la douleur (…) Je me suis dit que j’allais mourir de cette douleur », a décrit Jeanne, qui tente trois fois de s’échapper. En partant, l’homme lui dérobe une chevalière et sa carte bancaire.
Les faits ont été commis entre 6 h 35 et 8 h 10. Une heure et demie. Le légiste relèvera de « très nombreuses plaies sur l’ensemble du corps », « une perforation du tympan », une « plaie sanguinolente » au niveau de la vulve et des fissures anales : vingt jours d’incapacité totale de travail.
I-Média n°283 – Coronavirus : intoxication médiatique ou véritable danger ?
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Faits & Documents : l’émission #6 – Coronavirus : le Nouvel Ordre mondial à quitte ou double.
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Le lien de cette passionante émission:
EUROPE, NOTRE PATRIE
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CE QUE NOUS SOMMES - Jean MABIRE
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