{xtypo_dropcap}A{/xtypo_dropcap}znar le minable a entraîné son pays à la remorque des États-unis dans l’affaire d’Irak, contre le sentiment profond, clairement exprimé, du peuple espagnol (on peut en dire autant pour la Grande-Bretagne et l’Italie). Un peuple espagnol qui paye aujourd’hui le prix du sang. Et qui se trouve ainsi plongé jusqu’au cou dans la guerre mondiale engagée par les islamistes contre tous ceux qu’ils qualifient d’« infidèles » ou de « croisés », en confondant dans la même haine viscérale Européens et Américains. Ce qui est absurde, mais qui correspond à la logique du djihâd, la guerre sainte engagée pour plier le monde entier sous la Loi de l’islam (telle est, quoi qu’en disent les aveugles et les sourds volontaires ou involontaires, la base du message de Mahomet, comme on peut le constater en lisant le Coran).

Ironie tragique de l’Histoire : il faut le carnage des attentats de Madrid pour que les Européens prennent pleinement conscience de la volonté meurtrière des fanatiques de l’islam…

 

De façon ignoble, Aznar et sa clique de la droite libérale ont essayé de faire porter le chapeau du terrorisme aux Basques, en les diabolisant. Par sordide calcul électoral. Mais aussi, tout simplement, parce que ces Basques ont l’insupportable audace de vouloir la reconnaissance de leur identité... Tout comme les Catalans. Partout en Europe se lève le vent identitaire, à la grande inquiétude des larbins du Système, de droite et de gauche. Nous sommes, évidemment, entièrement partie prenante dans cette aventure de réappropriation, par les peuples européens, de leur identité. Et nous sommes donc clairement engagés dans cette œuvre qui est la seule perspective d’avenir pour les Européens : LA RECONQUÊTE.

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