Le 4 octobre, François, le pape jésuite, a publié une encyclique qui confirme la détérioration de son état mental mais renvoie aux tout premiers temps de l’Eglise, quand celle-ci sapait par sa propagande les bases de l’empire romain. Il y indique en effet qu’il a puisé son inspiration, axée sur le déracinement, dans les déclarations du grand imam du Caire Ahmad Al-Tayyeb, cité à cinq reprises.
Le texte s’attaque à la notion traditionnelle de frontières, trop perturbatrice, paraît-il, pour les malheureux migrants qui envahissent l’Europe : « Les limites et les frontières des Etats ne peuvent pas s’opposer » à l’arrivée d’un migrant car il n’est pas un « usurpateur ». Donc, « personne ne peut être exclu, peu importe où il soit né » car « chaque pays est également celui de l’étranger ». En conséquence il est « important d’appliquer aux migrants arrivés depuis quelque temps et intégrés à la société le concept de « citoyenneté » et « renoncer à l’usage discriminatoire du terme « minorités ». Car « les migrants, si on les aide à s’intégrer, sont une bénédiction, une richesse, un don qui invitent une société à grandir ». Il se confirme ainsi que le Bergoglio est un des pires ennemis de notre identité, un nuisible.
On sait par ailleurs que certaines « œuvres » des Jésuites sont financées en partie par l’Open Society de Soros, bien connu de nos services. Tout se tient.
Pierre Vial