Les mots ne sont pas innocents, ce sont des armes : nommer et donner un sens aux choses, aux gens, aux notions et aux concepts, puis imposer l’emploi de ces noms et ces sens est un acte capital pour guider la pensée. La Résistance identitaire se doit alors de forger ses propres outils linguistiques.
Parmi les premières propositions, nous suggérons de différencier l’emploi des expressions « Européen de racine » et « Européen de souche » en s’appuyant sur la différence qui existe entre la racine qui est vivante et véhicule l’énergie de la sève et la souche qui représente le résidu, frappé à mort, d’un arbre coupé.
Par « Européens de racine » nous désignons les Européens de race blanche pour qui la tradition culturelle et morale de leur peuple reste une réalité vivante et consciente, donc une source d’inspiration pour la pensée ou la création et un guide pour l’action.
Par « Européens de souche » nous désignons à l’inverse les Européens de race blanche qui ont perdu le contact avec leur tradition culturelle et morale. S’ils possèdent encore le substrat biologique sans lequel il serait vain de les considérer comme Européens, ils sont démunis de l’élément spirituel qui seul peut donner un sens à leur existence. « L’Européen de souche » se confond alors volontiers avec le zombi occidental dans lequel on reconnaît aisément le « dernier homme » prophétisé par Nietzsche.
Parmi les premières propositions, nous suggérons de différencier l’emploi des expressions « Européen de racine » et « Européen de souche » en s’appuyant sur la différence qui existe entre la racine qui est vivante et véhicule l’énergie de la sève et la souche qui représente le résidu, frappé à mort, d’un arbre coupé.
Par « Européens de racine » nous désignons les Européens de race blanche pour qui la tradition culturelle et morale de leur peuple reste une réalité vivante et consciente, donc une source d’inspiration pour la pensée ou la création et un guide pour l’action.
Par « Européens de souche » nous désignons à l’inverse les Européens de race blanche qui ont perdu le contact avec leur tradition culturelle et morale. S’ils possèdent encore le substrat biologique sans lequel il serait vain de les considérer comme Européens, ils sont démunis de l’élément spirituel qui seul peut donner un sens à leur existence. « L’Européen de souche » se confond alors volontiers avec le zombi occidental dans lequel on reconnaît aisément le « dernier homme » prophétisé par Nietzsche.
JPA