Le Planning Familial ne vit que grâce à l’argent de vos impôts, taxes, charges, que des élus redistribuent depuis des années, sous forme de subventions publiques, à cette association militante, comme à des tonnes d’autres.
Et lorsque l’on lit le lexique Trans du Planning Familial, on est en droit de se demander si les subventions massives accordées (notamment par des élus en Bretagne) sont justifiées.
« Un pénis est un pénis, pas un organe sexuel mâle. » Voilà ce que l’on peut lire dans un « lexique trans ». Ce lexique est une sorte de dictionnaire totalement hors-sol, qui tend à modifier, au nom de l’inclusivité, certaines définitions de mots acceptées jusque-là par tout le monde. « Les définitions proposées font consensus dans notre groupe », précise l’association.
Voici un florilège de quelques définitions délirantes :
Genre : Classe sociale construite culturellement. En occident, cela admet deux catégories, dont une dominée : les femmes ; et une dominante : les hommes. Genre est également utilisé en raccourci pour désigner l’identité de genre.
AMAB (acronyme de Assigned Male At Birth) : Personne assignée homme à la naissance.
AFAB (acronyme de Assigned Female At Birth) : Personne assignée femme à la naissance. Ces acronymes sont à proscrire pour désigner des personnes. Ils ne servent qu’à renseigner sur l’assignation qu’a subi un individu, à ne faire que si nécessité absolue dans le contexte.
Les nouveaux Khmers rouges dressent également une liste de termes à ne pas utiliser
Masculin/Féminin : Adjectifs se référant à une adéquation avec des stéréotypes genrés. Il peut être tentant de les utiliser, mais demandez-vous au préalable si leur utilisation ne sera pas vécue comme un jugement (qu’il soit positif ou négatif) du cispassing de quelqu’un·e.
Transsexuel·le : Ce terme pathologisant, introduit par les psychanalystes dans les années 50 dans le registre de la psychose, est proscrit aujourd’hui. De plus, il répand par son étymologie, la confusion que les transidentités seraient une « sexualité ».
On vous laisse découvrir l’intégralité du lexique du Planning familial ici
Pour rappel, le Mouvement français pour le planning familial, ou planning familial, est une association française régie par la loi de 1901. Il est structuré en une confédération nationale qui regroupe 20 fédérations régionales, composées de 69 associations départementales autonomes. Créé en 1960, il a pour objectif l’éducation sexuelle, la lutte pour le droit à la contraception et à l’avortement et le contrôle des naissances en général, à l’origine dans une optique féministe universaliste, universalisme remis en cause au tournant des années 2018-2019.
Nous vous laissons découvrir les liasses de billets touchés par le planning familial en Bretagne ces dernières années, rien que de la région Bretagne.
La confédération du Planning Familial (nationale donc) a touché, en 2018, 270 000 € ainsi qu’une subvention exceptionnelle et spécifique de 100 000 € pour une campagne d’information et des outils de communication sur le droit à l’avortement.
En 2014, au Sénat, le sénateur Guérini faisait état de 750 000 euros par an versés au total pour les antennes départements du Planning familial, un chiffre revu à la hausse depuis.
Avec votre argent, cette association fait donc la promotion d’un changement sociétal radical, que seules de toutes petites minorités agissantes et influentes souhaitent réellement. Ces subventions sont-elles dès lors justifiées ? A chacun d’interroger les élus qui les votent et qui distribuent votre argent…
Source : Breizh-info.com - 2021