Dimitri nous a quittés. Retour sur le parcours de Guy Mouminoux
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- Catégorie : CULTURE ENRACINEE
Décédé le 11 janvier 2022, Guy Mouminoux reste connu pour son seul roman, le récit de guerre autobiographique Le Soldat oublié (sous le pseudonyme de Guy Sajer) ainsi que pour ses bandes dessinées humoristiques ou historiques (sous le pseudonyme de Dimitri).
Guy Mouminoux est né à Paris le 13 janvier 1927. En 1916, son père, un poilu fait prisonnier à Verdun, avait rencontré sa mère pendant sa détention en Allemagne. Guy vit sa jeunesse en Alsace et est passionné par la lecture des revues de bandes dessinées humoristiques pour enfants. Il a le don du dessin et rêve d’en faire son métier. Mais en 1940, lorsque cette région est annexée par l’Allemagne, il rejoint les camps de jeunesse allemands. En 1943, comme d’autres « malgré-nous », enrôlé dans la division Grossdeutschland de la Wehrmacht, il participe, à seulement seize ans, aux combats sur le front de l’Est.
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Bernanos et Drumont face aux Français modernes
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- Catégorie : PHILOSOPHIE
Bernanos a vanté Drumont, y compris dans son antisémitisme. BHL avait insulté le plus grand romancier du siècle dernier (je ne lui vois d’égal que Dostoïevski, pas tendre non plus sur la question qui pince –voyez son Journal, les Possédés ou les Karamazov). Elie Wiesel avait par contre protégé le grand auteur rebelle des Cimetières sous la lune. Mais ce n’est pas la question ici. La question, c’est comment en est-on arrivé à la France du beauf, du bobo, du Thénardier, du Macron, du vacancier et du VTT, alors que nous étions le parangon des nations, comme dit Léon Bloy ?
La réponse est qu’on a créé un être moderne et minable qu’on appelle le bourgeois, avec sa femme qui commande (les femmes savantes qui annoncent nos féministes), la bonne qui insulte, les gosses qui n’obéissent pas et toute une basse-cour de pique-assiettes. La réponse est dans Molière.
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CRISE UKRAINIENNE : LA GÉOGRAPHIE, ÇA SERT D’ABORD À FAIRE LA GUERRE
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- Catégorie : GEOPOLITIQUE
La débandade américaine en Afghanistan après une guerre de 20 ans a-t-elle marqué la fin d’un cycle historique entamé avec la chute de l’URSS en 1991 ?
Vladimir Poutine a reconnu hier officiellement l’existence de Donetsk et Louhansk, les deux républiques séparatistes pro-russes de la région ukrainienne du Donbass. Cette décision à la fois prévisible et inattendue lui permettrait-elle d’obtenir mieux que l’acceptation de ses demandes écrites adressées aux Etats Unis ?
En 1974, la Turquie membre de l’OTAN avait envahi Chypre, pays indépendant au prétexte d’une tentative de coup d’État à Nicosie. La « communauté internationale », à savoir les États-Unis et les pays européens n’avaient pas bougé. Cela fait 48 ans que ce pays est coupé en deux et ce n’est pas près de changer. Cette durée montre le basculement auquel nous allons être confrontés avec les décisions de Vladimir Poutine. Basculement qui va complètement structurer ce qui va se passer dans cette partie du monde.
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Le Grand Remplacement avec Macron
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- Catégorie : Macron, le représentant de commerce du fric roi
La crise ukrainienne et l'Occident: la dimension idéologique
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- Catégorie : GEOPOLITIQUE
La crise autour des événements d'Ukraine a des dimensions à la fois géopolitiques et idéologiques. Dès le début de l'aggravation de la situation aux frontières orientales de ce pays, diverses forces politiques aux États-Unis et en Europe ont évalué différemment le déroulement des événements. Les libéraux et les mondialistes ont soutenu Kiev, les représentants d'autres mouvements idéologiques ont adopté une position plus favorable à la Russie. Le début des hostilités à grande échelle contre le régime actuel de Kiev de la part jouée par la Russie a provoqué diverses réactions : de l'hystérie de la part des libéraux, à la condamnation avec un appel à entamer immédiatement un dialogue de la part des conservateurs.
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Ukraine : conséquences de la censure de Russia Today (RT) et de Sputnik
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- Catégorie : Décryptage
Révélation : ce que Poutine démantèle en Ukraine est un projet de second Israël
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- Catégorie : GEOPOLITIQUE
Par Nabil D. – Le «printemps ukrainien» de 2014 révélait des signes sur lesquels l’intervention armée russe a levé le voile et que l’Occident s’échine à cacher à l’opinion publique internationale dont l’attention est détournée des véritables enjeux de ce conflit. Il y a sept ans, le théoricien de l’Elysée, Jacques Attali, admettait que la France «a fait une grande erreur en acceptant la proposition américaine, en 2009-2010, d’inscrire dans le programme de l’OTAN l’adhésion de l’Ukraine». «C’était, avait-il affirmé, un chiffon rouge agité devant les Russes, chose inacceptable pour eux.» Pour le conseiller de Mitterrand, Sarkozy et Hollande, «on ne peut pas imaginer d’isoler la Russie» car, avait-il expliqué, «l’isolement de la Russie est la pire chose qu’ils (les Russes, ndlr] peuvent accepter». «Faire entrer l’Ukraine dans l’OTAN est une faute. L’entrée de l’Ukraine à l’Union européenne d’accord mais pas dans l’OTAN», avait insisté l’influent économiste français natif d’Alger.
A rebours de la position de Jacques Attali, son ancien camarade d’Action internationale contre la faim, le sioniste Bernard-Henri Lévy, en mission commandée à Kiev, se faisait le porte-voix des occupants du Maidan Nezalezhnosti, aux côtés desquels il posait endimanché pour ses besoins de publicité mégalomanes. A la même époque, un journaliste américain révélait, dans les colonnes de Mediapart, le projet d’un nouvel Etat hébreu en Ukraine. Wayne Madsen écrivait, en effet : «Le rôle joué par les personnalités juives et l’Etat d’Israël dans la crise ukrainienne n’est pas passé inaperçu, sachant que cette communauté représente moins d’un pour cent de l’ensemble de la population. Cependant, l’administration Netanyahou a en sa possession un rapport confidentiel confirmant que les juifs ashkénazes ne sont pas originaires du Levant, mais sont les descendants des Khazars, ce peuple mal connu fondateur d’un empire juif au Xe siècle sur les rives de la mer Noire. Ceci explique pourquoi certains sionistes voient en l’Ukraine un possible second Israël.»
L’auteur de La Fabrication d’un président, qui se référait à un article «passionnant» de Times of Israel, faisait remarquer que «l’établissement du fait que les juifs d’Europe centrale et d’Europe de l’Est n’ont pas de légitimité historique en ce qui concerne leurs revendications sur la Palestine a créé bien des remous en Israël et ailleurs» et dévoilait le financement à coup de dizaines de millions de dollars par un certain Ihor Kolomoïsky, richissime magnat juif ukrainien, du recrutement des nationalistes ukrainiens de droite et des néo-nazis venus d’ailleurs en Europe pour combattre la majorité russophone de la région du Donbass en Ukraine orientale. Preuve que Vladimir Poutine n’exagère pas lorsqu’il pose comme condition à la fin des opérations militaires en Ukraine la dénazification du régime de Kiev soutenu [de loin] par les «démocraties» occidentales.
Toujours selon le journaliste américain, «le projet conjoint d’Israël et de l’Ukraine consiste à déplacer les colons de Cisjordanie en République autonome de Crimée, et ce après une éventuelle rétrocession de la péninsule à l’Ukraine, comme ils l’espèrent». «Pour les sionistes ukrainiens, l’objectif ultime consiste à établir une région juive autonome en Crimée et à redonner à la péninsule son nom khazar d’origine, Chazerai», précisait-il. Cette information vient d’être confirmée par un autre journaliste de confession juive qui, dans un article intitulé «Ukraine : Poutine n’a pas peur», rappelle que les Etats-Unis avaient encouragé l’hostilité des Ukrainiens à l’égard des Russes dès après la fin de la Seconde Guerre mondiale et que les Russes «ont tout donné aux Ukrainiens», si bien que l’Ukraine «est devenue la République soviétique la plus prospère».
Israël Shamir souligne, dans le média alternatif anglophone The Unz Review, que les Ukrainiens «pensaient qu’ayant élu un juif comme président, cela compenserait Bandera [idéologue nationaliste ukrainien assassiné en 1959 à Munich, ndlr] et ils se sont trompés». «Ils ne pouvaient pas dénoncer Bandera, qui reste le fondement de leur nationalisme. Israël a ses propres Banderas : Begin, Shamir et Yair Schtern. Ils ont dirigé Israël, mais pas tout de suite après l’indépendance», souligne l’auteur de la tribune qui constate que «les juifs américains ont écouté Israël» et que «le président Biden a écouté la communauté juive américaine».
Et de conclure, dans un autre registre, mais néanmoins intimement lié : «Les sanctions américaines contre les entreprises russes n’effraient pas les hommes d’affaires russes. Ils les considèrent comme un défi. Ils se renforcent avec les sanctions. La Russie produit plusieurs fois plus de blé qu’avant les sanctions. Surtout les produits pétroliers et gaziers ne vont pas être sanctionnés, sans quoi l’Europe serait en faillite. L’Europe a besoin du gaz et du pétrole russes. Le gaz américain coûte deux fois plus cher que le prix russe. C’est pourquoi le président Poutine n’a pas pris peur.»
Rien de plus vrai.
N. D.
Source : algeriepatriotique.com (1 mars 2022)
Qui est Zelensky ? par P. Vial
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Encensé par les Occidentaux, puisqu’il est un de leurs pions sur l’échiquier international, Zelensky, provisoire président de l’Ukraine, s’est fait connaître comme acteur comique et chanteur de music-hall avant d’être propulsé sur le devant de la scène politique par ses protecteurs occultes.
Il a lancé par deux fois un appel, EN HEBREU, à tous les Juifs du monde. Il demande ainsi de l’aide aux membres de sa communauté naturelle, puisqu’il est juif. Il a eu immédiatement réponse, en France, de la part de Bernard-Henri Lévy, qui a mobilisé pour le soutenir « un parterre de personnalités » (dont Christophe Castaner, au nom de Macron, Jean-Michel Blanquer, Anne Hidalgo, Valérie Pécresse, Hollande… sans oublier les homos de service Caroline Fourest et Frédéric Mitterrand… et puis bien sûr le grand rabbin Haïm Korsia).
Par ailleurs Zelensky a été ovationné par le Parlement européen, tandis que le président yankee Joe Biden a déclaré que « Zelensky inspire le monde » alors que Macron, pour ne pas être en reste, a assuré qu’il « incarne le visage de l’honneur, de la liberté et de la bravoure ». Fermez le ban. A ceux que cela étonne on fera un dessin…
Pierre Vial
Rapport de situation hebdomadaire du Donbass et de l'Ukraine spécial militaire – 5 mars 2022
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