Eric Zemmour : Oser la guerre qui vient, la stratégie du FN est une erreur...
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Interview d'Eric Zemmour sur TV Libertés :
- Le FN ne mène pas le bon combat en disant que l'Islam est soluble dans la République
- On peut assimiler des individus, pas des peuples
- L'économie mondiale s'est organisée autour du profit de quelques uns en favorisant le remplacement des populations
- L'Islam n'est pas soluble dans la République, c'est un mensonge
- Choisir la "France appaisée", c'est choisir l'intégration qui n'est plus possible
- L'Islam surfe sur les Droits de l'Homme, qu'il faudra donc supprimer
- Il faudra aussi sortir de la Cour Européenne des Droits de l'Homme
- Les élites ont une obsession de la paix, car ils refusent de mener la guerre pour empécher la partition de la France
- François Hommande lui-même annonce la partition, cession de territoires à l'Islam, car personne ne veut engager la guerre de libération nationale
- Tous préfèrent croire en la paix civile et alimentent le "crocodile" qui va les dévorer
- Il faut oser la guerre et ne pas se soumettre
Lord Of The Dance - Feet Of Flames : Avant qu'il ne vienne...
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Qui est vraiment Angela Merkel ?
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Aux questions que lance le baron van Handel à la chancelière (voir l’article de MPI), nous disposons d’ores et déjà de nombreuses réponses, qui n’ont pas dû lui échapper…
Les origines de la chancelière. Le nom de naissance d’Angela Merkel est Angela Dorothea Kasner. Elle est le premier enfant de Horst Kasner[1], né Kazmierczak en 1926 à Berlin-Pankow et décédé en 2011 à Templin, et de Herlind Kasner, juive polonaise née Jentzsch en 1928 à Elbing, au nord de la Pologne dans la voïvodie de Varmie-Mazurie, à l’époque en Prusse-Occidentale. Angela Merkel est officiellement née à Hambourg en 1954.
Elle s’est vue fort embarrassée lorsqu’en mars 2013, parut un article de la Gazeta Wyborcza, journal important en Pologne, relayé par n-tv[2], sur son arbre généalogique et sa filiation polonaise, dont se sont enorgueillis les Polonais et plus particulièrement les partisans de la Plate-forme civique (PO, parti européiste, dont l’un des chefs de file est Donald Tusk, nommé à la présidence du Conseil européen en août 2014, avec qui Merkel est très liée). Révélations dont s’est emparée la presse polonaise jusqu’à considérer Aniela Kazmierczak comme leur compatriote ! Tandis que, du côté allemand[3], l’enthousiasme n’était pas au rendez-vous. Ces informations ont eu un grand retentissement outre-Rhin et ont posé la question de la légitimité de la chancelière à gouverner le pays. En outre, les commentateurs se sont offusqués que ces éléments biographiques aient été soigneusement dissimulés par les autorités, puisque la personnalité politique ayant le plus haut niveau de représentation devrait agir en toute transparence.
La Gazeta Wyborcza nous apprend que son grand-père, Ludwig Kazmierczak, né en 1896 à Posen[4], combattit contre l’Empire wilhelminien pendant la Première Guerre mondiale. Ce qu’atteste une photo exhumée de l’album familial par le cousin polonais au deuxième degré de la chancelière, Zygmunt Rychlicki, comptable à la retraite âgé de 79 ans résidant dans le quartier des Cosmonautes à Poznan, également cousin de son père et neveu de son grand-père. Puis, dans les années 1920, les Kazmierczak quittèrent Posen (Poznan) car désapprouvant l’annexion de cette province par la Pologne, et rejoignirent la communauté polonaise de Berlin. Le grand-père fut policier à Berlin-Pankow et y mourut en 1959.
Stefan Cornelius, directeur du service étranger du quotidien bavarois Süddeutsche Zeitung (tendance libérale de gauche)[5], rapporte par ailleurs dans une biographie bienveillante intitulée Angela Merkel. Die Kanzlerin und ihre Welt (« La chancelière et son monde »), que, quatre ans après la naissance de leur fils Horst, en 1930, les Kazmierczak germanisèrent leur nom en « Kasner ». Ce changement de nom n’a pas reçu d’explication jusqu’à présent, car, même après la promulgation des lois raciales de Nuremberg en 1935, il conserva sa nationalité polonaise[6]. Autre détail troublant : au début des années 1930, le catholique Ludwig Kasner se convertit, avec Horst, au protestantisme.
Révélations de Polskaweb News. Plus incisifs encore, les fins limiers de Polskaweb News[7] ont suivi les traces d’Angela Merkel à l’Est comme à l’Ouest. Ils révélèrent en 2012 qu’Angela Merkel était une personne parfaitement camouflée[8]. Ils soutiennent que sa mère, Herlind Jentzsch, est une Américaine d’origine germano-russe, ce qui expliquerait que sa fille ait maîtrisé dès l’âge préscolaire l’anglais et le russe. Selon eux, le père, la mère et les enfants porteraient des prénoms d’emprunt. Le vrai prénom de la chancelière serait Victoria. Celle-ci serait née, non à Hambourg, mais aux Etats-Unis, et tous trois seraient détenteurs d’un passeport américain. Puis, comme d’autres sources, Polskaweb News confirme sans surprise que la famille Kasner a quitté Hambourg pour s’établir en RDA en 1954 quatre mois après la naissance de leur fille – chose rarissime à une époque où le mur n’était pas encore complètement verrouillé : dans les cinq premiers mois de 1954, 180 000 Allemands s’échappaient de la dictature communisme ; entre 1949 et la construction du mur en 1961 ce chiffre atteignit 2,5 millions ! – et que le père devint pasteur dans le petit village de Quitzow, dépendant de la localité de Perleberg dans le Brandebourg, au service de l’Église luthérienne de Berlin-Brandebourg.
En 1957, la famille déménagea à nouveau pour Templin. Là, Horst Kasner se chargea, à la demande du surintendant général de l’époque, Albrecht Schönherr, de la construction et de la direction d’un séminaire pour les services religieux pendant plusieurs années, le Collège pastoral de Templin, ce qui lui assurait déjà une position clé au sein de l’Église protestante de Berlin-Brandebourg : les théologiens devaient avoir recours à lui dans le cadre de leur formation continue ou pendant leur période d’enseignement comme vicaires pour leur deuxième examen de théologie.
Il ne s’est jamais, en tant qu’homme d’église, opposé au gouvernement de la RDA qui le considérait comme faisant partie des « forces progressistes », il se conforma à la politique du SED (parti communiste de RDA). Curieux, vu la politique de déchristianisation et d’oppression des chrétiens de ce même SED ! Les Kasner bénéficiaient en outre de certains privilèges, comme la permission de voyager dans les pays occidentaux (Horst Kasner participait aux voyages à l’étranger dans le cadre du Front national) – inhabituel pour un citoyen de RDA – et la mise à disposition de deux voitures particulières : une voiture de service et un véhicule privé qu’ils s’étaient procurés grâce à la société Genex (américaine). Et pourtant, d’un autre côté, il était interdit à son épouse d’exercer dans l’enseignement d’État ; la Stasi n’aurait pas réussi à la faire travailler pour elle. Le professeur employa alors son temps à l’encadrement de ses propres enfants, ce qui épargna à Angela Kasner la crèche et la garderie. On n’interdisait pas à ses enfants de faire des études supérieures, ce qui n’était pas le cas pour d’autres familles pastorales. Le père était donc un apparatchik dans le système communiste, contrairement à la version officielle selon laquelle il aurait été envoyé à l’Est par l’évêque de Hambourg Hans Otto Wölber pour remédier au manque de pasteurs existant alors en RDA.
Horst Kasner fut, en 1958, cofondateur avec Albrecht Schönherr et Hanfried Müller du Cercle de travail de Weißensee[9] (« Weißenseer Arbeitskreis » / WAK). Et, là, on commence à entrer dans les méandres des réseaux souterrains du pouvoir. Cercle qui se présentait officiellement comme la « fraternité ecclésiastique libre » de Berlin[10]. Dès lors, le père d’Angela Merkel jouera un rôle déterminant pour l’avenir de sa fille grâce aux réseaux de pouvoir au sein de la RDA. Il n’était pas simple pasteur de paroisse, mais, en tant que cofondateur de ce cercle, très probablement un collaborateur officieux de la Stasi (nous ne disposons pas encore de son nom de code, de nombreuses archives de la Stasi ayant été détruites dans les jours qui ont suivi la chute du mur). En effet, le WAK fut constitué de socialistes et de théologiens de gauche de la RDA promus par le ministère de la Sécurité d’Etat (Stasi)[11]. C’était un organe politique stratégique d’influence et d’espionnage de la sphère religieuse encore très présente et puissante après 1945, dont l’objectif était de séparer les Eglises protestantes de l’Allemagne moyenne (RDA) de l’EKD et d’en prendre le contrôle total : organisationnel, humain, spirituel/idéologique. Rappelons que l’EKD englobait, dès 1945, toutes les Eglises évangéliques d’Allemagne, y compris celles de la zone communiste. Depuis la création du WAK, existait une opposition entre les théologiens politiquement de gauche dans la tradition de l’Eglise confessante et le courant dominant national-conservateur conduit par l’évêque berlinois Otto Dibelius. Y jouèrent donc un rôle important les théologiens et les collaborateurs officieux (IM : Inoffizieller Mitabeiter) de la Stasi tels que Gerhard Bassarak, Albrecht Schönherr et Hanfried Müller (1925-2009), directeur de la Gazette de Weissensee.
Le projet du WAK fut couronné de succès, puisque, en 1969, les Eglises évangéliques en Allemagne de l’Est furent regroupées dans la Fédération des Eglises évangéliques de RDA (ou BEK pour l’abréviation allemand), dont le premier président fut Albrecht Schönherr !
Sur le plan théologique, les membres étaient dans la mouvance de Karl Barth et de Dietrich Bonhoeffer. Notons que Kasner se montra critique vis-à-vis de l’ordre social en République fédérale à partir des années 1960 et qu’il ne soutint pas la réunification.Le père et la Stasi : l’écheveau relationnel de Horst Kasner
Le WAK constitua de puissants réseaux entre les ecclésiastiques et le pouvoir politique en RDA. Ces réseaux seront plus que jamais actifs au moment de la réunification des deux Alllemagnes, en 1990. Ainsi, on retrouve la plupart de ses membres sur le devant de la scène politique dès cette date. Ils vont endosser le costume de la CDU, d’autres du SPD (parti social-démocrate), du PDS (qui deviendra Die Linke / La Gauche), ou encore des Verts, ces deux derniers comptant beaucoup de Juifs sionistes dans leurs rangs, tels Wolfgang Schnur, Klaus Gysi et son fils Gregor.
Le pouvoir par les réseaux : Merkel le caméléon. Elle a été, en RDA, membre de l’organisation de pionniers « Ernst Thälmann » et secrétaire de la Fédération de la jeunesse allemande (FDJ, Freie Deutsche Jugend, Jeunesse libre d’Allemagne) chargée de l’agitation et de la propagande[12].
Ce sont les réseaux sionistes de son père qui l’ont propulsée dans la politique, notamment Wolfgang Schnur, agent important de la Stasi. Elle-même serait un IM de la Stasi (nom de code IM « Erika ») et aurait pris part à l’espionnage de Robert Havemann. Quelque temps avant la chute du mur, elle endossa le costume de la CDU de RDA. Elle eut également le soutien d’Helmut Josef Michael Kohl, qui l’appelait « ma fille ». Ce qui n’empêcha pas Angela de le trahir. Fille qui était prête à tout pour se hisser au sommet du pouvoir.
Merkel et la presse (2000)[13]. En 1998, Merkel épousa son compagnon de vie, le chimiste Joachim Sauer (chrétien-démocrate), qui travaillait pour la firme américaine Biosym-Technologie. Au sein de cette dernière, il occupa un poste à San Diego (Californie), dans un laboratoire de recherche sur les projets d’armement du Pentagone. Dès lors, sa candidature à la Chancellerie fut soutenue officiellement par le cartel de la presse sioniste en Allemagne. Citons le plus grand groupe de presse, Springer, dont les journalistes ne peuvent se faire recruter qu’à la condition expresse de signer une clause de leur contrat stipulant[14] qu’ils doivent s’investir personnellement pour un bon développement des relations avec les Etats-Unis et la défense d’Israël[15].
Soutien également du groupe sioniste Bertelsmann[16]. Son amie Liz Mohn, née Beckmann (en 1941 à Wiedenbrück), directrice du groupe Bertelsmann AG, numéro un des médias en Europe (groupe RTL, groupe Prisma, groupe Random House, etc.), et présidente de la Fondation Bertelsmann, pilier intellectuel de l’atlantisme européen, a fortement soutenu Merkel « afin que ne soit pas bousculée la clé de voûte des relations euro-américaines[17] ». La nébuleuse relationnelle comptait, dans ses rangs, Jeffrey Gedmin, envoyé spécial du clan Bush à Berlin. Personnalité qui avait travaillé auparavant sous la direction du conseiller juif de l’Administration Bush, Richard Perle[18], ainsi qu’avec la femme de Dick Cheney au think-tank American Enterprise Institute for Public Policy Research (AEI). Il encouragea vivement la création de l’euro à parité avec le dollar. Au sein de l’AEI, il a dirigé la Nouvelle initiative atlantique (NAI), lieu de rencontre de tout ce qui compte de généraux et de politiciens américanophiles en Europe. Puis il a participé au Projet pour un nouveau siècle américain (PNAC) et a rédigé le chapitre sur l’Europe dans le programme des néoconservateurs. Il y indique que toute l’Europe devait rester sous l’autorité de l’Otan, et que cela ne saurait se faire qu’en « décourageant les appels européens à l’émancipation ». Enfin, il est administrateur du Conseil de la Communauté des démocraties (CCD), qui prône une ONU à deux vitesses, et il a pris la direction de l’Institut Aspen de Berlin. Puis, il déclina l’offre d’ambassadeur des Etats-Unis à l’ONU car « devant se consacrer à l’encadrement d’Angela Merkel »[19]. Depuis 2003, il est cogestionnaire d’un programme au service de la propagande américaine, incluant le subventionnement secret de journalistes et relais d’opinion en Europe occidentale.
Merkel au service des néoconservateurs américains[20]. Le 26 novembre 2014, devant le Parlement allemand, le député Sahra Wagenknecht (vice-présidente de La Gauche/Die Linke, germano-iranienne, ancienne communiste du PDS et contributrice au Weißenseer Blättern, mariée à Oscar Lafontaine)[21] a accusé Angela Merkel de servir les intérêts étasuniens[22] et de soutenir le plan de Zbigniew Brzezinski pour une suprématie mondiale d’USrael, au détriment du bien-être des citoyens allemands et de l’Union européenne[23]. Elle lui reprocha donc son incompétence en politique étrangère et expliqua que celle-ci romptait avec la diplomatie plus raisonnable d’Helmut Schmidt et de Matthias Platzeck à l’égard de la Russie. Elle l’accusa d’attiser la guerre en Ukraine et de promouvoir les sanctions économiques contre la Russie.
Le protestantisme d’Angela Merkel, une foi fantaisiste ? Voici ces quelques mots de remerciement que la chancelière prononça en hébreu en introduction de son discours du 18 mars 2008 devant la Knesset : « Mesdames, Messieurs, Madame la Présidente, je remercie tous les députés de me permettre de m’exprimer dans ma langue maternelle » (ani muda lachem, shenitan li, le ladere lechem, kan me bait me chubatse, sekavot kadol asuri)[24]. Elle a déjà offert trois sous-marins nucléaires Delphin à Israël, sponsorisés par les contribuables allemands. Et d’autres vont suivre, un bâtiment d’un coût de 35 millions d’euros sera livré gracieusement à Israël.
Son plus proche conseiller est actuellement Alexander Dibelius[25] (né en 1959 à Munich), PDG de Goldman, Sachs & Co Allemagne de 2004 à 2014. C’est lui qui lui ouvrit les portes du monde économique.
Comme le dénonce le baron Norbert van Handel, Procurateur de l’Ordre de Saint-Georges, Angela Merkel poursuit une politique de destruction de l’Europe et de l‘Allemagne sur tous les plans. Après avoir détruit l’Allemagne de façon « charmante », dilapidé les économies des épargnants, elle est passée au stade supérieur : l’invasion migratoire et la destruction des Allemands en tant que peuple, mais également des autres peuples européens.
Sur le plan économique, elle vend jour après jour des pans entiers de la fonction publique au capital international, tels la privatisation de l’eau, des transports publics et, dernièrement, elle a annoncé celle des autoroutes. Depuis ses législatures, l’Allemagne s’est endettée d’une façon considérable. Elle a violé la Constitution allemande et les accords de Schengen par sa politique des frontières grandes ouvertes à de prétendus réfugiés. Elle projette de les ouvrir officiellement aux ressortissants maghrébins.
En politique étrangère, la néoconservatrice se fait l’ennemie de la Russie, et soutient l’Ukraine de Kiev.
Elle est de plus en plus dévoilée par les médias de la dissidence allemande, qui ne cessent de clamer la vérité depuis une bonne dizaine d’années pour « réveiller les consciences endormies ». Et de plus en plus détestée. Et une véritable résistance populaire s’est levée, qui la qualifie de traîtresse, demande sa démission et un changement de régime. Comme le 7 mai dernier, où s’est déroulée une grande manifestation dans le quartier gouvernemental de Berlin[26] aux slogans de « Merkel doit partir», « Dégage », « la p.t. Merkel », « La presse à mensonges », « Nous ne voulons pas de foyers de réfugiés », « Nous sommes la résistance nationale ». Dans leur grande majorité, les Allemands s’opposent à la politique antirusse de Merkel et, au contraire, défendent une politique de détente, voire de fraternisation avec les Russes. Cela, Poutine le sait parfaitement. Les opinions publiques européennes soutiennent la Grande Russie !
Ses nombreuses distinctions :
• 2007 : Élue « Européenne de l’Année ».
- 2007 : prix Léo-Beck, la plus haute décoration du Conseil central des Juifs d’Allemagne.
- 2007 : lauréate du prix « Homme d’État mondial » remis par la fondation The Appeal of Conscience.
- 2007 : titre de Docteur honoris causa de l’Université hébraïque de Jérusalem.
- 2008 : prix international Charlemagne.
- 2008 : Médaille Josef-Neuberger, prix de la communauté juive de Düsseldorf.
- Mars 2008 : Europe Award of Merit-Medaille du B’nai B’rith pour sa lutte contre l‘antisémitisme.
- 2009 : prix Eric-M.-Warburg de l’Alliance atlantique.
- 2009 : titre de Docteur honoris causa de la New School for Social Research de New York.
- 2010 : Prix des médias allemands.
- Septembre 2010 : médaille Léo-Beck, de l’Institut Léo-Beck de New York pour son engagement dans la réconciliation germano-juive.
- 20 janvier 2011 : « Light Unto the Nations Award » de l’American Jewish Committee.
- 1er février 2011 : titre de docteur honoris causa de l’Université de Tel-Aviv.
- 24 octobre 2011 : Prix de la compréhension et de la tolérance du Musée juif de Berlin.
• 13 novembre 2011 : Prix européen Coudenhove-Kalergi, de la Fondation Coudenhove-Kalergi[27].
- 27 novembre 2012 : prix Heinz-Galinski.
- 22 mai 2013 : prix « Lord Jakobovits de la Communauté juive européenne »[28] (pour la légalisation des mutilations génitales et la condamnation de la judéophobie en Europe).
- 25 février 2014 : Médaille d’honneur du Président israélien.
- 2 décembre 2015 : prix Abraham-Geiger, pour les services rendus au judaïsme.
- 9 décembre 2015 : Elue « Personnalité de l’année » par le magazine Time, qualifiée de « chancelière du monde libre ».
[1] http://de.metapedia.org/wiki/Kasner,_Horst
https://fr.wikipedia.org/wiki/Horst_Kasnerhttps://unbequemewahrheit2014.wordpress.com/2014/11/26/das-merkel-regime-01-zionistin-mit-il-pass-zerstort-deutschland-2008-2014/
[2]http://www.n-tv.de/panorama/Merkels-Opa-kaempfte-gegen-Deutsche-Die-Wurzeln-der-Aniola-Kazmierczak-article10353776.html
[3] http://www.faz.net/aktuell/politik/ausland/europa/merkels-polnische-wurzeln-grossvaters-krieg-12124653.html
[4] La Province de Posen, ou Grand-Duché de Posen, fut une possession prussienne de 1815 jusqu’en 1920. Elle devint polonaise suite aux dispositions du traité de Versailles. Poznan, en polonais, est la ville éponyme de la province, cinquième plus grande ville de Pologne actuellement.
[5] http://www.sueddeutsche.de/politik/familiegeschichte-der-kanzlerin-merkel-hat-polnische-wurzeln-1.1623363
[6] L’Empire allemand, tout comme l’Empire austro-hongrois (tous deux étant issus du Saint-Empire de nation germanique), était multinational et multi-ethnique. D’où la distinction entre nationalité et citoyenneté, notions étrangères à un Etat unitaire et centralisé tel que la France.
[7] http://polskaweb.eu/auch-angela-merkel-ein-fake-98736211.html
[8] https://volksbetrugpunktnet.wordpress.com/2012/04/14/131/
[9] https://de.wikipedia.org/wiki/Wei%C3%9Fenseer_Arbeitskreis
Petite localité au nord-est de Berlin-Pankow. Une de ses caractéristiques : devant l’afflux de Juifs est-orientaux à Berlin, les cimetières juifs de la ville ne suffisaient plus. Aussi la communauté juive de Berlin acquit, à l’est de Weissensee, en 1875, un terrain de 42 ha, qui, en 1880, devint le plus grand cimetière juif d’Europe. Les places y sont aujourd’hui réservées. Ce fut par ailleurs un centre de l’industrie cinématographique et de fréquentation des artistes pendant la république de Weimar. Quelques personnalités s’y sont illustrées, parmi lesquelles Bertolt Brecht, Jürgen Kuczynski et Egon Bahr.https://de.wikipedia.org/wiki/Berlin-Wei%C3%9Fensee
[10] http://www.weissenseerblaetter.de/uns.htm
[11] Equivalent direct du KGB soviétique, la Stasi se définissait comme « le glaive et le bouclier » du parti communiste : elle avait la terreur comme mode de gouvernance de la société et des fonctionnaires du SED. Organe fondateur de l’Etat de surveillance le plus étendu de l’Histoire. Son réseau était tentaculaire : environ un Allemand sur sept était un de ses collaborateurs. http://nierenspen.de/masterplan.htm
[12] http://www.welt.de/print-wams/article129161/Angela-Merkels-zweierlei-Welten.html
[13] http://de.metapedia.org/wiki/Merkel,_Angela
[14] http://de.metapedia.org/wiki/L%C3%BCgenpresse
[15] Voir explications de Wolfgang Eggert : https://www.youtube.com/watch?v=1maE_wJVm7M
[16] http://de.metapedia.org/wiki/Liz_Mohn
http://www.voltairenet.org/article144629.html
[17] Qui l’avait été par Schröder : celui-ci s’était opposé, avec Chirac, à l’invasion de l’Irak en 2003. Et, en septembre 2005, deux mois avant l’élection de Merkel, il signa, avec Poutine, le contrat pour la construction du gazoduc North Stream, qui visait à assurer à l’Allemagne un approvisionnement direct en gaz russe et échappait ainsi aux conflits gaziers russo-ukrainiens.
[18] Richard Norman Perle (New York, 1941), petit-fils d’un émigrant juif russe, politicien (1981 à 1987), devient en 2001 conseiller du ministre de la Défense US Donald Rumsfeld. Est issu de « l’école Morgenthau ». http://de.metapedia.org/wiki/Richard_Perle
[19] http://de.metapedia.org/wiki/L%C3%BCgenpresse
[20] http://recentr.com/2013/08/09/nsa-merkel-die-west-agentin-von-anfang-an/
[21] http://de.metapedia.org/wiki/Wagenknecht,_Sahra
[22] https://www.youtube.com/watch?v=cRt9tQi-IZY
[23] http://www.zeit.de/politik/2014-11/sahra-wagenknecht-angela-merkel-bundestag-ukraine-russland
[24] https://www.youtube.com/watch?v=HvhOoSWFzJA
[25] Petit-neveu du protestant Otto Dibelius, dont la nomination à la présidence du Conseil œcuménique des Eglises (1954-1961), haut lieu du mondialisme siégeant à Genève et Amsterdam, couronna la carrière.
[26] https://www.youtube.com/watch?v=eeIoU2KxJpo&list=PL_z3sGiT_GecZIlvGxsM9Ucxt3Wicd5Wl&index=2
[27] https://www.bundeskanzlerin.de/ContentArchiv/DE/Archiv17/Artikel/2011/01/2011-01-13-merkel-europapreis.html
[28] http://de.sputniknews.com/german.ruvr.ru/2013_04_16/Angela-Merkel-erhalt-Preis-europaischer-Rabbiner/
Extrait de: Source et auteur
http://lesobservateurs.ch/2016/06/23/qui-est-vraiment-angela-merkel
Immigration ? Puisqu’on vous le dit !
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La première action de Resistència s’est déroulée le 17 octobre dernier à Sainte Marie la Mer pour dénoncer l’arrivée, et le logement au frais du contribuable, d’immigrés illégaux en provenance de la jungle de Calais. Par un tractage massif nous avions informé la population sur nos inquiétudes via cet accueil imposé depuis Paris et par l’intermédiaire de la préfecture, le porte-flingue de l’Etat jacobin.
Malgré les tours de passe-passe des bien-pensants et de la presse locale – omerta et minimisation des faits- la vérité éclate. Des jeunes Ethiopiens, logés, nourris, blanchis par nos soins et contre notre gré, au CCAS de Sainte Marie la Mer, auraient agressé une équipe du HCR (Haut-Commissariat aux réfugiés). Encore un machin qui finance le grand remplacement. Un agent interprète aurait eu le malheur de ne pas s’exprimer en Oromo, le dialecte de l’ethnie de ces « jeunes », ce motif d’incompréhension aurait déclenché une vie discussion, puis des intentions belliqueuses de la part des faux-réfugiés. Intentions belliqueuses à tel point que les agents du HCR ont dû se réfugier (il s’agit-là de vrai réfugiés pour le coup !) dans un bureau du bâtiment pendant que les illégaux vandalisaient le véhicule du HCR ! Une vingtaine de militaires ont dû intervenir, le sous-préfet a même dû se rendre sur place. Procédure habituelle et manque de fermeté patente : un jeune a été mis en garde-à-vue pendant quelques heures… lamentable.
Citons l’Indépendant du 20/12/16 : Le sous-préfet a discuté avec les mineurs : « Ils se sont excusés et j’ai pu leur expliquer qu’ils ne pourraient plus aller au Royaume-Uni comme ils l’espéraient ; Ils seront pris en charge par l’Aide sociale à l’enfance ».
Toujours selon l’Indépendant et comme je l’avais dénoncé dans un article en date du 17/9/16, soit avant l’arrivée des immigrés clandestins à Sainte Marie la Mer, neuf d’entre eux avaient déjà rejoint le Royaume –Uni avant les faits de violences énoncés plus haut.
Le triste attentat de Berlin survenu sur un marché de Noël le soir du 19 décembre 2016 n’a échappé à personne. Compte tenu des derniers événements nous sommes en droit de nous interroger sur la sécurité dans notre département. Nous demandons dès à présent que la préfecture des Pyrénées-Orientales rende publiques les informations suivantes : Nombres d’immigrés illégaux présents dans les P.O avec détail de l’âge et du sexe des intéressés, les zones de répartition de ces derniers et évidemment le coût financier de cet accueil forcé supporté par la collectivité.
En second lieu, nous demandons leur expulsion immédiate et sans préavis.
Llorenç Perrié Albanell, président de Resistència
Fidèles...
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Que l'Europe soit toujours florissante
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L'arbre de Noël toujours vert,
Selon que vous serez puissant ou misérable...
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L’air du temps
« Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir » (Les animaux malades de la peste).
Ce bon Monsieur de La Fontaine a tout compris et tout dit. Ceux qui se piquent de profondes pensées feraient bien de le relire (ou de le lire, car je soupçonne nombre d’entre eux de ne l’avoir jamais lu… une telle lecture étant indigne de si grands esprits). Je pensais à ses vers en entendant le « jugement » (sic) rendu par la Cour de Justice de la République. Justice ? Vous avez dit Justice ? Il y a belle lurette que les gens sensés ne font plus aucune confiance à la « justice » de leur pays. S’il leur fallait de nouvelles bonnes raisons pour justifier un tel rejet, l’actualité les leur apporte sur un plateau.
Deux cas exemplaires : 1) Christine Lagarde, dont tout le monde sait qu’elle a utilisé sa fonction de ministre pour permettre à Bernard Tapie de toucher la grosse galette qu’il attendait de l’une des nombreuses magouilles dont il s’est fait le spécialiste, se retrouve blanchie par une Cour composée de magistrats et de parlementaires qui sont tous solidaires (et donc complices) d’une femme qui, compte tenu de son poste de direction au FMI, se sait intouchable (si vous ne savez pas encore que le monde actuel est dominé par la loi du fric, renseignez-vous…).
2) Un brave cafetier du Tarn, qui a eu le malheur de vouloir défendre son bien contre des racailles qui voulaient le détrousser, a écopé de dix ans de prison.
Ce sont des faits comme ceux-là qui, mis bout à bout, amènent un nombre croissant de gens de chez nous à se dire qu’il n’y a décidément rien à attendre du Système que nous subissons et qui est responsable de la mort programmée des peuples d’Europe, organisée par des ordures comme Angela Merkel, dont les mains sont rouges du sang des Allemands victimes d’un de ces fous d’Allah entrés en Allemagne avec la bénédiction d’une femme qui s’est fait un devoir de faciliter en tout la mort de notre civilisation.
Que vienne l’apocalypse purificatrice qui anéantira cette chienlit.
Pierre VIAL
Avaaz le site de pétitions est aux ordres de Soros et de la finance mondiale
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Pourquoi c'est important
Avaaz a été créé en 2006 par MoveOn.org et Res Publica. "Avaaz" , dans différents langages de l’Asie et de l’Europe de l’est signifie "la voix" . La voix silencieuse, derrière Avaaz et Res Publica, est celle de trois individus : Tom Perriello, un ancien membre du Congrès US, Ricken Patel, consultant chez de nombreuses entités contrôlées par les psychopathes prédateurs, et Tom Pravda, un ancien diplomate d’Angleterre consultant pour le Ministère de l’Intérieur US.
Parmi les autres fondateurs d’Avaaz se trouvent Eli Pariser (le directeur exécutif de MoveOn), Andrea Woodhouse (consultant pour la Banque Mondiale), Jeremy Heimans (le co-fondateur de GetUp ! et de Purpose), et l’entrepreneur Australien David Madden (le co-fondateur de GetUp ! et de Purpose).
MoveOn, le co-fondateur d’Avaaz, a distribué, en 2002, par le biais de son Comité d’Action Politique, 3 millions et demis de dollars à 36 candidats politiques au Congrès US. En novembre 2003, MoveOn reçut 5 millions de dollars du spéculateur milliardaire George Soros. Ricken Patel a, d’ailleurs, déclaré publiquement que l’Open Society Institute de George Soros (renommé Open Society Foundation en 2011) était l’un des membres fondateurs d’Avaaz.
Qui est George Soros ? L’un des prédateurs psychopathes à la direction du CFR (Council for Foreign Relations) et l’un des membres du Groupe Bilderberg. Le CFR et le Groupe Bilderberg sont deux des pseudopodes de la baudruche dénommée "Nouvel Ordre Mondial" . Le CFR et le Groupe Bilderberg ont été créés par les Rockefellers, la famille responsable de nombreux maux qui sévissent sur la planète. Pour mémoire, la Fondation Rockefeller a promu les lois eugénistes aux USA dès le début du siècle passé ; elle a financé le Nazisme avant et durant la seconde guerre mondiale ; elle a financé les recherches génétiques, dès 1945, et donc tout le secteur des chimères génétiques ; elle a lancé la dévastatrice Révolution Verte...
Avaaz fut, en juin 2009, l’un des partenaires dans la campagne Tcktcktck lancée par Havas, aux côtés d’EDF, de la Loyds Bank... et de 350.org, une organisation financée par la Fondation Ford, la Fondation Rockefeller, le Rockefeller Brothers Fund et le milliardaire George Soros.
George Soros est le financeur incontournable de toute cette mouvance d’ONGs aux objectifs occultes. Durant l’été 2009, l’Open Society Institute (de Soros) donna une subvention de 150 000 dollars à Avaaz. En sus de cette subvention, Avaaz reçut de Res Publica (financée par Soros) 225 000 dollars en 2006, 950 000 dollars en 2007 et 500 000 dollars en 2008. La Foundation to Promote Open Society (de Soros) donna à Avaaz, en 2008/2009, 300 000 dollars de soutien général et 300 000 dollars pour la campagne (sur l’arnaque) climatique durant laquelle Avaaz a particulièrement brillé dans son expertise pour susciter de l’argent non virtuel afin de combattre un réchauffement climatique virtuel avec des pétitions tout aussi virtuelles. Ricken Patel ne précise d’ailleurs, nulle part, dans sa croisade contre le réchauffement climatique anthropique, comment il effectue la rédemption de "l’empreinte carbone" générée par les émoluments grandioses de ses bons amis au sein d’Avaaz (une redistribution des libéralités généreuses de la clique de Soros alors qu’Avaaz prétend effrontément que l’organisation ne reçoit de l’argent que de dons individuels !!!) et de "l’empreinte carbone" générée par ses très hauts salaires chez Avaaz ! Il s’agit vraisemblablement d’une rédemption virtuelle.
https://secure.avaaz.org/fr/petition/Denoncer_les_interets_frauduleux_de_Avaazorg/?pv=3
Révolution conservatrice ?
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Tout à l’émotion de la victoire (provisoire) de Fillon, non prévue par les oracles de son espèce, le quotidien Le Monde a titré en première page, le 29 novembre, « Fillon, la révolution conservatrice ». C’est faire bon marché et de ce que fut, historiquement le courant baptisé « Révolution conservatrice » en Allemagne, dans la première moitié du XXe siècle (auquel Armin Mohler a consacré une somme incontournable, La Révolution Conservatrice en Allemagne 1918-1932, traduction française Pardès 1993) et de ce que représente Fillon, à savoir un libéralisme sans frein, peu soucieux des souffrances, des angoisses et des attentes de ces « gens d’en bas » pour lesquels les bourgeois, les nantis ont un souverain mépris. Ce qui fait de Fillon, contrairement à ce que disent certains, l’antithèse d’un candidat populiste (il faut d’ailleurs reconnaître qu’il ne fait rien pour apparaître comme tel…).
Mais soyons honnêtes. Si Fillon se retrouve Président de la République (c’est loin d’être acquis) nous le jugerons sur ses actes, même si ses déclarations actuelles n’augurent rien de bon, tout comme les gens dont il s’entoure, dont beaucoup appartiennent aux milieux cosmopolites.
Juger sur les actes : c’est aussi notre position en ce qui concerne Trump, pour lequel certains « nationaux » se sont enthousiasmés sans doute un peu vite. Le prouve, là encore, les gens dont il a choisi de s’entourer. Au poste clé de secrétaire au Trésor, il a désigné Steven Mnuchin, un banquier d’origine juive (tout comme ses prédécesseurs Robert Rubin, nommé par Bill Clinton et Henry Paulson, nommé par George W. Bush). Caractéristique commune de Mnuchin, Rubin et Paulson : ils ont fait carrière chez Goldman Sachs. C’est au sein de ce temple de la ploutocratie cosmopolite que Mnuchin a gravi les échelons jusqu’à devenir vice-président exécutif, amassant une fortune de 46 millions de dollars (43 millions d’euros). Après avoir quitté ce job fort lucratif, Mnuchin a créé son propre fonds spéculatif, Dune Capital, avec deux anciens de chez Goldman, Daniel Neidich et Chip Seelig.
Son coup d’éclat fut, en association avec le spéculateur bien (trop) connu George Soros, le rachat d’IndyMac Bank, caisse d’épargne spécialisée dans les prêts hypothécaires à risques qui venait de faire faillite après la crise des subprimes. Mnuchin et ses associés ont repris cette société pour 1,5 milliard de dollars, soit un montant largement inférieur à la valeur des actifs de la société. Cette opération est un parfait exemple d’un tour de passe-passe bien connu : socialisation des pertes suivie d’une privatisation des profits (la Federal Deposit Insurance Corporation a en effet assumé l’essentiel des risques, en versant plus d’un milliard de dollars pour couvrir le coût des saisies immobilières dans le seul Etat de Californie). En suite de quoi, délestée de son passif, la société est devenue une affaire juteuse pour les acheteurs, qui, dès la première année, se sont versés 1,57 milliard de dividendes. Stéphane Lauer, qui a étudié de très près le dossier, explique le mécanisme : « Rebaptisé OneWest, l’établissement est rapidement à la tête de trente-trois succursales et de 16 milliards d’actifs. En quelques années, l’organisme de crédit se bâtit une réputation d’entreprise sans scrupule, multipliant les saisies (…) En juillet 2014, OneWest est revendu à CIT Group pour 3,4 milliards de dollars, soit une plus-value de 100% en l’espace de cinq ans. Après le rachat, Steven Mnuchin est resté vice-président du conseil d’administration jusqu’au 31 mars 2016, fonction pour laquelle il a été rémunéré 4,5 millions de dollars par an. A son départ, il a eu droit à un parachute doré, qui, selon le Wall Street Journal, s’est élevé à 10,9 millions de dollars ».
Pour compléter ce tableau trop éloquent, il faut ajouter la probable désignation par Trump, au poste de secrétaire au commerce, du milliardaire Wilbur Ross, figure, comme Mnuchin, de Wall Street. Fondateur d’un fonds d’investissement dans les entreprises non cotées, sa fortune est estimée par Forbes à environ 2,9 milliards de dollars (2,7 milliards d’euros). Il a gagné son surnom de « Roi de la faillite » en rachetant pour presque rien des fabricants d’acier, des entreprises textiles et des mines de charbon, revendus ensuite à bon prix après les avoir sévèrement restructurées et licencié des milliers de personnes ». Comme on voit, on a à faire à du beau monde …
La conclusion de tout cela est hélas trop facile : les braves gens qui ont voté pour Trump en espérant un vrai changement vont se retrouver cocus. Cocus et contents ? La suite de l’histoire nous le dira.
Pierre VIAL
Le groupe Bilderberg gouvernera bientôt la France (sans masque)
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