L’état parasite use de son droit d’aubaine à outrance, et il le fait savoir à grand coup d’opérations médiatiques. Le peuple est spolié du fruit de son travail et rincé par des luttes syndicales qui n’aboutissent à rien car tout est joué en coulisse, rincé par des élections aux scores répétitifs (les révolutions de papier n’existent pas). Le peuple est fatigué et il le fait savoir  par son silence. Rien, pas une once de révolte dans l’air. Pourtant toutes les conditions propices à une réaction salvatrice sont réunies. Hausses en tout genre vont venir une fois de plus étrangler le contribuable et les entreprises créatrices de richesses. Avec un tel plan la relance économique n’est pas pour demain, par contre la paupérisation croissante de l’ensemble des classes moyennes est au rendez-vrous.  Un nivellement par le bas, décidemment c’est une habitude pour cette République, qui rendra évidemment les pauvres encore plus pauvres et les classes dominantes mondialisées encore plus riches.

Par cette fiscalité nous finançons chaque jour un peu plus la mort planifiée de notre peuple, un peu à l’image d’un moribond faisant l’acquisition d’un cercueil et d’un bout de parcelle au cimetière.  Les coupables sont en premier lieu les politiques, préoccupés par leurs réussites personnelles, mais qui pour certains, tomberont avec le peuple lorsque les dirigeants du nouvel ordre mondial en auront décidé autrement.  La finance internationale étouffe le budget des nations avec leurs systèmes pervers que l’on nomme «  la dette » ou encore «  la crise » afin de dissimuler certaines vérités pas si difficile à comprendre. Le FMI (Fonds Monétaire International, présidé par une certaine Christine Lagarde, proche d’un Nicolas Sarkozy) finit de mettre à genoux les peuples lorsque ses derniers sont asphyxiés par la «  fortune anonyme et vagabonde » autrement dit les Banques de la finance internationale qui se gavent à grand coup d’intérêts en prêtant de l’argent fictif aux Nations.

Chaque jour par nos impôts et taxes diverses nous finançons ces institutions, mais également une immigration galopante, véritable armée de réserve du Capital, qui a pour but de nous diluer dans des affrontements interethniques afin de nous faire oublier le fond du problème.

Le peuple ne dit rien… Cependant un choix s’impose, l’insurrection ou la promesse d’un monde vétuste et sans joie : travaille, consomme, paye et crève!

Llorenç P.A

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