Eric Zemmour en direct live, c’est fini. Dès ce mardi soir, l’émission de débats « Face à l’info », dans laquelle l’essayiste intervient depuis le 14 octobre du lundi au jeudi, sera enregistrée en fin de journée et diffusée avec un différé de trente minutes, toujours entre 19 et 20 heures.
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Une information révélée mardi par France Info et que la direction de Canal + confirme ce mardi matin au Parisien. « Nous suivons ainsi les recommandations du comité d’éthique », nous indique la chaîne.
Saisi par les syndicats du groupe, le comité d’éthique de Canal + avait rendu public vendredi dernier sa délibération. Il proposait notamment, pour « prévenir d’éventuels manquements éthiques », et assurer « les conditions d’une parfaite maîtrise éditoriale », de diffuser l’émission « en différé, voire en léger différé ». Une recommandation qualifiée « d’intelligente » par la direction du groupe, qui a donc choisi lundi de s’y plier.
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27/10/2019 – 06h00 Nîmes (Lengadoc Info) – Le conseiller régional d’Occitanie et conseil municipal de Nîmes, Yoann Gillet (Rassemblement National), a été victime d’une violente agression physique ce samedi soir à Nîmes. Les agresseurs proviendraient de la mouvance antifa.
Une dizaine d’antifa agressent des militants du Rassemblement National
Ce samedi soir, alors qu’il prenait un verre avec des jeunes militants du Rassemblement National dans un café du centre-ville de Nîmes, le conseiller régional Yoann Gillet a été pris à parti par un groupe se revendiquant comme antifa.
L’élu et les militants du RN ont, dans un premier temps, été insultés et menacés de mort avant que les agresseurs s’éloignent avant de revenir plus nombreux pour les attaquer physiquement. Dans un communiqué Yoann Gillet raconte :
« Quelques instants plus tard, ces mêmes personnes sont revenues avec du renfort (une dizaine de personnes en tout) et nous ont agressés.
L’un d’eux a d’abord écrasé sa cigarette sur ma joue. L’ensemble de notre groupe, composé de 6 personnes, a été frappé.
J’ai pour ma part été jeté au sol et ai reçu des coups de pieds au visage et sur l’ensemble du corps.
L’un de nos amis a par ailleurs été transporté aux urgences. »
Le conseiller régional indique que plusieurs plaintes ont été déposées auprès de la police.
En Janvier 2018, trois militants de l’ex-Front National avaient déjà été sauvagement agressés par des individus se réclamant comme antifa.
Photos : DR
Lengadoc-info.com, 2019, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.
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En Italie, les élections en Ombrie ont marqué un grand succès pour la Ligue de Matteo
Salvini, dont la candidate, Donatella Tesci, a écrasé , avec 57,5 % des suffrages, son
concurrent de la liste Parti-Démocrate- Mouvement des 5 étoiles.
En Allemagne, l’AFD (Alternative pour l’Allemagne) est arrivée en deuxième position dans
les élections régionales de Thuringe. Avec 23,5 % des suffrages, elle double son score du
scrutin précédent et, plus important encore, elle est en tête chez les électeurs de 18 à 59
ans. La CDU de Merkel est en chute libre (21,8 % des voix). Le candidat de l’AFD, Björn
Höcke, représente l’aile la plus identitaire de son mouvement.
Macron a déclaré à La Réunion : « Le port du voile dans l’espace public n’est pas mon
affaire ». Il pratique ainsi la politique de l’autruche car chacun sait que le port du voile est
un signe d’appartenance proclamée à l’islam et donc un défi à tous ceux qui refusent
l’islamisation de la France, qui se fait sous une forme rampante mais aussi sous une forme
provocatrice – car il s’agit de tester la capacité de résistance des Infidèles. Pendant ce
temps, les Gaulois ne font plus confiance au Système en place. D’après un récent sondage
Ipsos, 75 % d’entre eux estiment que les partis traditionnels et les politiciens ne se
soucient pas d’eux. Cette défiance ne peut qu’être augmentée par l’incohérence des
propos gouvernementaux : ainsi Marlène Schiappa, secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité
entre les hommes et les femmes ( ! ), a déclaré : « Je ne suis pas favorable à interdire le
voile dans les sorties scolaires (…) Ce qui est primordial pour moi, c’est de protéger les
enfants du fait religieux dans l’école ». Donc le voile n’est pas « un fait religieux » ? C’est
décidément une marque du macronisme : tout et le contraire de tout.
Pierre Vial
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21/07/2019 – 20h00 Frontignan (Lengadoc Info) – Secouée il y a trois mois par l’affaire Cesare Battisti, la majorité socialo-communiste de Frontignan (Hérault) doit faire face à une nouvelle polémique concernant les halles. Ce bâtiment inauguré en 2017 aurait du être une vitrine du volontarisme municipal en faveur d’un centre-ville en pleine crise mais il est devenu un sujet de contestation. En cause : la chaleur étouffante qui y règne l’été, rendant le lieu insupportable pour les clients et les commerçants. Ces derniers sont furieux et remettent en cause la compétence de l’équipe dirigeante.
Un invraisemblable défaut de conception
Malgré un budget conséquent (près de 2.5 millions d’euros d’argent public) ces halles ont été très mal conçues. Totalement vitrées, elles créent un véritable effet de serre qui rend les lieux irrespirables en cas de fort ensoleillement.
Cette erreur de conception pose aussi un problème sanitaire avec la rupture de la chaine du froid pour les aliments. Face à la grogne généralisée, la mairie a installé dans l’urgence un gigantesque climatiseur à l’arrière des halles mais cet équipement fait lui aussi polémique : anti-écologique et bruyant, il gène considérablement les riverains, notamment les commerces proches des halles qui subissent des effluves de chaleur malodorante.
La presse locale s’est faite l’écho de ce nouveau problème et la mairie a reconnu que ce climatiseur géant n’est qu’une solution provisoire.
Le choix de l’architecte fait lui aussi polémique
Pierre Bouldoire a reconnu, dans la presse locale (1), que le problème vient « du cabinet d’architecte qui n’avait probablement pas anticipé de tels pics de chaleur, c’est proprement intenable », le maire socialiste « renvoyant les concepteurs du bâtiment flambant neuf à leur copie ».
Mais cette erreur grossière d’appréciation engage également le maire qui a validé le projet et surtout désigné comme architecte l’un de ses proches. En effet, l’architecte en question a un lien de parenté direct avec Michel Arrouy, 2e adjoint de Pierre Bouldoire. Pour certains Frontignanais ce fiasco des halles prouve que cet architecte a été choisi, non pas pour ses compétences, mais pour ses liens familiaux privilégiés avec l’équipe municipale.
Ces soupçons de favoritisme et d’amateurisme ne sont pas près de se dissiper : aucune solution durable n’a été apportée au problème et personne ne sait à combien s’élèveront les surcoûts induits par les futurs travaux.
(1) Midi Libre, samedi 20 juillet 2019.
Mise à jour : Suite à la publication de cet article, la mairie de Frontignan a réclamé un droit de réponse que nous avons publié ici.
Photos : Lengadoc Info
Lengadoc-info.com, 2019, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.
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Karim Zeribi, soutien de Macron et ennemi de notre peuple.
Ce n’est pas le premier des fils de l’élu marseillais EELV Karim Zéribi à avoir des ennuis avec la justice, Samir, 26 ans, a été interpellé lors d’un simple contrôle d’identité en fin de semaine dernière révèle La Provence.
Son ADN sur un pistolet automatique
Le jeune homme qui faisait l’objet d’un mandat d’arrêt depuis des mois a été mis en examen pour « infraction à la législation sur les armes » puis écroué à la maison d’arrêt de Luynes.
Selon La Provence, des traces de son ADN auraient été retrouvées sur un pistolet automatique saisi dans le Pays d’Aix par la police judiciaire. Une perquisition dans le cadre du démantèlement d’un vaste trafic de stupéfiante, Cité de La Castellane, affaire qui avait permis l’arrestation de huit personnes ainsi que la saisie de 40.000 euros.
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L'élu municipal d'opposition, député européen de 2012 à 2014 doit être jugé pour abus de confiance et pour abus de biens sociaux. Il est soupçonné d'avoir financé ses campagnes par le biais d'associations.
L'élu municipal à Marseille, Karim Zeribi, ex-député européen entre 2012 et 2014, est renvoyé devant le tribunal correctionnel, conformément aux réquisitions du parquet. Il comparaîtra aux côtés de cinq autres prévenus, dont son fils, pour avoir détourné des subventions associatives pour ses campagnes électorales.
Karim Zeribi doit être jugé pour abus de confiance à l'égard de deux associations, et pour abus de biens sociaux à l'égard d'une entreprise. "A de multiples reprises, M. Zeribi (a opéré) une confusion des genres entre le milieu associatif et l'intérêt politique de ses campagnes, le premier finançant le second", a estimé le magistrat instructeur.
Des subventions auraient servi les intérêts "exclusifs" de Karim Zeribi
Selon le parquet, une part importante des subventions versées entre 2007 et 2009 à l'association Agir pour la citoyenneté (APC), l'association présidée par M. Zéribi, soit plus de 85 000 euros, aurait servi les intérêts politiques exclusifs de M. Zéribi, au lieu de mettre en contact employeurs et jeunes des cités et de favoriser leur insertion professionnelle.
Karim Zeribi qui s'est toujours dit victime d'un complot a contesté lors de l'enquête que ces subventions aient pu servir ses intérêts politiques. Selon lui, elles ont été utilisées pour des campagnes d'inscription des jeunes des banlieues sur les listes électorales, l'organisation d'un parlement des banlieues et la mise en contact de demandeurs d'emplois avec des chefs d'entreprises.
Mais les enquêteurs ont pu mettre en lumière le règlement par l'association d'un sondage contenant un chapitre sur la notoriété de Karim Zeribi ou de divers outils de communication, le paiement du loyer de son club de réflexion et l'utilisation des salariés d'APC lors de ses campagnes.
Ancien footballeur professionnel (1986 à 1989), il a été conseiller en charge des questions d'accès à la citoyenneté du ministre de l'Intérieur Jean-Pierre Chevènement (1998 à 2000). Élu en 2008 au conseil municipal de Marseille sur la liste de Jean-Noël Guérini (PS), il a été réélu en 2014 grâce à un accord passé avec la tête de liste PS Patrick Mennucci.
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09/10/2019 – 19h45 Montpellier (Lengadoc Info) – Le Groupe Révolutionnaire Antifasciste et Populaire de l’Hérault (GRAPH) a annoncé ce mardi dans un communiqué son auto-dissolution en raison d’une affaire de viol au sein même du groupe. Un viol qui n’est pas une première dans la mouvance antifa à Montpellier.
Un viol « avéré » mais pas le premier chez les antifas
L’éphémère GRAPH n’aura guère duré plus d’une année. Celui-ci a annoncé ce mardi que depuis la création du groupe « de nombreu.x.ses membres fondat.eu.r.ice.s ont quitté le collectif à la suite de la découverte d’un viol avéré dans [les] milieux militants et affinitaires mettant en cause un membre du groupe ».
Si le GRAPH ne donne guère de détails sur les circonstances du viol et l’identité du violeur, on apprend dans le communiqué que ce dernier avaient des propos et une attitude « oppressantes » au sein du groupe au point de réveiller « des peurs, des souvenirs, des mal-êtres, etc, chez plusieurs d’entre nous ayant vécu des violences sexuelles ».
Ce viol et les attitudes « oppressives » de cet individu ne semblent pas être des faits isolés au sein de la mouvance antifa locale. Déjà en 2014, un communiqué de militantes féministes dénonçait l’organisation du collectif antifa 34 qui était « gouverné par des individus blancs et masculins », une « hiérarchie bureaucratique, sexiste et autoritaire » à laquelle « s’ajoutent des cas d’agressions sexuelles dont les témoignages sont mis sous silence, la parole de la victime n’étant pas prise en compte et fortement délégitimée ».
En 2016, c’est sur la ZAD de Las Rebes qu’une jeune femme de 19 ans avait été violée par plusieurs individus. En 2017, c’est au sein du squat antifa Le Royal Occupé qu’un viol avait été une nouvelle fois commis.
Si une plainte a été déposée en 2016 pour le viol de Las Rebes, nous ignorons si les autres dénonciations ont fait l’objet d’une procédure judiciaire.
Le GRAPH, un énième et éphémère groupe antifa à Montpellier
Avec cette auto-dissolution, le GRAPH risque de ne pas marquer les mémoires militantes locales. Il faut dire que depuis quelques années, les groupuscules antifas se succèdent les uns aux autres sans une grande régularité : « Scalp 34 », « Montpellier Antifa », « Collectif Antifasciste 34 », « Montpellier Antifasciste et Populaire », etc. D’ailleurs le communiqué du GRAPH annonce qu’une nouvelle structure verra bientôt le jour…
Petit dernier de la bande, le GRAPH s’est fait connaître pour ses affiches appelant à la violence et pour avoir tenté de s’opposer (sans grand succès) à un hommage à Jeanne d’Arc.
Photos : DR/ Facebook/ Lengadoc Info
Lengadoc-info.com, 2019, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.
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Les poursuites engagées par le parquet de Nice font suite à une plainte de l'association Anticor, concernant cinq subventions litigieuses accordées entre 2012 et 2015.
50 000 euros d'amende, dont la moitié avec suris : le premier adjoint (LR) au maire de Nice, Philippe Pradal, a été condamné vendredi par le tribunal correctionnel de Nice pour prise illégale d'intérêts concernant des subventions versées à des associations dans lesquelles il a été membre ou administrateur, a indiqué son avocat.
Alors que le parquet avait requis une peine de cinq mois de prison avec sursis à l'encontre de l'élu, le tribunal a opté pour cette amende, sans inscription au casier judiciaire et "a fortiori sans inéligibilité", a précisé son avocat Me Gérard Baudoux, qui indique étudier avec son client la possibilité de faire appel de cette décision, une possibilité offerte dans un délai de dix jours.
Les poursuites engagées par le parquet de Nice suite à une plainte de l'association Anticor, concernent cinq subventions litigieuses accordées entre 2012 et 2015. La justice lui a notamment reproché sa présence dans la salle du conseil municipal lors du vote des subventions, quand bien même il s'était abstenu de les voter. Il lui est aussi reproché d'avoir présidé la commission des finances qui avait préparé le conseil municipal. Là aussi, il n'avait pas voté. Dans deux autres cas, des subventions ont été votées à des associations dont le propre père de Philippe Pradal était membre.
"Il a toute ma confiance"
"Monsieur Pradal a été relaxé pour cette dernière subvention car il a été démontré qu'il ignorait que son père était le trésorier de l'association concernée", précise Me Baudoux, qui insiste sur le fait que son client n'a été reconnu coupable "que sur la forme", c'est-à-dire sur sa présence lors du vote.
Dans une réaction adressée à l'AFP, Christian Estrosi, le maire (LR) de Nice, prend la défense de son adjoint, "un homme intègre, loyal, travailleur et engagé depuis toujours afin de défendre la cause des plus démunis". "Il a toute ma confiance", ajoute le maire, qui dénonce le jugement du tribunal de Nice, lequel constitue selon lui "une dérive vers un soupçon de culpabilité des élus dans leur ensemble".
Par LEXPRESS.fr avec AFP ,publié le
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