
Nous avions parlé récemment des films qui n'ont pas été compris - ou pas complètement compris - à leur époque, principalement en raison d'un manque de recul, ou d'une campagne de promotion trompeuse qui substitue l'idée du film au film lui-même.
Lire la suite : Uranus, ou Pétain sauvé des eaux par André Waroch

Récemment, les remarques de la représentante au commerce des États-Unis, Katherine Tai (photo), ont été démenties par l’ambassade de Chine au Brésil.

Lors de sa participation au sommet commercial du B20 à São Paulo, Mme Tai a suggéré que le Brésil devait « se pencher sur les risques » avant de s’engager dans la coopération avec l’Initiative de la Ceinture et de la Route (Belt and Road Initiative, BRI). Il est évident que le voyage de Tai au Brésil est un autre cas de figure illustrant le rôle du « donneur de leçons en voyage d’affaires », car le discours qui présente la Chine comme un « risque » est empreint du spectre de la « Doctrine Monroe ». Comment la Chine, premier partenaire commercial du Brésil, plus grand marché d'exportation et principale source de surplus, pourrait-elle représenter un risque plutôt qu’une opportunité ? De plus, le Brésil n’a pas besoin que d’autres lui imposent avec qui coopérer ou quel type de partenariat mener, et la coopération économique et commerciale normale entre la Chine et les pays d’Amérique latine ne devrait pas être soumise au contrôle de pays tiers.

Les conditions de détention de Tommy Robinson, de son vrai nom Stephen Yaxley-Lennon, font l’objet de vives critiques, en particulier en ce qui concerne son placement en isolement prolongé à la prison de Woodhill. Des documents récents, envoyés aux autorités pénitentiaires britanniques le 7 novembre 2024, dénoncent un traitement dégradant, contraire aux droits fondamentaux reconnus par la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH). Ce traitement suscite l’inquiétude de ses avocats, qui estiment que l’administration pénitentiaire britannique ne respecte pas ses obligations en matière de sécurité et de santé mentale envers leur client.

Copenhague. Deux ans après le dynamitage du gazoduc Nord Stream en mer Baltique, le gouvernement fédéral allemand, officiellement, n'a toujours aucun indice sur les personnes qui pourraient être à l'origine de cette opération de sabotage. Il a en outre déclaré à plusieurs reprises qu'il ne donnerait pas d'informations au public, même s'il en disposait, pour des raisons d' « intérêt national ».
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