Editorial Pierre Vial
Il n’en revient pas, Amaury de Foucauld, d’avoir été traité de “Sale Blanc”. Est-il naïf, inconscient ou veut-il se voiler la face, refusant d’admettre la réalité ? Ce négociant en vin, qui estime avoir perdu en six semaines ce qu’il avait gagné en deux ans (Le Monde, 1er mars 2009), illustre la situation désormais faite aux Blancs en Guadeloupe et en Martinique. Tout comme Roger de Jaham, qui ne comprend pas non plus ce qui lui arrive : “Pour la première fois de ma vie, un homme que je saluais m’a dit : « Je ne serre pas la main d’un béké » (c’est-à-dire un Blanc)”.
Les “événements” (comme on disait à l’époque de la guerre d’Algérie, pour ne pas prononcer le mot “guerre”) ont révélé une réalité dérangeante, à savoir la dimension raciale du conflit antillais (vite transposé à La Réunion et en Guyane). Cette évidence, constatée lors d’un débat sur France-Info (12 février) avec Denis Olivennes, directeur du Nouvel Observateur, a été reconnue aussi par Béatrice Gurrey, envoyée spéciale du Monde en Guadeloupe, qui, décrivant les négociations entre, d’un côté, le secrétaire d’État à l’Outre-mer Yves Jégo accompagné des représentants de l’État et, de l’autre, Elie Domota et les membres du “Collectif contre l’exploitation”, notait : “Une rangée d’hommes blancs face à une rangée d’hommes – et une femme – noirs” (Le Monde, 6 février 2009). Tout est dit. Un climat de haine contre les Blancs est entretenu par le LKP (“Collectif contre l’exploitation”) d’Elie Domota, né, comme par hasard, au lendemain de l’élection d’Obama. Le LKP fait applaudir la foule quand un discours évoque la guillotine révolutionnaire sur laquelle sont montés en 1793 bien des colons venus de France et ancêtres des békés. Les biens de ceux-ci sont saccagés : hypermarché Carrefour, concession automobile, grand magasin de pneus, société d’équipements nautiques, maison de la presse (Le Monde, 19 février). Quant aux forces de l’ordre, bien sûr accusées de faire du racisme anti-Noirs, on leur tire dessus au fusil à pompe ou à l’arme de poing. Quand des chefs d’entreprises – blancs, bien sûr – manifestent leur volonté de retrouver des conditions de travail normales, ils sont agressés, caillassés et Domota leur promet qu’ils seront chassés de la Guadeloupe. Une violence raciste que Christiane Taubira, député de Guyane venue soutenir ses frères noirs, qualifie de “culturelle et identitaire”…
Malgré la manne de l’État, qui s’imagine toujours qu’on peut tout régler en distribuant de l’argent (2,5 milliards d’euros programmés en 2009 pour la Guadeloupe, plus une rallonge de 190 millions), les chefs d’entreprise savent que beaucoup de faillites sont inévitables. D’autant que les Noirs refusent nombre d’emplois, sous prétexte de refuser “l’esclavage” (tarte à la crème brandie sans cesse par les émeutiers).
Jacques Maillot, patron de l’agence de voyages Corsair (et homme de gauche) explique qu’il n’a jamais trouvé de personnel d’hôtellerie chez les Noirs car ils ne “voulaient plus servir les Blancs”. Quand un grand patron, Alain Huygues-
Despointes, ose rappeler certaines évidences sur Canal+ (“Dans les familles métissées, les enfants sont de couleurs différentes, il n’y a pas d’harmonie. Moi, je ne trouve pas ça bien. Nous, on a voulu préserver la race”), il se fait incendier par Yves Jégo, dénonçant des propos “parfaitement ignobles”, ce qui est logique car l’idéologie officielle de l’État français exige une société multiraciale. Cette exigence est largement admise, au sein de la population dite française, par beaucoup de Blancs, qui renoncent de fait à leur identité. Y compris au sein de l’extrêmedroite, d’Alain de Benoist à Marine Le Pen et à ses nouveaux amis, comme Bouchet, des monarchistes orléanistes à certains méridionaux se disant “identitaires” mais acceptant le métissage ou encore au provocateur professionnel qu’est Soral.
C’est pourquoi il faut saluer le courage de ceux qui osent aujourd’hui braver interdits et tabous pour dire “Oui, les
races existent !”. Tel est le titre du dossier, solidement documenté et parfaitement pondéré, du numéro 29 (février 2009) du Choc du mois. Son maître d’oeuvre, Bruno Larebière, dénonce l’hypocrisie régnante, en rappelant qu’on est bien loin, aujourd’hui, du temps (en 1984 !), où L’Express affichait partout, pour faire la publicité d’un numéro consacré à la démographie : “La race blanche menacée”.
Aujourd’hui la ligne de clivage déterminante, dans toutes les familles de pensée, est là. Il y a ceux qui, conscients de leur identité blanche, veulent tout faire pour la préserver et transmettre ce trésor unique, irremplaçable, à leurs enfants et petits-enfants. Et il y a les autres, tous les autres, qui trahissent leur héritage pour être au goût du jour – et qui espèrent (pauvre illusion) échapper ainsi à la grande confrontation qui se prépare.
Donc, puisqu’il faut maintenant aller à l’essentiel, allons y : il est grand temps de mettre en place, partout où sont nos frères à la surface de la planète, la Fraternité Blanche.
PIERRE VIAL
Terre et Peuple la revue Equinoxe de Printemps n°39
Il n’en revient pas, Amaury de Foucauld, d’avoir été traité de “Sale Blanc”. Est-il naïf, inconscient ou veut-il se voiler la face, refusant d’admettre la réalité ? Ce négociant en vin, qui estime avoir perdu en six semaines ce qu’il avait gagné en deux ans (Le Monde, 1er mars 2009), illustre la situation désormais faite aux Blancs en Guadeloupe et en Martinique. Tout comme Roger de Jaham, qui ne comprend pas non plus ce qui lui arrive : “Pour la première fois de ma vie, un homme que je saluais m’a dit : « Je ne serre pas la main d’un béké » (c’est-à-dire un Blanc)”.
Les “événements” (comme on disait à l’époque de la guerre d’Algérie, pour ne pas prononcer le mot “guerre”) ont révélé une réalité dérangeante, à savoir la dimension raciale du conflit antillais (vite transposé à La Réunion et en Guyane). Cette évidence, constatée lors d’un débat sur France-Info (12 février) avec Denis Olivennes, directeur du Nouvel Observateur, a été reconnue aussi par Béatrice Gurrey, envoyée spéciale du Monde en Guadeloupe, qui, décrivant les négociations entre, d’un côté, le secrétaire d’État à l’Outre-mer Yves Jégo accompagné des représentants de l’État et, de l’autre, Elie Domota et les membres du “Collectif contre l’exploitation”, notait : “Une rangée d’hommes blancs face à une rangée d’hommes – et une femme – noirs” (Le Monde, 6 février 2009). Tout est dit. Un climat de haine contre les Blancs est entretenu par le LKP (“Collectif contre l’exploitation”) d’Elie Domota, né, comme par hasard, au lendemain de l’élection d’Obama. Le LKP fait applaudir la foule quand un discours évoque la guillotine révolutionnaire sur laquelle sont montés en 1793 bien des colons venus de France et ancêtres des békés. Les biens de ceux-ci sont saccagés : hypermarché Carrefour, concession automobile, grand magasin de pneus, société d’équipements nautiques, maison de la presse (Le Monde, 19 février). Quant aux forces de l’ordre, bien sûr accusées de faire du racisme anti-Noirs, on leur tire dessus au fusil à pompe ou à l’arme de poing. Quand des chefs d’entreprises – blancs, bien sûr – manifestent leur volonté de retrouver des conditions de travail normales, ils sont agressés, caillassés et Domota leur promet qu’ils seront chassés de la Guadeloupe. Une violence raciste que Christiane Taubira, député de Guyane venue soutenir ses frères noirs, qualifie de “culturelle et identitaire”…
Malgré la manne de l’État, qui s’imagine toujours qu’on peut tout régler en distribuant de l’argent (2,5 milliards d’euros programmés en 2009 pour la Guadeloupe, plus une rallonge de 190 millions), les chefs d’entreprise savent que beaucoup de faillites sont inévitables. D’autant que les Noirs refusent nombre d’emplois, sous prétexte de refuser “l’esclavage” (tarte à la crème brandie sans cesse par les émeutiers).
Jacques Maillot, patron de l’agence de voyages Corsair (et homme de gauche) explique qu’il n’a jamais trouvé de personnel d’hôtellerie chez les Noirs car ils ne “voulaient plus servir les Blancs”. Quand un grand patron, Alain Huygues-
Despointes, ose rappeler certaines évidences sur Canal+ (“Dans les familles métissées, les enfants sont de couleurs différentes, il n’y a pas d’harmonie. Moi, je ne trouve pas ça bien. Nous, on a voulu préserver la race”), il se fait incendier par Yves Jégo, dénonçant des propos “parfaitement ignobles”, ce qui est logique car l’idéologie officielle de l’État français exige une société multiraciale. Cette exigence est largement admise, au sein de la population dite française, par beaucoup de Blancs, qui renoncent de fait à leur identité. Y compris au sein de l’extrêmedroite, d’Alain de Benoist à Marine Le Pen et à ses nouveaux amis, comme Bouchet, des monarchistes orléanistes à certains méridionaux se disant “identitaires” mais acceptant le métissage ou encore au provocateur professionnel qu’est Soral.
C’est pourquoi il faut saluer le courage de ceux qui osent aujourd’hui braver interdits et tabous pour dire “Oui, les
races existent !”. Tel est le titre du dossier, solidement documenté et parfaitement pondéré, du numéro 29 (février 2009) du Choc du mois. Son maître d’oeuvre, Bruno Larebière, dénonce l’hypocrisie régnante, en rappelant qu’on est bien loin, aujourd’hui, du temps (en 1984 !), où L’Express affichait partout, pour faire la publicité d’un numéro consacré à la démographie : “La race blanche menacée”.
Aujourd’hui la ligne de clivage déterminante, dans toutes les familles de pensée, est là. Il y a ceux qui, conscients de leur identité blanche, veulent tout faire pour la préserver et transmettre ce trésor unique, irremplaçable, à leurs enfants et petits-enfants. Et il y a les autres, tous les autres, qui trahissent leur héritage pour être au goût du jour – et qui espèrent (pauvre illusion) échapper ainsi à la grande confrontation qui se prépare.
Donc, puisqu’il faut maintenant aller à l’essentiel, allons y : il est grand temps de mettre en place, partout où sont nos frères à la surface de la planète, la Fraternité Blanche.
PIERRE VIAL
Terre et Peuple la revue Equinoxe de Printemps n°39