Jean Raspail

 

Chapeau bas et épée levée, je salue Jean Raspail. C’était un homme. Un vrai. Appartenant donc à une race en train de disparaître, devant l’invasion des pygmées et de la racaille en tous genres. Lucide, il disait « Les carottes sont cuites ».

Lire Jean Raspail, c’est retrouver la voix de nos Anciens. Avons-nous su être leurs dignes héritiers ? Pour quelques uns d’entre nous, je crois que oui. Mais, au-delà de ce cercle d’initiés, on ne peut voir que lâcheté, bêtise, démission. Est-ce la fin d’une race ? Après tout, les dieux en ont peut-être décidé ainsi.

Pierre Vial

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