L’éventreur de la Gare du Nord en 2018 est déjà libre et joue dans un club de mini-foot !
On a dû le considérer comme mineur d’âge malgré 97 % de chances qu’il était majeur. L’auteur présumé de l’homicide commis en mars 2018 à la gare du Nord de Bruxelles, filmé par les caméras et en aveux des faits, est libre après vingt mois et joue au mini-foot dans un club de la capitale. Le suspect a déjà quitté la prison de Saint-Gilles après sept mois pour une place en IPPJ. Avant cet été, il avait bénéficié de vingt-quatre sorties encadrées. Il vit depuis peu en famille d’accueil et s’est inscrit maintenant dans un club de mini-foot.
Un homme de 19 ans arrêté pour une affaire de meurtre à la gare du Nord
BRUXELLESUn homme âgé de 19 ans a été placé sous mandat d’arrêt dans le cadre d’une rixe au couteau mortelle qui a couté la vie à un ressortissant guinéen, le 14 mars dernier près de la gare de Bruxelles-Nord, indique jeudi le parquet de Bruxelles, confirmant ainsi une information du quotidien La Capitale. La cause de bagarre n’a pas encore pu être éclaircie.
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Deux jours après les faits, la police avait interpellé un Érythréen de 19 ans, qui a ensuite été placé sous mandat d’arrêt. La chambre du conseil a entretemps prolongé sa détention provisoire d’un mois.
Pour cette 9ème émission de l’Echo des Canuts, Roberto vous propose d’écouter l’enregistrement d’une conférence inédite tenue en 1998 par Jean Mabire sur la figure peu connue et pourtant majeure de Patrick Pearse, artisan de la révolution irlandaise il y a de cela un siècle.
Un ancien commandant de brigade et ses deux adjoints doivent répondre de divers chefs d’accusation, dont violences, détention de stupéfiants, escroquerie, etc.
L’ancien commandant de brigade de gendarmerie de Mimizan et deux de ses adjoints sont convoqués demain, mardi 3 décembre, au palais de justice de Mont-de-Marsan à partir de 13h45.
Il leur est reproché de s’être affranchis de beaucoup de règles, sur une période qui a duré environ trois années, de 2017 à 2019. Ils devront notamment répondre de violences par une personne dépositaire de l’autorité publique, détention de stupéfiants, violation du secret professionnel, de faux en écriture, escroquerie, etc. Les trois gradés ont été mutés dans l’intérêt du service et deux ont, depuis, fait valoir leur droit à la retraite.
L’ex-candidate française à la Commission européenne est poursuivie pour détournement de fonds publics dans l’affaire des emplois suspectés fictifs des assistants d’eurodéputés MoDem.
Les choses se gâtent pour Sylvie Goulard. Contrainte de démissionner de son poste de ministre des Armées en juin 2017, à peine un mois après sa nomination, car accusée d’être impliquée dans l’affaire des emplois suspectés fictifs des assistants d’eurodéputés MoDem, l’ex-candidate à la Commission européenne a été mise en examen pour détournement de fonds publics, vendredi 29 novembre à l’issue de son audition au tribunal de Paris, rapporte Ouest Francece lundi 2 décembre, de source judiciaire.
Nouvelle mise en examen au MoDem
Le nom de l’ancienne eurodéputée, qui a siégé à Strasbourg de 2009 à 2017, est cité dans deux enquêtes : l’une menée par la justice française, l’autre par l’Office européen de lutte antifraude (Olaf). Elle avait été entendue le 10 septembre dernier, dans le cadre d’une audition libre, par les enquêteurs de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF) à Nanterre, dans les Hauts-de-Seine. Le lendemain, c’était au tour du président du parti centriste, François Bayrou, à nouveau convoqué le 6 décembre, puis de l’éphémère ministre chargée des Affaires européennes, Marielle de Sarnez, d’être interrogés.
Le directeur financier du MoDem, Alexandre Nardella, premier responsable du parti à être entendu par les juges d’instruction, avait été mis en examen vendredi 15 novembre pour complicité de détournement de fonds publics et recel de fonds publics. Idem pour l'ancien garde des Sceaux, Michel Mercier. Au total, une quinzaine de personnes, dont des eurodéputés et des cadres du parti, doivent s’entretenir avec les enquêteurs dans les semaines à venir. Cette affaire a également eu raison des chances de Sylvie Goulard d’être propulsée commissaire française à la Commission européenne. Sa candidature a été refusée en octobre par les eurodéputés.
La France a renoncé à la livraison controversée de six navires à la Libye pour renforcer le contrôle de ses côtes, en raison de « la situation » dans le pays, a appris l'AFP lundi 2 décembre, de sources concordantes. La ministre des Armées Florence Parly « a finalement décidé de ne pas livrer les embarcations à cet Etat », écrit le ministère dans un mémoire envoyé à la Cour administrative d'appel de Paris, saisie par huit ONG qui redoutaient des « crimes » contre les migrants. « La situation en Libye ne permet pas de réaliser ce don d'embarcations », a confirmé le ministère des Armées.