A Bordeaux, la racaille ignore le confinement
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Quand Castaner affiche sa nullité
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Si on cherche quel est le (ou la) plus nul(le) des ministres le choix est difficile tant il y a de prétendant(e)s au titre. Mais Castaner est en très bonne position (en concurrence, il est vrai, avec Sibeth la bien nommée). Lui que Michel Onfray définit (dans Grandeur du petit peuple) comme « un joueur de poker compagnon de quelques spécimens de la pègre marseillaise devenu ministre de l’Intérieur de Macron ».
Il a confirmé sa nullité sur BFM TV le 23 avril au sujet des émeutes ethniques qui entretiennent de façon récurrente une atmosphère de guerre de rue dans différentes villes de la région parisienne. Il a reconnu qu’il y a eu « une quinzaine de faits importants avec des guet-apens organisés contre les forces de sécurité ». Son explication : ces violences prennent leur source dans « la dureté du confinement pour ces jeunes gens (…) qui pensent que ça serait ludique d’attaquer les forces de police et les poubelles ». Oui, il a bien dit « ludique »… Explication d’autant plus grotesque que tout le monde sait que la racaille des quartiers concernés ne respecte en rien le confinement et agite même son refus comme un défi à l’égard des autorités. Le résultat ? La proportion importante de ces gens parmi les victimes de la pandémie (qui est sûrement raciste…). Mais Castaner n’en est plus à une absurdité près. Lui et ses semblables, pour paraphraser Audiard, c’est même à ça qu’on les reconnait.
Pierre VIAL
I-Média n°287 – Coronavirus : les médias, perroquets du gouvernement ?
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Nouveauté : Faits & Documents - N°478 - Jeffrey Epstein et les autres
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LE BEAU RÊVE PATRONAL DU CONFINEMENT : LA FIN DES « PONTS» DE MAI !
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Geoffroy Roux de Bézieux, le président du MEDEF, le syndicat du CAC 40, ne fait pas dans la nuance. Dans un entretien au Figaro du 10 avril dernier, il déclarait que pour sortir de la crise économique imputée au coronavirus, les Français devraient travailler plus longtemps, avoir moins de congés payés et accepter de perdre des jours fériés. La rengaine n’est pas nouvelle. Elle démontre qu’en digne héritier des négriers industriels des XIXe et XXe siècles, le MEDEF s’accroche encore à de vieilles lunes.
L’automatisation, l’informatique et la robotisation modifient durablement les conditions de travail. Déjà, à la fin des années 1960, les grands patrons ont poussé Pompidou à privilégier l’immigration de main-d’œuvre étrangère aux dépens de l’installation, certes coûteuse au départ, des premières chaînes de montage automatiques qui auraient probablement évité l’actuel « Grand Remplacement » [comme cela a été le cas au Japon ; [NdR].
Sans la pandémie de covid– 19, le mois de mai 2020 eut été propice à de courts séjours touristiques grâce à quatre sympathiques « ponts » : les 1er, 2 et 3 mai; les 8, 9 et 10 mai; les 21, 22, 23 et 24 mai pour l’Ascension, et même les 30 et 31 mai ainsi que le 1er juin pour la Pentecôte.Tous ces ponts ne peuvent qu’enrager les hiérarques du grand patronat. Ils aimeraient un monde dans lequel les salariés trimeraient deux cents heures par semaine pour un demi euro et donneraient à leur direction cent, deux cents ou trois cents euros chaque mois dans l’espoir de garder leur emploi.
Le MEDEF ne représente qu’une minorité de patrons, vrais bureaucrates du capital. Ce ne sont pas des capitaines d’industrie audacieux prêts à hypothéquer leurs biens personnels pour la bonne marche de leur entreprise. Ces aventuriers économiques se retrouvent chez les artisans, les indépendants et les chefs des petites et moyennes entreprises, soit les plus affectés par le confinement imbécile et pour qui les aides exceptionnelles de l’État sont compliquées à obtenir en raison d’une paperasserie administrative proliférante.
En 2020, la productivité française ne repose plus sur la durée journalière du temps de travail, les 35 heures par semaine, les cinq semaines de congés payés, le repos dominical et les onze jours fériés (hors particularités propres à l’Outre-mer). La demande du grand patronat de les réduire rejoint les exigences répétées des multiculturalistes qui remplaceraient volontiers une à deux fêtes chrétiennes par une à deux autres fêtes monothéistes exogènes. Les deux groupes œuvrent de concert.
Déplorable Premier ministre du sinistre Chirac, le Poitevin Jean-Pierre Raffarin a rétabli en 2004 la corvée seigneuriale avec la « journée de solidarité » prévue à l’origine pour parasiter le lundi de Pentecôte. Il s’agissait par un jour de travail gratuit de financer la dépendance des personnes âgées sans jamais solliciter le capital et les « parlementeurs ». Le pognon ainsi soutiré aux travailleurs permet en fait de rembourser les intérêts de la dette abyssale de l’Hexagone.
Reporter le plus tard possible l’âge légal de la retraite, rogner sur les congés payés, augmenter la durée hebdomadaire et quotidienne du temps de travail, supprimer des jours fériés, voilà les propositions soi-disant innovantes d’une clique patronale aveugle aux nouveaux enjeux. Ces bouffons déphasés s’enferrent dans leur incompétence libérale policière progressiste et continuent à regarder la décennie 2020 avec les lunettes de 1880 ! Le grand patronat composé de fonctionnaires salariés pantouflards payés à coup de stock options et de parachutes dorés ne saisit pas l’imbrication croissante des questions sociale, écologique et nationale (ou identitaire). Peu importe, il sera tôt ou tard éjecté et remplacé par une élite nouvelle consciente des nouveaux défis.
Et s’il faut abroger des jours fériés, plutôt que de s’attaquer aux célébrations chrétiennes, que la « Ripoublique » hexagonale commence par réduire les siennes. Abolissons les funestes 8-Mai et 14-Juillet ! On ne peut pas se satisfaire de la sujétion de l’Europe par le bolchévisme de Wall Street et de la City. On ne peut pas non plus fêter la prise d’une forteresse royale qui n’accueillait qu’un noble incestueux, un fou, un apprenti-régicide et quatre faux monnayeurs. On ne doit pas non plus se féliciter de la fête organisée un an plus tard sur le Champ de Mars parisien et dont le déroulement cacha l’évidente duplicité des parties en présence.
Sans réclamer la reconnaissance officielle du 10 juillet 1940, il serait bien que le 27 juillet devienne la nouvelle fête nationale française en souvenir de la victoire de Bouvines en 1214. Allié au jeune prince des Romains Frédéric de Hohenstaufen et du pape Innocent III, le roi de France Philippe II Auguste gagna grâce aux milices communales des bourgs francs du Nord sur les troupes anglaises du roi Jean sans Terre, d’un comte de Flandre félon et de l’usurpateur impérial le guelfe Otton IV. Si on peut encore vibrer à l’évocation du sacre des souverains français à Reims, le récit de la Fête de la Fédération n’émeut guère. L’historien médiéviste et résistant français Marc Bloch voyait dans le ravissement commun de ces deux événements une preuve marquante de francité. Pour la circonstance, notre européanité l’emporte nettement.
par Georges FELTIN-TRACOL
Source : « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n° 170, sur Radio-Libertés ; http://www.europemaxima.com
FÊTE DU 1ER MAI, FÊTE DE BELTAINE
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Nos ancêtres appelaient cette période, où la nature est dans toute sa vigueur et sa fertilité, mois de la joie ou mois de la lune de ravissement.
La nuit du 30 avril au 1er mai, les jeunes gens courent de maison en maison et chantent son retour. Le soleil de mai et le bain dans sa rosée rendent les filles jolies pour trouver un fiancé. Les villages élisent et couronnent les « Reines de mai », autrefois exposées dans une niche d’aubépine. On promène en chanson et avec le « feuillu », personnage couvert de mousses et de feuillage, un couple de beaux enfants, les fiancés du mai. La coutume est de faire passer le bétail entre deux feux pour sa purification et sa bénédiction avant de prendre le chemin des herbages.
Fête de l’Arbre de mai
C’est la « danse des rubans » autour de l'arbre de mai, où douze couples de danseurs tressent le réseau du Destin de la vie. Ce sont les paniers de mai avec fleurs et sucreries que l’on dépose secrètement sur le seuil des amis et de la famille. Le petit arbre que l’on dépose sous la fenêtre de la bien aimée. On dit « planter le mai ». Beltaine 1er mai est la passerelle du printemps vers l'été.
Beltaine
Beltaine est une “fête de fondation” où les bestiaux doivent traverser le feu – souvenir de la grande éruption du HrimsWot’n qui les chassa de chez eux ? Beltaine est aussi l’anniversaire du débarquement en Irlande/ Hibernie (le but ultime des Celtes* Éburons), des fils de Partholon venus par la Vallée de l’Ebre en Ibérie/ Espagne – proches cousins de la tribu gauloise des Eburovices.
Elle est donc une fête sacerdotale du début de la saison estivale qui a lieu le 1er Mai (mois gaulois de giamonios), date qui nous préoccupe essentiellement ici.
Pour les Anciens, c’était ainsi la fête des mânes, elfes, lutins, esprits “follets” et autres farfadets et par conséquent celle des Dises (les Walkyries). On y faisait un festin comme d’habitude et de grands feux au Dieu Belenos (Apollon) – ou à Belisama (Minerve/ Athéna) – feux qu’on sautait et où l’on brûlait le condamné Hiver dans un grand mannequin d’osier. C’est ceci qui fit dire aux Romains (devenus incultes) et aux Chrétiens leurs dignes successeurs, qu’il s’agissait de “sacrifices humains” : ridicule !
Le mois de mai était par contre propice aux fiançailles, et c'est le 1er mai que le jeune homme se déclarait en apposant sur la porte des parents de l’élue sa demande par un brin de muguet et le saut du feu de Beltaine qui en faisait l’annonce publique devant la communauté
par Christian MANDON
Sources :METAINFOS | URL : https://wp.me/papOMB-1vz
Villeneuve-la-Garenne : des antifas venus prêter main forte rejetés par les émeutiers
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Mais ils ne sont pas les seuls nouveaux venus à Villeneuve-la-Garenne. Au moins une vingtaine de militants antifascistes sont venus prêter main-forte aux jeunes du coin. Des jeunes hommes, d’autres plus âgés, quelques femmes. Ils ont rappliqué à Villeneuve pour apporter leur soutien et leur expérience des batailles rangées avec les forces de l’ordre. Nul besoin d’être un expert en mouvements sociaux pour les distinguer. Ils sont blancs pour la plupart, globalement plus âgés que les jeunes à la manœuvre, et tout dans leur attitude et leur équipement trahit une certaine habitude de la révolte de rue.
Eux aussi veulent en découdre, crient « Mort aux porcs » aux policiers situés cinquante mètres plus loin. Mais l’alliance entre locaux et militants vire assez vite au mariage de la carpe et du lapin. Un jeune du coin, qui fait office de leader, reproche aux « antifa » leur volonté d’aller au contact avec les policiers. « Ce n’est pas vous qui allez vous faire soulever, c’est nous ! », leur lance-t-il. Un autre les soupçonne d’appartenir aux médias honnis. « Mais on n’est pas des journalistes ! On est du bloc ! », répond une militante présente, en référence aux « black blocs ». La tension monte, les noms d’oiseaux fusent. Malgré la médiation tentée par un trentenaire conciliant, un petit groupe d’antifascistes finit par s’en aller : « On se casse d’ici ! »
Vu sur FDesouche
La vidéo du policier blessé par le terroriste Youssef
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StopCovid : le gouvernement passe en force et supprime le débat à l'Assemblée
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En intégrant le débat sur le projet d'application StopCovid à celui, général, sur le déconfinement, l'exécutif est accusé de passer en force. Une situation dénoncée à gauche comme au sein même de la majorité, où les réticences contre cette application sont fortes.
Oubliés, le débat et le vote à l'Assemblée nationale et au Sénat uniquement dédiés au projet d'application StopCovid . La volonté du gouvernement de présenter dès mardi le plan global de déconfinement lui permet de passer à la trappe ces étapes qui s'annonçaient sous haute tension au sein de la majorité. Sans oublier une gauche vent debout contre ce projet et une droite elle aussi très divisée sur la question.
L'exécutif anticipait une très forte abstention du côté des députés LREM, ce qui, au final, laissait augurer une courte majorité en faveur de l'application. Emmanuel Macron et Edouard Philippe sont très prudents sur ce projet porté par le secrétaire d'Etat au Numérique, Cédric O, mais ils ne pouvaient pas non plus le mettre de côté dans le cadre du déconfinement, sous peine de se voir accusés de refuser des outils.
C'est le Sénat qui est venu au secours du gouvernement. Gérard Larcher, le président de la chambre haute, était très réticent à l'idée d'organiser un débat et un vote spécifiques sur l'application StopCovid compte tenu des réserves de sa propre majorité sur ce projet. Il a donc poussé pour que le débat soit global. « Je suis un pragmatique ; le traçage, pourquoi pas ? Mais si nous n'avons ni masques ni tests, il ne nous protégera pas du Covid. C'est pourquoi j'ai demandé au président de la République qu'il y ait un débat global sur le déconfinement », a-t-il confirmé au « JDD ». L'exécutif a donc saisi cette opportunité.
Passage en force
Ce passage en force risque de laisser quelques traces. La disparition du débat dédié à StopCovid est dénoncée à gauche et passe mal au sein de la majorité. « Un vote unique sur le plan déconfinement (et donc sans possibilité de se prononcer sur le traçage numérique en tant que tel) et avec un nombre aussi réduit de députés ne correspond pas, au regard des enjeux, à un niveau de démocratie parlementaire suffisant », a dénoncé sur Twitter le député LREM Aurélien Taché, très opposé à cette application.
Comme les autres pans du déconfinement, Edouard Philippe a prévu d'évoquer cette application lors de son discours, mardi prochain, sachant que l'exécutif n'est pas encore sûr d'être prêt pour le 11 mai.
Malgré l'absence de débat et de vote, les députés de la majorité entendent rester vigilants. « L'utilité du traçage ne peut s'apprécier qu'à l'aune de la stratégie globale de déconfinement. Il est donc important que nous puissions avoir mardi cette vision d'ensemble. Pour autant, beaucoup de questions restent ouvertes sur l'application et il n'est donc pas question de s'épargner ce débat au Parlement. La commission des Lois va poursuivre son contrôle et ses échanges avec le ministre et la CNIL sur le développement de l'application et son utilisation », déclare aux « Echos » Yaël Braun-Pivet, présidente de la commission des Lois à l'Assemblée nationale.
Les Echos 26 avr. 2020
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