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Pillages, incendies, assassinats se multiplient en Afrique du Sud. Routes bloquées, centres commerciaux ravagés (y compris dans le quartier central des affaires de Johannesbourg), camions et voitures incendiés. Comme toujours, les media français minimisent le phénomène et veulent ignorer qu’il a pour origine des affrontements ethniques, comme le souligne L’Afrique réelle de Bernard Lugan. En effet la raison de ces violences est l’arrestation de l’ancien président Jacob Zuma, qui est Zulu. Son fils Dudane Zuma a appelé les Zulu à se mobiliser et l’actuel président Cyril Ramaphosa, très hostile aux Zulu, parle du coup de « conspiration ethnique »… Au passage, les Zulu règlent leurs comptes avec des commerçants-usuriers indiens qui, écrit Lugan, « comme des sangsues vivent aux dépens des paysans zulu ».
Il ajoute : « Ces pillages sont le révélateur de la faillite économique et sociale de la « nation arc-en-ciel » si lyriquement chantée par les naïfs au lendemain de la fin de l’ « apartheid ». Le bilan économique de bientôt trois décennies de pouvoir ANC est en effet désastreux avec un PIB qui ne cesse de baisser (…) Les mines, premier employeur du pays ont perdu près de 300 000 emplois depuis 1994 (…) L’agriculture avait, elle aussi, perdu plusieurs centaines de milliers d’emplois avant le coup mortel porté aux fermiers le mardi 27 février 2018, quand le parlement sud-africain vota le commencement d’un processus de nationalisation-expropriation sans compensation des 35 000 fermiers blancs (…) Aujourd’hui 75% des familles noires vivent en dessous du seuil de pauvreté (…) le revenu de la tranche la plus démunie de la population noire est inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994 ».
En Haïti, l’assassinat du président Jovenel Moïse le 7 juillet, réalisé par un groupe de 28 personnes, a provoqué une situation apocalyptique. D’après un journaliste français, à Port-au-Prince « le chaos est total, les gangs sont partout, surarmés et d’une violence hors de contrôle ». Rien n’est fait pour agir contre l’explosion de la diffusion du Covid 19, qui fait des ravages.
Pierre Vial
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Pass sanitaire, anti vaccins : entre mensonge et manipulation médiatique ?
spécial pass sanitaire
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Le Blocco Studentesco modifie une fresque pro-Black Lives Matter avant le match Belgique-Italie
C’est ainsi que le Blocco Studentesco, syndicat étudiant italien proche de Casapound, répond à l’artiste de rue Harry Greb qui, avec l’une de ses œuvres apparue il y a une semaine Via dei Neofiti à Rome, a invité les joueurs de l’équipe nationale de football italienne à « faire ce qu’il fallait ». C’est-à-dire s’agenouiller devant le mondialisme et se soumettre ainsi à la morale politiquement correcte de Black Lives Matter.
La fresque de Greb représentait un joueur de Subuteo, jeu de plateau mythique, vêtu d’un maillot bleu qui, descendant de sa plate-forme, s’agenouillait, le poing serré levé vers le ciel, « contre le racisme« . Au dos du maillot, on pouvait lire « do the right thing » – une devise qui fait un clin d’œil au film du même nom, réalisé en 1989 par Spike Lee, sur les tensions raciales dans un quartier de Brooklyn, à New York. La fresque est apparue après que les joueurs de l’équipe nationale ont décidé de ne pas s’agenouiller avant le coup d’envoi du huitième de finale de l’Italie contre l’Autriche comptant pour l’Euro 2021.
Le blitz du Blocco
Hier soir, au quart de finale de l’Italie contre la Belgique, les membres du Blocco Studentesco ont répondu à l’artiste de rue.
Le joueur de l’équipe nationale a été redressé, monté sur un piédestal portant l’inscription « ITALIA » et le symbole du syndicat: dos droit, regard vers le soleil, bras tendu – il ne reste aucune trace du poing et de l’attitude de soumission du petit homme de Grebb. « Reste debout » (« Resta in Piedi » en Italien) peut-on lire sur le panneau qui se trouve à côté du footballeur.
« Nous avons suivi le conseil de l’artiste – écrit le syndicat – Il a demandé à faire la bonne chose, non ? S’agenouiller à notre avis n’est pas une forme de respect pour qui que ce soit, mieux vaut rester debout et se regarder en face. »
Traduction d’un article de nos confrères d’Il Primato Naziona
Source : Breizh-info.com, 2021
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