Cinéma
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Intéressante analyse qui compare différents génériques de 007 : l’audace et la richesse harmonique diminuent au fil du temps.
- 00:00 Intro
- 04:16 James Bond contre Dr. No (John Barry)
- 06:52 Goldfinger (Shirley Bassey/John Barry)
- 10:01 Live And Let Die (McCartney/George Martin)
- 14:10 Nobody Does It Better (Carly Simon/Marvin Hamlisch)
- 15:41 Dance Into The Fire (Duran Duran)
- 19:40 Tomorrow Never Dies (Sheryl Crow/Mitchell Froom)
- 26:58 Skyfall (Adele)
- 29:19 No Time To Die (Billie Eilish)
- 32:07 Outro
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Sorti en 1960, en Pologne alors communiste, ce film, comme Alexandre Nevski, prône la défense de la patrie contre l’envahisseur germanique.
Lire la suite : Les chevaliers teutoniques, chef d’œuvre polonais du cinéma patriotique
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Gauchistes, cosmopolites et autres wokistes ne s’y trompent pas. Ces redoutables experts en guerre culturelle savent toute l’importance psychologique de l’impact cinématographique. Depuis des années, le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) pratique le copinage, réserve ses financements à des projets convenus et subventionne des films d’une rare indigence. Céline Sciamma qui projette dans ses productions minables ses fantasmes les plus intimes bénéficie de ce fric. Est-ce parce qu’elle a cofondé en 2018 le Collectif 50/50 pour la promotion de l’égalité femmes - hommes et de la diversité dans les différents domaines de l’audiovisuel ? Malgré un indéniable talent, Cheyenne-Marie Carron, réalisatrice d’une quinzaine de longs-métrages, ne reçoit aucune aide du CNC. Comment peut-on justifier cette différence de traitement ?
Lire la suite : Bataille autour d’un film par Georges FELTIN-TRACOL
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Quelques lignes de Nicolas Bonnal pour rendre compte du vrai Godard, très loin des mièvreries de la bien-pensance qui se déversent depuis ce matin.
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L'essai de Claudio Siniscalchi « Sans romantisme » raconte la relation entre l'écrivain et l'image
J'ai commencé à lire Robert Brasillach quand j'étais encore très jeune. J'ai ensuite écrit sur lui, j'ai préfacé un de ses romans, Les sept couleurs, j'ai édité et traduit un autre, Comme le temps passe et je lui suis resté fidèle au fil des ans, comme cela se produit avec les choses de la vie que l'on chérit le plus, cette amitié, cet amour, un certain paysage, une peinture, un film... Quand on me dit qu'après tout, c'est un écrivain mineur, je laisse tomber. Que signifie « mineur » ? Par rapport à qui, par rapport à quoi ? Quel est le critère d'évaluation, le critère de jugement ?
Lire la suite : Brasillach, le paria qui a vu les « sept couleurs » du cinéma
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PARIS VOX (TRIBUNE) 11 novembre 2020 – « ON NE FAIT PAS DE BONNE LITTÉRATURE AVEC DE BONS SENTIMENTS » DISAIT ANDRÉ GIDE. CET ADAGE PEUT TOUT AUTANT S’APPLIQUER AU CINÉMA, OÙ LES DERNIÈRES PRODUCTIONS AVALISÉES PAR LA BIEN-PENSANCE ET LE POLITIQUEMENT CORRECT DE L’ÉPOQUE SOMBRENT LAMENTABLEMENT LES UNES APRÈS LES AUTRES.
Sale temps pour les tâcherons du cinéma grassement subventionné par les aides publiques et autres avances sur recettes du CNC. En effet, les films de propagande immigrationniste ou « vivre-ensembliste » ne font plus recette. Les fours s’accumulent et les pensums dégoulinant de « tolérance » et de célébration de « l’Autre » sont projetés devant des salles totalement vides, sans que le Covid 19 n’y soit pour quoi que soit ! Le ressort est cassé, la mystification ethno-masochiste ne semble plus fonctionner malgré la promotion intensive toujours fidèlement assurée par les gros médias…
De « Police » à « Sous les étoiles de Paris » pour prendre deux exemples parmi tant d’autres, le spectateur n’est plus au rendez-vous, il déserte la convocation aux séances d’auto-dénigrement et de célébration multiculturelle. Il est littéralement gavé, écœuré, son estomac ne peut plus supporter l’ingestion de cette épaisse guimauve, mélange de bons sentiments, d’inversion accusatoire et de falsification du réel.
Dans le premier opus cité, on voulait le faire pleurer sur le sort d’un migrant reconduit à la frontière et vanter la « désobéissance positive » au nom de l’amour universel, dans le second, il fallait s’esbaudir devant le « conte de fée » d’une clocharde parisienne retrouvant « le goût de vivre » au contact d’un enfant migrant abandonné…
Mais ça ne marche plus. La distorsion entre le réel quotidiennement vécu par le français lambda est trop grande, trop frappante, elle saute tellement aux yeux du pékin moyen, régulièrement agressé, insulté, brocardé, plongé dans un chaos permanent, tondu et invité à être content, que le scandale du parti-pris éclate également dans toute sa hideuse crudité. Marre d’une réalité non seulement niée mais inversée, où les voyous deviennent immanquablement des victimes et leurs victimes de sordides exploiteurs, où seuls les membres d’une quelconque minorité souffrent et où la vie des « de souche » apparaît toujours simple et aisée. Marre du prêchi-prêcha sur le nécessaire « accueil » à l’heure des décapitations en pleine rue, marre des sermons sur « l’enrichissement culturel » à l’heure où les établissements scolaires sont devenus des zones de guerre ou des points de deal, marre de la repentance et de la mauvaise conscience à l’heure où des milliards d’euros d’impôts sont dépensés pour ceux-là même qui ont transformé la vie quotidienne en un cauchemar permanent… Marre de la moraline qui colle aux doigts comme un vieux chewing-gum trop longtemps mâché par la bouche sénile d’un post-soixanthuitard…
Même la critique la plus pesamment conformiste, celle de Libération par exemple, commence à peiner à défendre ces pellicules lourdingues et convenues, ces tracts mal rédigés pour MJC gauchistes, ces « œuvres » poussives et boiteuses devenues tellement caricaturales qu’elles sombrent dans le comique involontaire.
Le spectateur français ne veut plus payer dix euros pour se faire cracher à la gueule, il ne veut plus cautionner les exercices de psychothérapies de réalisateurs bobos xénophiles en mal de rédemption, il n’accepte plus que ses propres problèmes et difficultés ne soient jamais évoqués, son monde toujours dévalorisé et moqué, ses cris jamais entendus. Alors il se barre, il démissionne, il boycotte.
C’est tant mieux. Il était temps.
Xavier Eman
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