Je fis la connaissance de Guillaume Faye à Lille pendant l’hiver 1975-1976. Dans une salle de la métropole de la Flandre gallicane, il prononçait une conférence sur l’indépendance énergétique de l’Europe. Un sujet qu’il a toujours eu à cœur, plaidant inlassablement pour une autarcie énergétique basée principalement sur le nucléaire, comme le voulait la France depuis les années 1960. L’indépendance énergétique procure la puissance, mot essentiel dans son discours, laquelle permet d’échapper à la soumission à l’hégémon américain. S’il y a soumission et non puissance, le déclin, la déchéance et la disparition s’ensuivent. Détenir la puissance permet de gérer, d’administrer et d’affronter le réel. Faye s’est toujours déclaré « réalitaire et acceptant ».
Samedi 19 octobre à Rouen : c’était la Marche de la fierté normande !
Le 19 octobre 2024, dans la capitale historique et régionale normande, fondée par Rollon, premier duc de Normandie entre 911 et 932, s’est déroulée la Marche des Normands, autrement dénommée parfois « Marche de la fierté normande ».
En 1976, Jean-Claude Guillebaud publiait aux éditions du Seuil dans la collection « L’histoire immédiate » Les confettis de l’empire. Son enquête portait sur les derniers vestiges de l’ancien empire colonial français, à savoir les possessions ultra-marines bientôt dénommées DOM – TOM (départements et territoires d’Outre-mer).
Hormis l’Asie, la France est présente sur tous les autres continents sous la forme insulaire, à l’exception de la Guyane en Amérique du Sud et de la Terre-Adélie en Antarctique. Par le jeu des ZEE (zones économiques exclusives), Paris détient derrière les États-Unis d’Amérique le deuxième domaine maritime mondial. À l’encontre d’une idée reçue, ce n’est pas la Fédération de Russie qui compte le plus grand nombre de fuseaux horaires (onze continus), mais la France avec treize (discontinus) !
Lire la suite : L’Outre-mer ne répond plus par Georges FELTIN-TRACOL
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