La mort héroïque de Dominique Venner a provoqué une vague de haine chez les grenouilles de bénitiers.
Certains de ces tarés se sont exprimés dans Rivarol (24 mai). Ils déversent dans les colonnes de ce journal, qui accueillent décidément le meilleur et le pire, leur venin de fanatiques sectaires, dont les délires sont comparables à ceux des zélotes des deux autres religions monothéistes. Ce sont de grands malades. Ils signent François Berger (« son action ne peut être défendue ni justifiée »), Pierre Labat (« un acte lâche, odieux (…) qui inspire le plus profond dégoût » (…) Venner meurt comme il a vécu : de manière lâche et pitoyable »), Nicolas Bertrand (« les chrétiens s’indignent du sacrilège de son acte », c’est « une forme d’abandon », une « tradition non européenne »). Ce minable n’a à l’évidence aucune connaissance de la tradition européenne (des Romains aux Berlinoises se tuant pour échapper aux Rouges), ce qui est normal puisque la sienne vient des bords du Jourdain.
En tout cas, notons soigneusement le nom de ces cloportes.
Les chrétiens et Dominique Venner
Emporté par mon indignation, dans mon précédent message j’ai omis, à tort, de mentionner que certains catholiques ont manifesté à l’égard de la mort de Dominique Venner une opinion parfaitement digne, voire une émotion qui mérite d’être saluée. Qu’ils trouvent ici l’expression de mes regrets et de mon respect, qui ne sont que justice à leur égard.
Pierre Vial