
Le 35ème sommet de la Coopération économique Asie-Pacifique (APEC), composé de 21 pays d'Amérique du Nord, d'Amérique du Sud et d'Asie du Sud-Est, qui s'est tenu au Pérou en novembre 2024, a montré que l'équilibre des pouvoirs évoluait rapidement. On constate que les États-Unis perdent de leur influence, même s'ils tentent par divers moyens de maintenir leur hégémonie.
Lire la suite : L'APEC et la géoéconomie à la chinoise par Leonid Savin

Madame Le Pen, Mesdames et Messieurs du Rassemblement national,
Vous voilà donc tombée. Une condamnation, une peine de prison ferme, l’inéligibilité. L’échafaud judiciaire s’est abattu, et soudain, le masque de la démocratie s’est fendu. Jordan Bardella parle d’enterrement de la démocratie ? Il a raison. Mais le cercueil n’a pas été descendu dans la fosse hier. Cela fait longtemps que la pelle tourne.

« Le pacifisme est un rêve noble, mais malheureusement, pour l’instant, c’est un rêve qui produit des cauchemars. »
José Manuel Sánchez Ron (*), journal ABC, 15 mars 2025.
Les intellectuels proches de Bruxelles et de Washington ont déjà lancé une campagne sentimentale et émotionnelle pour adopter l’européisme comme moyen de défense de la démocratie et de la liberté sur notre continent. Ils basent leurs arguments sur l’histoire, les guerres et la menace russe, et les assaisonnent d’attaques contre Trump, lui reprochant de ne pas être assez démocrate et même de ne pas être un bon dirigeant.

Sparta est une revue théorique d’orientation païenne, racialiste et identitaire, fondée en novembre 2020. Sous-titrée « Ordre vital – Perspective ethnoraciale – Critique sociale », la revue entend remplir une fonction décisive d’approfondissement doctrinal et de transmission de l’héritage ancestral indo-européen, et contribuer à « tout faire pour se réapproprier un héritage doctrinal et spirituel précis sans jamais passer par les filtres de la culture dominante ». Elle est publiée par les Éditions Aidôs.
Lire la suite : Parution du n°4 de la revue Sparta : le Fascisme comme phénomène européen

Le retard de l'accord sur les matières premières entre l'Ukraine et les États-Unis pourrait avoir un contexte explosif : apparemment, Zelensky aurait déjà cédé des ressources minérales essentielles à la Grande-Bretagne en janvier - une manœuvre qui suscite maintenant des tensions diplomatiques.

« Notre pays a été pillé, saccagé, violé et dévasté », assène Donald Trump. Pour certains, ces mots sont excessifs. Pour d’autres, ils sonnent comme une douloureuse vérité. Car le XXe siècle finissant et le XXIe naissant ont vu l’Occident — États-Unis en tête — sacrifier ses classes moyennes, ses ouvriers, son tissu industriel, sur l’autel d’un libre-échange absolu, dérégulé et aveugle. Aujourd’hui, Trump réagit. Il frappe fort. Il referme les frontières douanières. Et il a raison.
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