21 septembre, 2017
Jeune Nation
Dans une tribune sur la moralisation de la vie politique française du 20 juillet 2017 publiée sur son site, le président de la LICRA, Alain Jakubowicz avait déclaré que les racistes, les antisémites, les négationnistes et les homophobes n’ont rien à faire sur un bulletin de vote. Il souhaitait ainsi (et on sait le caractère d’oukase qui s’attache aux « souhaits » de ces gens-là…) que le « Parlement grave dans le marbre de la loi que l’expression du racisme, de l’antisémitisme, du négationnisme, de la xénophobie, de l’homophobie ou de toute forme de discrimination doit conduire à l’inéligibilité de son auteur ».
Il concluait son « appel » par une menace à peine voilée : « A l’issue du vote et du scrutin public sur ces amendements, chacun saura qui a voulu entrer dans l’Histoire en faisant sortir des hémicycles les racistes, les antisémites, les négationnistes, les xénophobes et les homophobes. ». Gare à celui dont le vote manquera…
Des députés couchés
Et comme de bien entendu, les députés qui ont bien intégré les désirs du lobby du judaïsme politique, ont adopté dans la nuit du 24 au 25 juillet, un amendement qui introduit dans le Code pénal une peine d’inéligibilité applicable aux personnes reconnues coupables de racisme, d’antisémitisme, de négationnisme, d’homophobie, d’incitation au terrorisme, d’apologie de crime contre l’humanité et de toute forme de discrimination. Désormais, en vertu de ce texte, toute personne condamnée pour ce type de délit devrait être inéligible quasi-automatiquement pour une période pouvant aller jusqu’à dix ans, sauf décision contraire du juge…
Commentant l’adoption de cet amendement scélérat, un magazine français nous apprend qu’il s’agit de l’aboutissement d’un long travail de lobbying porté par la LICRA et son président : « Cela fait des années que l’on essayait d’amender dans ce sens la loi Pleven de 1972 » avoue Alain Jakubowicz.
Les velléités de censure de la LICRA tancées par le Conseil constitutionnel
Manque de bol, le vendredi 8 septembre dernier, le Conseil constitutionnel, dans un geste un peu fou mais salutaire, a fait preuve pour une fois de courage. Il a censuré l’amendement liberticide dans des termes sans équivoques, assénant à la face de ses promoteurs qu’il « porte une atteinte disproportionnée à la liberté d’expression » ! Le Conseil a ainsi réduit la liste des délits auxquels s’attache une inéligibilité automatique en retirant « certains délits de presse punis d’une peine d’emprisonnement » (injure raciale, diffamation raciale, incitation à la haine raciale).
La LICRA, toujours plus loin, toujours plus fort dans la scélératesse…
La LICRA fulmine et revendique désormais sans vergogne une entorse encore plus grave aux principes qui régissent l’écrit et la parole en France. Dans un communiqué elle réclame donc l’alignement du régime de la législation antiraciste sur celui de la répression de l’apologie du terrorisme qui ne bénéficie plus des garanties – fort minimales malgré tout – de la loi du 29 juillet 1881 que l’on croyait pourtant « sanctuarisées » comme appartenant à leurs droits de l’homme…
« La LICRA demande au Président de la République, au Gouvernement et à la Garde des Sceaux de prendre ce problème à bras le corps et de sortir au plus vite la législation antiraciste de la loi sur la presse pour la faire entrer enfin dans le régime général du code pénal ».
Gageons que le gouvernement de l’obligé des Rothschild (Macron : simple imposteur ou véritable escroc ?) ne tardera pas à lui donner satisfaction… Rien d’étonnant pour nous, nationalistes, qui savons bien que leur liberté d’expression n’est qu’un bâillon mais qui n’entame pas notre détermination !