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Nidhal Tarhouni a violé Jeanne (prénom modifié) dans la nuit du 8 octobre 2017, ont estimé les six jurés et les trois magistrats qui composaient la cour d’assises de Seine-Saint-Denis, à Bobigny. Ils l’ont condamné, vendredi 6 mars, à quinze ans de prison, la peine maximale prévue pour les viols. Le caractère homophobe de l’agression n’a pas été retenu.
Considérant que le prévenu « savait très bien pourquoi elle se refusait : parce qu’elle était lesbienne », l’avocate générale Maylis de Roeck avait demandé au jury d’« avoir le courage de mettre des mots sur les choses » : « 4 % des femmes hétérosexuelles disent avoir été victimes de viol, contre 10 % des femmes lesbiennes. On ne peut pas faire semblant de ne pas comprendre. »
Ce 8 octobre 2017, deux inconnus se rencontrent place de la République, à Paris. Il est 3 heures et demie. Un jeune homme qui dit se prénommer Karim aborde Jeanne, qui est avec l’une de ses amies. Ils passent quelques heures dehors. Karim et Jeanne se plaisent. « Il met son bras autour de moi et je lui dis que je suis lesbienne, a raconté Jeanne, 34 ans, au premier jour du procès. Il remet son bras. Je pose ma tête, il y a quelque chose en moi qui lâche, je me sens en sécurité. »
« Je me souviens de la douleur »
Cette nuit-là, ils rentrent ensemble chez la jeune femme à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis). Jeanne répète ce qu’elle a maintenu tout au long de l’enquête : elle a bien envisagé d’avoir une relation sexuelle avec Karim. Mais après des tentatives douloureuses, elle lui demande d’arrêter. Jeanne voit alors le regard de l’homme changer : « Ah, tu kiffes les meufs, je vais te faire kiffer. » Il l’étrangle. Le viol commence. « Les viols », relève Christophe Petiteau, le président de la cour. Des pénétrations digitales, péniennes, anales ; des fellations ; des coups. « Je me souviens de la douleur (…) Je me suis dit que j’allais mourir de cette douleur », a décrit Jeanne, qui tente trois fois de s’échapper. En partant, l’homme lui dérobe une chevalière et sa carte bancaire.
Les faits ont été commis entre 6 h 35 et 8 h 10. Une heure et demie. Le légiste relèvera de « très nombreuses plaies sur l’ensemble du corps », « une perforation du tympan », une « plaie sanguinolente » au niveau de la vulve et des fissures anales : vingt jours d’incapacité totale de travail.
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Trois hommes de nationalité soudanaise, dont l'assaillant présumé, ont été placés en garde à vue dans l'enquête sur l'attaque au couteau perpétrée le 4 avril 2020 à Romans-sur-Isère (Drôme), qui a fait deux morts. Trois hommes de nationalité soudanaise sont actuellement en garde à vue dans l'enquête sur l'attaque meurtrière au couteau perpétrée le 4 avril à Romans-sur-Isère dans la Drôme. Outre Abdallah A.-O., l'auteur présumé de l'attaque né en 1987 et réfugié en France depuis juin 2017, et un deuxième homme présenté comme «une de ses connaissances», une troisième garde à vue «depuis 19h20 hier [4 avril] soir» est menée à l'encontre d'«un jeune Soudanais qui résidait dans le même foyer, là où résidait le mis en cause», a indiqué le PNAT à l'agence de presse.
Enquête pour «assassinats en relation avec une entreprise terroriste» Deux personnes sont mortes et cinq autres ont été blessées dans cette attaque au couteau en pleine période de confinement. Le Parquet national antiterroriste (PNAT) a annoncé en début de soirée du 4 avril ouvrir une enquête, notamment pour «assassinats en relation avec une entreprise terroriste» et «association de malfaiteurs terroriste criminelle». Les premiers éléments de l'enquête sur l'auteur présumé de l'attaque, Abdallah A.-O., «ont mis en évidence un parcours meurtrier déterminé de nature à troubler gravement l'ordre public par l'intimidation ou la terreur», selon le PNAT. Celui-ci ajoute que lors d'une perquisition à son domicile, ont été retrouvés «des documents manuscrits à connotation religieuse dans lesquels l’auteur des lignes se plaint notamment de vivre dans un pays de mécréants», «a priori» écrits par lui.
L'assaillant était «aigri» à cause du confinement, selon des témoins (sic)
L'individu a été interpellé sans résistance très rapidement après les faits par l'une des nombreuses patrouilles de police chargées de faire respecter le confinement. «Il se trouvait à genoux sur un trottoir, priant en langue arabe», d'après le PNAT. Des témoins ont rapporté aux enquêteurs, selon une source citée par l'AFP, que «depuis quelques jours, il ne se sentait pas bien à cause du confinement» lié à l'épidémie de coronavirus. «Il était assez aigri de la situation», selon ces témoignages concordants rapportés de même source. Cette attaque intervient au moment où la France vit sous une constante menace terroriste depuis la vague d'attentats djihadistes sans précédent amorcée en 2015.
RT France 5 avr. 2020
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Parce qu'il circulait à vélo sans éclairage, ce Cavaillonnais de 22 ans, de nationalité marocaine, a été interpellé par la police nationale dimanche soir vers 21h45 au niveau de l'avenue Gabriel Péri. L'affaire aurait pu se résumer à un simple PV si le contrevenant n'ayant pas sur lui son attestation dérogatoire de déplacement, et mécontent d'avoir été contrôlé, n'avait pas craché sur les forces de l'ordre.
Présenté à un magistrat, hier, il a été jugé pour ces faits de rébellion et de violences sur personnes dépositaires de l'autorité publique, et condamné à 12 mois de prison, dont 8 ferme. Il a été écroué à la maison d'arrêt du Pontet à l'issue de son audition.
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Estimant que les informations pourraient être «trompeuses si elles étaient rendues publiques et utilisées hors contexte», le gouvernement a britannique a refusé de publier, pour le moment, les résultats de son enquête sur des gangs de violeurs. En juillet 2018, face aux scandales à répétition d'abus sexuels sur mineurs qui sont le fait de gangs qui sévissent depuis des années dans plusieurs villes britanniques, le ministre de l'Intérieur du royaume Sajid Javid avait ordonné l'ouverture d'une enquête. Son but : définir les «caractéristiques distinctives» des auteurs afin de comprendre pourquoi les hommes reconnus coupables de ces crimes sexuels étaient «disproportionnellement d'origine pakistanaise» et s'il y avait des «raisons culturelles» à cela.
Ne souhaitant pas laisser les «sensibilités culturelles ou politiques» entraver la résolution d'un problème qui ne cesse de prendre de l'ampleur – près de 19 000 victimes mineures ont été répertoriées sur la seule année 2018-2019 selon les données officielles – Sajid Javid n'avait donc pas hésité à mettre les pieds dans le plat d'un sujet particulièrement sensible Outre-manche. Mais depuis, le ministre a changé de poste, passant aux ministère des Finances dont il vient de démissionner, et le gouvernement n'a fait aucune annonce quant à cette enquête. Devant ce manque de communication, le journal The Independent, a déclenché une démarche légale pour contraindre le ministère de l'Intérieur à informer le public de l'état de ses recherches.
«Pas dans l'intérêt public de divulguer des informations spécifiques» La réponse à de quoi surprendre : dans un courrier adressé au média, le ministère a expliqué avoir terminé son enquête, mais a estimé qu'il n'était pas légalement tenu de la publier avant d'avoir établi une politique gouvernementale sur le sujet. «L'un des principaux objectifs de l'exemption est de protéger un "espace sûr", nécessaire aux ministres et aux fonctionnaires pour envisager des options politiques en privé, sans risque de divulgation prématurée», est-il ainsi écrit dans le courrier. «De plus, les informations pourraient être trompeuses si elles étaient rendues publiques et utilisées hors contexte», est-il encore ajouté, précisant que les documents contenaient également des informations «sensibles sur le plan opérationnel» et pourraient de ce fait compromettre les enquêtes en cours. «Nous reconnaissons que ce sujet [...] est une question majeure d'intérêt public, mais cela ne signifie pas forcément qu'il est dans l'intérêt public de divulguer des informations spécifiques le concernant», conclut la missive.
RT France 26 févr. 2020
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