La momie Juppé va quitter la mairie de Bordeaux pour être nommé au Conseil constitutionnel
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Le système récompense ses clébards.
Alain Juppé et la mairie de Bordeaux, c'est terminé. Du moins, pour le moment. Le maire de Bordeaux va être nommé par Richard Ferrand au Conseil constitutionnel. Selon nos informations, le président de l'Assemblée nationale devait annoncer cette nomination mercredi, vers 17 heures. Une nomination qui coïncide avec le renouvellement de trois sièges à la fin février. Selon nos informations, le maire de Bordeaux devrait annoncer sa démission, ce jeudi, lors d'une conférence de presse dans sa ville.
En tout, neuf membres siègent au Conseil de la rue Montpensier : il s'agit d'un mandat de neuf ans renouvelé par tiers. Trois membres sont nommés par décision du Président de la République, lequel désigne aussi le Président du Conseil. Trois membres sont nommés par le Président de l'Assemblée nationale et trois autres par le Président du Sénat.
Après sa défaite à la primaire de la droite en 2016, puis celle du candidat LR François Fillon à la présidentielle de 2017, Alain Juppé avait indiqué qu'il se consacrerait à son mandat local, à l'écart des instances nationale de la droite.
Pour autant, il a manifesté à de nombreuses reprises son soutien au Premier ministre, Edouard Philippe, ainsi qu'aux réformes menées par Emmanuel Macron, prenant ses distances du même coup avec la ligne de Laurent Wauquiez.
L'Elysée a confirmé, jeudi soir à LCI, qu'il nommerait l'ancien ministre Jacques Mézard au conseil constitutionnel. Quant au président du Sénat, Gérard Larcher, il a déclaré au même moment qu'il nommerait le sénateur LR du Cher François Pillet.
Source LCI
Parent 1 et Parent 2 pour remplacer père et mère : leur société est folle
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L'Assemblée adopte un amendement pour remplacer "père et mère" par "parent 1 et parent 2" dans les formulaires scolaires
C'est la députée Valérie Petit, issue de la majorité, qui est à l'origine du texte. Toutefois le ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer et la rapporteure Anne-Christine Lang (LREM) ont donné un avis défavorable à cet amendement.
Finies, les mentions "père et mère". L'Assemblée a adopté, mardi 12 février, en première lecture, un amendement qui permet aux formulaires scolaires de porter les mentions "parent 1 et parent 2", dans le cadre du projet de loi "sur l'école de la confiance".
"Cet amendement vise à ancrer dans la législation la diversité familiale des enfants dans les formulaires administratifs soumis à l'école", a expliqué la députée Valérie Petit (LREM) à l'origine du texte. L'élue du Nord a rappelé que nombre de formulaires d'état civil, d'inscription à la cantine ou d'autorisation de sortie scolaire portent toujours les mentions père et mère, en ne tenant pas compte du vote de la loi pour le mariage pour tous et de l'existence de familles homoparentales.
"On a des familles qui se retrouvent face à des cases figées, dans des modèles sociaux et familiaux un peu dépassés. Aujourd'hui, personne ne devrait se sentir exclus par des schémas de pensée un peu arriérés. Pour nous, cet article est une mesure d'égalité sociale", a défendu dans l'hémicycle sa collègue Jennifer de Temmerman (LREM). "Vous n'imaginez pas les conséquences lorsque des enfants ne se sentent pas traités comme les autres", a lancé de son côté le socialiste Joaquim Pueyot.
Le ministre de l'Education Jean-Michel Blanquer et la rapporteure Anne-Christine Lang (LREM) ont donné un avis défavorable à cet amendement. Ils estiment que le changement réclamé ne relève pas du domaine législatif. Le député LR Xavier Breton a dénoncé un amendement relevant "d'une pensée unique et politiquement correcte, qui ne correspond pas à la réalité". "Quand j'entends dire que c'est un modèle dépassé, je rappelle qu'aujourd'hui, dans les unions célébrés, mariages ou PACS, plus de 95% sont des couples homme-femme", a-t-il dit.
Les flics sont-ils des frustrés ?
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Grande exposition sur Homère à Lens
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La plus grande exposition jamais consacrée en France à Homère, l’auteur de L’Iliade et de L’Odyssée, ces deux célèbres épopées qui sont au fondement de toute la culture occidentale. Elle offre une plongée inédite dans la richesse du monde homérique, un univers aussi beau que mystérieux.
Après un prélude consacré aux dieux de l’Olympe et à la Muse qu’invoque Homère, l’exposition part à la découverte du « prince des poètes », dont l’existence même est discutée. Elle explore aussi les phénomènes d’« homéromanie », qui ont marqué la science archéologique et inspiré des œuvres ou des comportements, suivant une imitation homérique d’une grande fécondité, jusque dans la vie quotidienne. L’exposition fait ensuite revivre aux visiteurs les principaux héros et récits de L’Iliade et de L’Odyssée. Objets archéologiques et œuvres modernes évoquent ainsi la manière dont ces épopées ont été mises en images, avec une rare constance mais avec des variations selon les époques, qui relèvent d’une histoire du goût.
Le parcours revient également sur les plus célèbres scènes de la guerre de Troie, appartenant à d’autres poèmes aujourd’hui disparus mais qu’on lisait encore dans l’Antiquité. Elles révèlent la profusion de la matière épique antique et le miracle que constitue la conservation des œuvres d’Homère.
https://www.louvrelens.fr/exhibition/homere/?fbclid=IwAR1RULqD1ZknDGseYspwcNlDa9ctfj-Tc1ZveeSbqYmRVi1Dg5r2WUbKerA
Les flics obligent les manifestants à enlever leur gilet jaune
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Flicaille = racaille (bis)
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Essia Boularès, la suspecte de l’incendie rue d’Erlanger qui a fait de nombreuses victimes
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Extrait du Parisien : Nous étions dérangés par ma voisine qui avait mis la musique très fort chez elle. […] Hier soir [lundi soir] ma compagne est allée frapper à sa porte, et elle s’est fait insulter. Je suis pompier professionnel à la BSPP [Brigade des sapeurs-pompiers de Paris] et c’est pour ça que j’ai appelé le 17, vers 23 h 50. J’ai attendu quarante minutes pour m’entendre dire que ce n’était pas une situation d’urgence. […] Les policiers m’ont dit de partir. Je suis sorti avec ma compagne, je voulais passer la nuit ailleurs. J’ai cru que les policiers l’avaient embarquée donc nous sommes revenus. Mais je suis tombée nez à nez avec ma voisine dans les escaliers. Les policiers étaient repartis. Après leur départ, ma voisine a essayé de défoncer ma fenêtre et ma porte pour se venger. Un voisin m’a expliqué qu’il y avait du papier devant ma porte avec du bois. Elle a dû mettre le feu chez moi pour se venger. Quand je l’ai croisée, elle m’a souhaité bon courage en me disant que j’étais pompier, et que j’aimais bien les flammes. Là, je sens l’odeur de brûlé
L'ex-présidente du Syndicat de la magistrature condamnée à seulement 500 euros !
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Le tribunal correctionnel a toutefois débouté les politiques de droite ou d’extrême droite qui poursuivaient Françoise Martres
Ce trombinoscope affiché dans les locaux du syndicat avait suscité une vive polémique en 2013. L’ancienne présidente du Syndicat de la magistrature Françoise Martres a été condamnée ce jeudi à 500 euros d’amende avec sursis pour injure publique dans l’affaire du « Mur des cons » uniquement au préjudice d’un père de victime, Philippe Schmitt, mais relaxée s’agissant des hommes politiques qui la poursuivaient.
Le tribunal correctionnel a notamment estimé que le délit est bien constitué et que les faits n’étaient pas prescrits, mais a débouté les politiques de droite ou d’extrême droite qui poursuivaient Françoise Martres pour des motifs de forme.
Robert Ménard et le Rassemblement national ont eux été déboutés car leurs plaintes étaient incomplètes. Neuf élus ou ex-élus de droite comme Patrick Balkany et Eric Woerth ont pour leur part été déboutés car leurs plaintes visaient des faits d’injure publique « envers un membre de l’Assemblée nationale » quand le tribunal n’a pu déterminer si l’injure était dirigée contre eux en raison de leurs fonctions ou si elle visait leurs personnes privées.
Les tardives constitutions de partie civile de Nadine Morano, Dieudonné, Philippe de Villiers et Nicolas Dupont-Aignan ont été déclarées irrecevables.
L’image du Syndicat de la magistrature écornée
Le général Philippe Schmitt, dont la fille avait été assassinée par un récidiviste dans un RER, est donc seul à avoir obtenu pleine satisfaction. Pour injure publique contre lui, Françoise Martres a été condamnée à 500 euros d’amende avec sursis, ainsi qu’à lui verser 5.000 euros de dommages et intérêts et 10.000 euros au titre des frais de justice.
L’affaire avait écorné l’image du syndicat et de la magistrature dans son ensemble. Aujourd’hui encore, la droite et l’extrême droite l’invoquent pour dénoncer la partialité supposée de certains magistrats.
Les juges de la 17e chambre correctionnelle ont souligné « que la conception, la réalisation, la publication et la diffusion du "Mur des cons" étaient inconcevables de la part de magistrats, compte tenu de la mission et du rôle particuliers de l’autorité judiciaire dans une société démocratique ».
Lors du procès, en décembre, le parquet avait requis la relaxe de Françoise Martres. Celle-ci n’était pas présente au délibéré.
source : 20 Minutes avec AFP
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