Le gauchisme est une pathologie. Un cancer. Une idéologie totalitaire déguisée en humanisme. Depuis des décennies, cette minorité bruyante, arrogante et doctrinaire a infiltré et asservi la France. Leur terrain de jeu ? L’éducation nationale, les associations subventionnées, les syndicats parasitaires et toutes les institutions qui forgent les esprits et modèlent les consciences. Leur méthode ? Une rééducation morale et intellectuelle de masse, financée par l’argent public, imposée par la menace et soutenue par leur contrôle des médias, des universités, et des cercles culturels.
Ils ont colonisé l’instruction de millions d’enfants, transformant l’école en camp d’entraînement idéologique. On n’enseigne plus à penser, on programme. Ils ont imposé leurs dogmes : l’antiracisme hystérique, la culpabilisation perpétuelle, la culture de l’excuse et la haine de la nation. Tout cela en prétendant lutter contre les « intolérances », tout en pratiquant les purges intellectuelles contre quiconque ne se soumet pas à leur vision du monde.
Le gauchisme, ce n’est pas un courant politique. C’est une machine à écraser les consciences. Un système d’oppression intellectuelle qui se pare de vertus pour mieux imposer ses vices. Ils parlent de liberté d’expression, mais censurent. Ils prônent la diversité, mais n’acceptent qu’un discours unique. Ils se disent tolérants, mais traquent toute dissidence avec une violence inquisitoriale.
Regardez autour de vous. Le cinéma gauchiste de Redon qui s’indigne qu’un film de Tommy Robinson soit diffusé à Challans tout en organisant des soirées à la gloire des migrants ou du Kurdistan. Ces militants auto-proclamés progressistes qui prétendent être les gardiens de la vertu alors qu’ils ne sont que les geôliers de la liberté. Ils veulent rééduquer nos esprits « malades ». Mais qui sont-ils pour nous dicter comment penser, parler, agir ?
Ils prospèrent parce que trop longtemps, la droite, les conservateurs, et même les modérés ont baissé la tête. Ils ont eu peur. Peur de perdre leur poste, leur réputation, leur confort. Mais cette époque est révolue.
Le temps de l’affrontement est venu.
Il faut les regarder droit dans les yeux et leur répondre par un « non » franc et massif. Non à leur propagande. Non à leur chantage moral. Non à leur censure. Non à leur mainmise sur notre société. Et si leur arrogance persiste, il faudra leur cracher à la figure. Pas de compromis, pas de reddition.
Partout dans le monde, les peuples se réveillent. L’Argentine avec Milei, les États-Unis avec Trump, et bientôt l’Europe tout entière. Les gesticulations des gauchistes, leur volonté de censure, leurs agressions n’arrêteront pas ce mouvement. Ils le savent, et leur panique est palpable.
Ils tentent de réécrire l’Histoire, mais bientôt ils seront effacés d’elle. Ils cherchent à imposer la table rase, mais c’est eux qui seront balayés. Le gauchisme n’a jamais été qu’un cancer. Il est temps de le neutraliser, de lui couper ses vivres, d’éteindre sa lumière, et de lui montrer la porte. Dehors. A fuera.
L’Histoire retiendra qu’une petite minorité a voulu imposer sa loi à un peuple entier. Mais elle retiendra aussi que ce peuple finira par se lever, par reprendre le contrôle, et par rejeter cette idéologie mortifère dans les oubliettes où elle aurait toujours dû rester.
Si on ne vainc pas le cancer, il nous tue. Choisissons la vie. Choisissons la liberté. Choisissons la résistance.
Julien Dir
Illustration : DR
Source : Breizh-info.com - 06/12/2024