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Serge BLOCH-DASSAULT souhaitait que les Français travaillent beaucoup plus, par exemple, en dormant sur leur lieu de travail comme les Chinois ! Français, soyez de bons esclaves au service du Capitalisme industriel ! Mais comme ce monsieur s'est converti au catholicisme en 1950, tout va bien...
Nous ne pleurerons pas la mort d'un magouilleur condamné plusieurs fois par la justice pour corruption, achats de votes et blanchiment d'argent !
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Interrogée le 15 mai par LCP sur les événements de la bande de Gaza ayant entraîné la mort par balle d’une soixantaine de Palestiniens et des blessures sérieuses pour des centaines d’autres, Marine Le Pen a déclaré ceci : « Si chacun peut évidemment déplorer le nombre important de morts palestiniens, on ne peut pas ne pas constater qu’il y a un message, là aussi, de la part d’Israël. Un message que certains trouveront inutilement excessif, peut-être inutilement brutal, mais qui est un message clair : ils ne transigeront pas sur la sécurité de leurs frontières. »
Des esprits malveillants pourraient conclure de cette nette approbation de la vigoureuse politique de régulation démographique entreprise par l’armée israélienne à ses frontières que Marine Le Pen n’a pas abandonné l’idée d’être reçue en grande pompe à Jérusalem par Benjamin Netanyahou ni l’espoir de se voir à la place d’honneur au prochain dîner annuel du CRIF.
Nous pensons, au contraire qu’il s’agit d’une prise de position très courageuse qui renoue avec les fondamentaux du Front National, en allant beaucoup plus loin que Jean-Marie Le Pen. En effet, on peut parfaitement comprendre cette réaction comme un appel solennel à notre armée pour qu’elle aussi défende, comme son homologue israélienne, avec vigueur nos frontières éprouvées par ce certains (mais pas nous qui n’oserions pas) qualifient « d’invasion migratoire ». Et de fait, on ne peut que convenir avec elle que quelques rafales sur les colonnes migrantes et quelques bateaux coulés en Méditerranée auraient un effet réfrigérant sur les pulsions migratoires.
Encore une fois, bravo Marine !
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On est dans une tentative de culpabilisation moralisatrice, plus dans du droit !
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Un homme a cherché à foncer sur la foule au volant de sa voiture, dans la nuit de vendredi à samedi, vers minuit, à Villeurbanne.
Il a fait une première manœuvre en passant une barrière du festival de musique électronique qui se déroulait au Double-mixte sur le campus de la Doua. Ce qui a provoqué un mouvement de panique. Il a été stoppé in extremis par la brigade anticriminalité.
Il a crié des menaces à caractère terroriste.
Un policier a été blessé dans l'intervention. L'homme a été placé en garde à vue.
Le Progrès du 31/03/2018
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L'affaire de Notre-Dame des Landes présente un grand intérêt à plusieurs titres car elle est révélatrice d'une situation prometteuse pour ceux qui luttent contre le SATLP (Système à tuer les peuples) :
1) En baissant son froc devant une bande de pouilleux (je mets à part les paysans qui voulaient légitimement garder leur terre) l'Etat-Macron a avoué son impuissance à faire face aux défis de la racaille : c'est le cas à Notre-Dame des Landes comme c'est le cas à l'intérieur des prisons (où, de l'aveu même des matons la racaille fait la loi) ou dans les "quartiers" dits pudiquement "de non droit", c'est à dire, en clair, des territoires où "l'autorité de la République", comme disent les larbins du Système, ne s'exerce plus (policiers, pompiers, professionnels des métiers de santé en savent quelque chose, qui savent ne pouvoir attendre aucune aide d' "autorités" (?) démissionnaires et lâches). Leçon édifiante et bien enregistrée pour ceux qui, un jour plus ou moins proche, voudront étendre leur domination à de nouveaux pans de territoire, où les Blancs auront le choix entre se soumettre, partir ou... mourir. J'exagère ? Prenez donc la peine d'écouter les messages diffusés par ceux qui prêchent la guerre sainte. Tout est dit. Clairement. Mais il n'est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.
2) Macron et son porte-serviette censé être Premier ministre se préparent des jours difficiles. Les Zadistes, pour qui Notre-Dame des Landes était un test, ont annoncé la couleur : Notre-Dame des Landes ? Ce n'est qu'un début, continuons le combat. L'objectif ? Avoir dix, cent Notre-Dames des Landes. Qui les en empêchera ? Malgré les rodomontades élyséennes, ceux qui seraient tentés de le faire (par exemple les élus locaux) auront contre eux, comme cela vient d'être démontré, l'Etat (ce qu'il en reste...) qui est prêt à tout accepter pour ne pas prendre le risque d'être accusé de "fascisme" (le péché mortel). Avec l'appui des bobos et des braves connards qui n'ont pas conscience de creuser leur tombe (mais ça, c'est plutôt rigolo) en votant pour des gredins que le sort des petites gens laisse profondément indifférents car, eux, ils sont hors d'atteinte grâce aux privilèges qu'ils se sont accordés. Du moins le croient-ils... Car un jour, peut-être, le réveil sera difficile pour eux aussi. Ce jour-là nous boirons un dernier verre de chablis car nous risquons d'être nous aussi entraînés dans l'apocalypse. Mais il faut bien mourir un jour, n'est-ce pas ?
Pierre Vial
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Les propos enregistrés à son insu font allusion à l'implication du Premier ministre israélien dans un accord pétrolier faramineux.
Les avocats de Benjamin Netanyahu ont tout fait pour empêcher sa diffusion. Mais l'enregistrement audio dans lequel Yaïr Netanyahu révèle la pression exercée par son père dans la signature d'un contrat de 20 milliards de dollars, au bénéfice d'un magnat du gaz, a fini par fuiter.
Au moment des faits, le fils du Premier ministre israélien se trouvait à l'entrée d'un club de strip-tease de Tel-Aviv en compagnie d'Ori Maïmon –fils de Kobi Maïmon, le richissime homme d'affaires en question– et ignorait qu'il était écouté.
«Mec, tu me dois bien ça»
En sortant de l'établissement, d'après plusieurs témoins, les deux jeunes hommes apparemment éméchés se seraient pris le bec à propos de 400 shekels (environ 100 euros). Yaïr Netanyahu aurait alors lancé à son ami:
«Mec, tu me dois bien ça. Mon père a passé un super deal avec le tien, il s'est battu avec la Knesset [le parlement israélien] pour ça. Mon père vous a décroché un contrat de 20 milliards de dollars et tu peux pas m'avancer 400 shekels?»
Diffusée sur la deuxième chaîne de télévision israélienne lundi dernier, la conversation remonterait à 2015 et fait référence à un accord concernant l'exploitation de champs gaziers découverts à l'époque par Israël dans les eaux égyptiennes. Or le père d'Ori Maïmon n'est autre qu'un des principaux actionnaires d'Isramco, l'une des compagnies israéliennes exploitant ces gisements.
Deux enquêtes pour corruption visant Benjamin Netanyahu
Ces propos tombent mal, puisqu'ils mettent en lumière les «relations qu'entretient la famille Netanyahu avec de riches patrons, alors que le Premier ministre israélien fait l'objet de deux enquêtes pour corruption», précise le Guardian. Benjamin Netanyahu est notamment soupçonné d'avoir reçu d'importants cadeaux de la part d'éminentes personnalités, de manière illégale.
Âgé de 26 ans, Yaïr Netanyahu a présenté des excuses publiques, affirmant qu'il était sous l'emprise de l'alcool lors de ces déclarations qui, selon lui, n'étaient évidemment qu'une blague. Une version qui n'a pas convaincu les adversaires politiques du Premier ministre, rapporte Yahoo News: le chef du parti travailliste Avi Gabbay a qualifié l'enregistrement de «nouvelle tache sur l'accord de gaz».
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Johnny... Un flot de commentaires, de plus ou moins bon goût, a accompagné l'annonce de sa mort. Tout a été dit ou écrit à son sujet. Enfin, presque tout...
Je n'ai jamais fait état, de son vivant, d'un souvenir personnel le concernant car je ne voulais pas que cela pût le gêner, en alimentant les charognards. Aujourd'hui, là où il est, l'évocation de ce souvenir va, je l'espère, le faire sourire.
C'était en 1958. J'avais quinze ans. J'étais depuis peu adhérent du mouvement Jeune Nation, interdit par le gouvernement le 15 mai 1958. La date a son importance. Ceux qui ont vécu cette époque savent ce que je veux dire.
Mon engagement ne dérangeait pas mon père, qui avait lui aussi milité si activement au temps de sa jeunesse qu'il avait échappé de peu aux fusilleurs épurateurs de 1944-1945. Aussi lorsqu'il dut aller à Paris pour ses activités professionnelles, je lui demandai de m'emmener. Car, lui dis-je, je souhaitais voir des gens à Paris. Mon père ne me posa pas de question et m'emmena avec lui.
A Paris, pendant qu'il allait à ses rendez-vous, je me rendis à une adresse connue des membres de Jeune Nation, rue du Faubourg Saint-Denis. Des dames très maquillées se promenaient sur les trottoirs, cigarette aux lèvres. Je ne m'attardais pas à ce spectacle, car j'étais venu pour autre chose. Après l'ascension des étages d'un immeuble vétuste, je frappais à la porte où une étiquette discrète indiquait que j'étais au bon endroit. Un "vieux" (il avait au moins trente cinq ans...) m'ouvrit et me demanda, d'un ton plutôt rugueux, ce que je voulais. Je répondis en tendant la carte à mon nom frappée d'une belle croix celtique rouge (je l'ai encore) et en lui disant qu'ayant un après-midi disponible, je venais voir si je pouvais aider.
"Tu tombes bien, il y a du boulot". Et il m'entraîna vers une grande pièce, située sous les toits. Sur de longues tables s'entassaient des enveloppes et des timbres. Un gars qui devait avoir à peu près mon âge collait méticuleusement les timbres sur les enveloppes.
"Voilà. Tu fais comme lui". Aussitôt dit, aussitôt fait. Je m'assis à côté du gars colleur de timbres.
"Bonjour, lui dis-je". "Salut, me répondit-il", après un bref regard. Au bout de quelques minutes, alors qu'on crevait de chaleur, voulant me montrer courtois, je lui dis : "Il fait chaud, hein ?". "Oui, il fait chaud", me répondit-il. Il n'avait visiblement pas envie de parler. Comme j'étais à l'époque, par tempérament, plutôt "taiseux", je n'insistais pas davantage.
Et l'après-midi se déroula, rythmé par nos coups de langue sur les timbres et leur application sur les enveloppes. A la fin de l'après-midi, notre tâche exaltante étant terminée, mon voisin se leva et me dit "Salut !". Je lui dis "Salut !" et je partis aussi pour rejoindre mon père. Il me dit : "Tu as passé une après-midi intéressante ?". "Oui, lui dis-je, pour faire un peu de travail avec un gars sympathique mais pas très causant".
Quelques années plus tard, dans une rue de ma bonne ville de Lyon, je vis à la devanture d'un disquaire une pyramide de 33 tours avec, en couverture, un gars jouant furieusement de la guitare. Je m'arrêtais, intrigué. J'avais l'impression d'avoir déjà vu ce gars ("Johnny Halliday" disaient les couvertures de disques). Mais où ? Quand ? Je cherchais en vain. Et puis je n'y pensais plus. C'est le soir (la mémoire est une curieuse mécanique) que je me dis d'un coup : "Mais, ce gars, c'est celui qui collait avec moi des timbres à Jeune Nation !".
Johnny a été happé par un Système anthropophage. Paix à sa mémoire. Pour moi, il reste le jeune gars, inconnu et peu bavard, qui n'hésitait pas à coller des timbres tout un long d'un après-midi pour un mouvement vilipendé par les bons bourgeois. Salut à toi, camarade !
Pierre Vial
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Aux États-Unis, une équipe de spécialistes est parvenue à pénétrer le système d'un Boeing 757 à distance via des ondes radio. Une démonstration inquiétante qui vise à attirer l'attention sur les insuffisances des dispositifs de sécurité informatique des avions et la formation des personnels qui en ont la charge.
Cela s'est passé il y a plus d'un an mais l'information vient tout juste d'être rendue publique. Une équipe d'experts en sécurité travaillant pour le compte du département de Sécurité intérieure des États-Unis (Department of Homeland Security) a réussi à pirater le système informatique d'un avion de ligne sans monter à bord de ce dernier, sans aucun contact physique avec l'appareil et sans l'aide d'une personne présente dans celui-ci.
Selon le site Avionics qui relaie cette nouvelle, le piratage s'est déroulé en septembre 2016 sur un Boeing 757 d'ancienne génération. Les détails de la méthode employée sont confidentiels et l'on sait seulement que les chercheurs ont eu recours à des radiofréquences pour pénétrer le système embarqué de l'avion. Ceux-ci précisent avoir utilisé un équipement qui pourrait passer des contrôles de sécurité dans un aéroport.
La cybersécurité du Boeing 757 et des autres avions de ligne
Au-delà de l'aspect inquiétant de la démonstration en elle-même, ce hack met en lumière une situation préoccupante quant à la cybersécurité dans le transport aérien. En effet, si les réseaux informatiques terrestres sont surveillés et protégés, il en va tout autrement des aéronefs. Selon Robert Hickey, responsable du programme aviation au sein de la division cybersécurité du Department of Homeland Security qui a dirigé cette expérience, qu'il s'agisse de l'armée de l'air des États-Unis ou du secteur commercial, il n'existe pas d'équipe de maintenance formée à la gestion de cybermenaces à bord d'un avion.
Il plaide pour des formations spécifiques pour faire face à ces risques. Un impératif d'autant plus crucial que 90 % des avions de ligne circulant dans le monde ont un niveau de sécurité similaire à celui du Boeing 757 qui a servi au test, souligne Robert Hickey. Ce dernier pointe aussi le coût très élevé d'une intervention sur les systèmes avioniques pour corriger une faille de sécurité. Modifier une seule ligne de code coûte 1 million de dollars et demande au moins un an pour être appliqué.
En 2013, Hugo Teso, consultant en sécurité informatique, avait montré comment il pourrait théoriquement prendre le contrôle d'un avion de ligne en plein vol, grâce à un simple smartphone Android (voir article ci-dessous). Il y a deux ans, le hacker Chris Roberts avait affirmé avoir pris le contrôle d’un avion en vol à partir de son système multimédia. Le hack réalisé par le département de Sécurité intérieure des États-Unis n'est finalement que la confirmation d'une situation connue de longue date...
source : http://www.futura-sciences.com
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Un même homme aurait commis deux attaques, la première contre un policier, la seconde contre des piétons dans le centre-ville d'Edmonton.
Un homme a été arrêté dans la nuit de samedi à dimanche à Edmonton (Canada). Il est soupçonné d'avoir, dans un premier temps, foncé sur un policier près du stade du Commonwealth avant de l'attaquer au couteau et de s'enfuir. L'agent a été blessé mais ses jours ne sont pas en danger, selon Radio Canada.
Ce même individu aurait ensuite foncé dans la foule avec un camion dans le centre-ville d'Edmonton lors d'une course-poursuite avec la police. Quatre personnes ont été fauchées par le véhicule avant l'arrestation du conducteur, «connu des autorités». Aucune information n'a été donnée sur l'état des blessés.
Selon le chef de la police, cité par les médias canadiens, le suspect est soupçonné «d'actes de terrorisme» et un drapeau de Daech a été retrouvé dans l'un des véhicules utilisés.
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Chroniques, par Pierre Vial
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