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Sur Twitter, des personnalités de gauche ont prôné le fichage des messages ou des noms des partisans de Donald Trump remettant en cause la victoire de Joe Biden. Des actions de «name and shame» qui suscitent, aux Etats-Unis, critiques et inquiétudes.
Le 6 novembre, quelques heures à peine avant l'annonce par les médias américains de la victoire de Joe Biden à la présidentielle, la démocrate et membre du Congrès, Alexandria Ocasio-Cortez, a rédigé un tweet qui n'a pas manqué de faire réagir dans le pays. La jeune femme, surnommée «AOC» par les médias américains, que beaucoup imaginent déjà future candidate à la Maison Blanche, s'interroge sur la nécessité d'archiver les publications de «ces suppôts de Trump, pour le jour où ils essayeront de nier ou minimiser leur complicité dans l'avenir». «Je prévois de probables suppressions de tweets, écrits ou photos», ajoute-t-elle dans la même publication. Son tweet, dont la virulence témoigne de la déchirure qui divise le pays en deux camps, a été amplement relayé.
Un ancien membre de l'équipe de campagne de Barack Obama, Hari Sevugan, est allé encore plus loin, en faisant la promotion sur Twitter du Trump Accountability Project, dont le but avoué de lister les membres actifs qui soutiennent ou financent Donald Trump ainsi que les membres de son administration. Dans son tweet, il met en garde les employeurs qui accepteraient d'embaucher les membres sur le départ de l'équipe républicaine à la Maison-Blanche : «Leurs potentiels employeurs devraient être conscients des conséquences à engager quiconque a assisté Trump dans sa destruction des valeurs américaines.»
Article complet sur : https://francais.rt.com/international/80701-democrates-qui-veulent-punir-partisans-donald-trump?fbclid=IwAR1pNtjOiJagj35sORrHll6NC_JN25aCZJQRzdFbfS1WsFbpd92qWErbOBE
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Célébrée par les medias comme l’icône de l’antiracisme, Assa Traoré brandissait à Paris le 18 octobre, avec ses complices du Comité Vérité et Justice , une pancarte avec l’inscription « RIP Samuel mort en saignant ». Sa façon à elle de marquer la décapitation de Samuel Paty. Bien entendu les medias ont pris grand soin d’étouffer l’affaire. Mais Boulevard Voltaire a su la faire connaître.
Pierre Vial
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