Avec ce manifeste, l’auteur nous offre un essai de métapolitique en forme de Que faire ? euro-américain qui déconstruit à la perfection tous les sophismes mondialistes. Il convoque à cette fin aussi bien le court terme (les conséquences négatives de l’accroissement de la « diversité », euphémisme pour désigner le remplacement des Blancs par des non-Blancs) que le long terme (menace de génocide lent et « froid » de notre race sous l’effet d’idées et de valeurs se substituant à nos valeurs traditionnelles, puis modifiant lois et institutions).
Les causes biologiques du génocide blanc en acte (perte d’habitat, espèces envahissantes, hybridation et prédation) étant désormais bien visibles, il importe à présent d’engager le combat politique pour la survie à partir de la base la plus profonde, la race. En effet, « plus tôt nous nous verrons nous-mêmes comme des Blancs, unis par des ennemis et des défis communs, partageant une origine commune et un destin commun, plus tôt nous serons à la hauteur des tâches qui nous attendent ».
Il est permis de dire, sans tomber dans la rhétorique, que la lecture de cet essai s’impose à tous ceux qui ont compris que, si l’on veut sauver toutes les espèces en danger, il faut commencer par sauver la race blanche.