Depuis quatre jours, l’étrange manège d’un inconnu dans les rues de Tournon-sur-Rhône a généré plusieurs publications sur les réseaux sociaux et a valu l’enregistrement de plusieurs mains courantes à la gendarmerie.
Il faut dire que cet homme s’obstinait à vouloir entrer dans les voitures arrêtées aux stops ou aux feux rouges. Sans violence, mais, semble-t-il, avec une préférence pour les conductrices.
Après maintes tentatives, il serait parvenu à s’asseoir sur le siège passager d’une automobiliste. Avant que cette dernière ne le prie de quitter sur le champ, son habitacle.
Prenant, bien évidemment, l’affaire au sérieux, les gendarmes de la compagnie de Tournon-sur-Rhône avaient mis en place, dès jeudi 12 décembre, un dispositif de surveillance sur des carrefours stratégiques. Sans résultat.
Jusqu’à ce vendredi, peu avant midi. Quand l’inconnu a fait son retour sur le bitume tournonais. Sauf que pour cette ultime tentative, l’homme s’est emparé de la poignée d’un véhicule conduit par un gendarme en repos. Le militaire, a bien évidemment fait le lien avec l’inconnu recherché et a aussitôt alerté ses camarades de la compagnie. Rapidement sur place, une patrouille a, sans difficulté, interpellé l’individu.
Aux gendarmes, l’homme, en situation irrégulière, placé en rétention à la brigade, aurait confié vouloir chercher un “chauffeur” pour rentrer en Tunisie…
23/11/2019 – 18h00 Montpellier (Lengadoc Info) – Le conseil municipal de Montpellier a voté ce jeudi l’adhésion de la ville à l’association nationale des villes et territoires accueillants (ANVITA), une association dont le but est de favoriser l’accueil des migrants en France.
Le maire de Montpellier contre les tests osseux
Alors que la question des migrants devient de plus en plus sensible à Montpellier, notamment en raison des problèmes sécuritaires que posent des bandes de mineurs isolés étrangers, les élus de la ville étaient appelés à voter l’adhésion à l’ANVITA afin de renforcer les capacités d’accueil de migrants.
Une adhésion qui a cependant été mise sous condition par Philippe Saurel. En effet, le maire a réclamé, entre autres, que cette adhésion se fasse à condition que le fait de « dédubliner » des migrants soit possible, en d’autres termes, que les migrants puissent pouvoir rester à Montpellier.
Philippe Saurel s’est également « engagé à écrire au président du CHU pour demander à ce que les tests osseux ne soient pas systématiques ». Ces tests osseux sont utilisés pour connaître l’age approximatif des jeunes migrants et ainsi déterminer s’ils peuvent obtenir le statut de « mineur non accompagné ». Selon Dominique Bussereau, président de l’Assemblée des départements de France, 60% à 70% des demandes de prise en charge effectuées le sont par de faux-mineurs.
L’ANVITA a accepté les conditions du maire et l’adhésion a été votée à l’unanimité par le conseil municipal.
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L’éventreur de la Gare du Nord en 2018 est déjà libre et joue dans un club de mini-foot !
On a dû le considérer comme mineur d’âge malgré 97 % de chances qu’il était majeur. L’auteur présumé de l’homicide commis en mars 2018 à la gare du Nord de Bruxelles, filmé par les caméras et en aveux des faits, est libre après vingt mois et joue au mini-foot dans un club de la capitale. Le suspect a déjà quitté la prison de Saint-Gilles après sept mois pour une place en IPPJ. Avant cet été, il avait bénéficié de vingt-quatre sorties encadrées. Il vit depuis peu en famille d’accueil et s’est inscrit maintenant dans un club de mini-foot.
Un homme de 19 ans arrêté pour une affaire de meurtre à la gare du Nord
BRUXELLESUn homme âgé de 19 ans a été placé sous mandat d’arrêt dans le cadre d’une rixe au couteau mortelle qui a couté la vie à un ressortissant guinéen, le 14 mars dernier près de la gare de Bruxelles-Nord, indique jeudi le parquet de Bruxelles, confirmant ainsi une information du quotidien La Capitale. La cause de bagarre n’a pas encore pu être éclaircie.
[…]
Deux jours après les faits, la police avait interpellé un Érythréen de 19 ans, qui a ensuite été placé sous mandat d’arrêt. La chambre du conseil a entretemps prolongé sa détention provisoire d’un mois.
13/11/2019 – 20h20 Montpellier (Lengadoc Info) – Ce mardi, Kleber Mesquida (PS) a fait le point sur la situation des Mineurs Non Accompagnés (MNA, ex-mineurs isolés étrangers) lors d’une séance publique du Conseil Départemental de l’Hérault.
Après un certain silence radio sur la question, la majorité départementale a fini par lâcher quelques informations concernant la situation des mineurs isolés dans l’Hérault. Il faut dire qu’à l’approche des élections municipales le sujet devient de plus en plus sensible, même à gauche. Première concernée par le phénomène, la mairie de Montpellier met la pression au département qui a en charge le dossier.
Aussi ce mardi, Kleber Mesquida a reconnu que le département avait actuellement en charge 880 mineurs non accompagnés. « Leur nombre a évolué de manière quasi-exponentielle, nous en avions, en 2017, 589. » explique le président du département qui a également confirmé que le coût moyen de la prise en charge d’un mineur clandestin était de l’ordre de 50 000 euros par an. Rapporté au nombre de mineurs étrangers dans le département cela fait un total de 44 millions d’euros dépensés pour l’année 2019.
Pour le conseiller départemental d’opposition Franck Manogil (groupe Défendre l’Hérault), « c’est tout simplement hallucinant, le nombre de mineurs clandestins pris en charge par le contribuable héraultais est en hausse constante, +49% depuis 2017 et toujours aucune réaction de la part de la majorité socialiste qui se contente de piocher toujours plus dans le budget de l’Aide Sociale à l’Enfance au détriment des jeunes Français les plus en difficulté sur notre territoire. »
60% à 70% de faux mineurs en France
D’autant que le problème des mineurs non accompagnés n’est pas seulement lié au coût mais au fait que beaucoup sont en réalité majeurs et devraient donc être renvoyés dans leur pays comme le prévoit la loi. Selon Dominique Bussereau, président de l’Assemblée des départements de France, 60% à 70% des demandes de prise en charge faites le sont par de faux-mineurs.
Une situation extrêmement complexe car comme l’explique Kleber Mesquida, quand le dossier d’un jeune clandestin doit être étudié par la police pour savoir s’il est mineur ou non, la procédure peut prendre jusqu’à deux ans.
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Montpellier (Lengadoc Info) – On sait désormais combien d’immigrés arrivent chaque année à Montpellier et c’est Philippe Saurel lui même qui l’a révélé il y a quelques jours à l’occasion du festival de cinéma méditerranéen Cinemed.
3 000 MIGRANTS PAR AN À MONTPELLIER
La 41ème édition du Cinemed qui a débuté le 18 octobre dernier et qui se termine aujourd’hui aura au moins permis de connaître le nombre de migrants que la ville de Montpellier accueille chaque année.
En effet, à l’occasion de ce festival, présidé cette année par le maire pro-migrants de Palerme, Leoluca Orlando (centre-gauche), Philippe Saurel a été interrogé dimanche dernier par le journal Midi Libre sur la question de l’accueil des migrants dans sa ville. Celui-ci a alors reconnu que Montpellier recevait « environ 3 000 migrants par an ».
SUBMERSION MIGRATOIRE EN COURS À MONTPELLIER ?
Le chiffre avancé par Philippe Saurel est particulièrement important si on le rapporte à l’évolution démographique de Montpellier. Selon l’INSEE, la population de la métropole de Montpellier (une trentaine de communes) a augmenté de 7 500 habitants par an entre 2011 et 2016.
Selon les chiffres du dernier recensement, la ville de Montpellier comptait en 2015 une population immigrée (personne née à l’étranger, dont la nationalité d’origine est étrangère, et qui vit en France. Parmi les immigrés sont donc comptabilisés les étrangers et les personnes ayant acquis la nationalité française au cours de leur vie. Source INSEE) de 44 803 habitants soit 16,1 % de la population de la ville contre 9,2 % au niveau national.
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08/10/2019 – 14h15 Montpellier (Lengadoc Info) –C’est une nouvelle série d’agressions mettant en cause des mineurs non accompagnés (ex-mineurs isolés étrangers) qui a eu lieu samedi soir dans le centre-ville de Montpellier.
Des agressions commises par des mineurs en bande organisée
Le phénomène est malheureusement courant mais cette fois-ci c’est l’ampleur numérique qui interpelle.
Un premier groupe de quatre mineurs isolés étrangers est tout d’abord pris en flagrant délit de vol de vélos. Nos confrères de Metropolitain relatent ainsi l’affaire : « Vers 1h45, la nuit dernière, quatre individus ont été surpris par une patrouille de policiers de la Sécurité publique, alors qu’ils venaient de dérober deux vélos dans le hall d’un immeuble du boulevard de Strasbourg. »
Le 2ème groupe de quatre individus a été interpellé un peu plus tard. Toujours selon Metropolitain : « Vers 2h, les policiers sont intervenus sur la place Edouard Adam, près du boulevard du Jeu de Paume, non loin de la station de tramway de l’Observatoire, où deux piétons étaient rackettés par quatre individus. Sous la menace, ils se sont fait remettre deux sacs à dos. »
Tout ce beau monde a fini la nuit au poste de police. Il est précisé pour cette deuxième interpellation que trois des individus étaient âgés de 13 à 17 ans et étaient accompagnés d’un homme de 24 ans, lui-même ancien mineur isolé étranger et actuellement Sans Domicile Fixe. Ces individus bénéficient d’une prise en charge totale de la part du département, notamment en étant logés dans des hôtels.
Des agressions qui ne passent pas
Pour certains montpelliérains, ces agressions à répétition sont un constat d’échec flagrant de la politique de gestion des mineurs isolés étrangers dont les activités de délinquance en bande organisée remettent carrément en question le bien-fondé de leur accueil. Thierry Tsagalos, administrateur de la page Facebook « Montpellier Politique » que nous avons contacté, est très sensible à cette question de l’insécurité à Montpellier. « La passivité, la lâcheté face à cette situation, c’est la condamnation pour nous tous, français de souche et français d’origine immigrée, à subir l’insécurité. […] Le fait d’instaurer une différence de traitement entre les mineurs isolés [et le reste de la population] met en danger tout ce à quoi nous croyons. […] La place des délinquants est en prison et la place des mineurs étrangers est dans leur pays d’origine avec leurs parents, pas dans la rue à faire les macs et à vendre de la drogue… ».
Pour Franck Manogil, conseiller départemental de l’Hérault (RN), « La question des mineurs non accompagnés est un sujet brûlant au département. Même la majorité socialiste avoue arriver budgétairement à saturation. Il y a une volonté de noyer le poisson en jouant sur la terminologie. Au départ c’était des « mineurs isolés étrangers » qu’on a transformé en « mineurs non accompagnés » et maintenant on tente de les intégrer dans la case « mineurs » tout court. C’est un véritable flou artistique qui est délibérément mis en place sur ce sujet. Il est impossible de chiffrer quoi que ce soit, qu’il s’agisse de leur nombre ou du coût engendré par ces mineurs. »
Une autre agression beaucoup plus violente relatée par nos confrères de la Gazette, a eu lieu dans la nuit du 30 septembre sur la place de la Comédie. Cette fois-ci un couteau a été utilisé et une des deux victimes a été blessée.
Ce type d’agression est devenu monnaie courante dans Montpellier où les mineurs isolés étrangers souvent originaires du Maghreb sont nombreux. Ces derniers s’attaquant à plusieurs aux individus alcoolisés qui rentrent chez eux en fin de soirée.
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Assises du Gard : 16 ans et 14 ans de réclusion criminelle pour avoir tué pour un briquet
Le 22 mars 2016, un Alésien de 51 ans avait été battu à mort, dans une rue de Nîmes, pour avoir refusé de donner du feu à un jeune homme qu'il avait jugé trop jeune pour fumer. Les trois accusés ont été condamnés dans la soirée du vendredi 21 juin à des peines de 16 ans et 14 ans de réclusion criminelle pour deux d'entre eux. Le troisième est condamné à 6 ans de prison.
Au troisième jour d'audience à la cour d'assises du Gard, la culpabilité des trois mis en cause est abordée. Après un rapport du médecin légiste qui a glacé l'assistance jeudi 20 juin, par la description de l'extrême violence des coups qui ont entraîné la mort de la victime, le 22 mars 2016, rue Séguier, l'avocate générale a requis, ce vendredi au matin, une peine de 12 ans de prison contre Saïd Berrahou (qui reconnaissait avoir porté "60 % des coups"), 10 ans de prison contre Karim Berrahou (qui affirme avoir "seulement séparé les belligérants") et 10 ans également contre Farid Ounaha.
Evacuation de la salle
Ce vendredi soir, la cour d'assises du Gard est allée au-delà des réquisitions de l'avocate générale pour Saïb Berrahou et Farid Ounaha. Pour le premier, l'alteration du discernement n'a pas été retenu : Saïd Berrahou est condamné à 16 ans de réclusion criminelle. Farid Ounaha est condamné, lui, à 14 ans de réclusion criminelle. Enfin, Karim Berrahou est condamné à 6 ans de prison.
Après le verdict, les familles des accusés ont protesté et hurlé. Elles ont été évacuées de la salle d'audience.