Cette attitude s'apparente à celle d'un salaud : @makeitmarseille refuse de répondre à notre demande de devis pour des visières de protection destinées aux commerçants des 13ème et 14ème arrondissements de #Marseille.
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Coronavirus. Une entreprise refuse de produire du matériel de protection pour des commerçants car la mairie est RN
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22/04/2020 – 20h00 Marseille (Lengadoc Info) – L’entreprise Make it Marseille a-t-elle refusé de produire du matériel de protection pour des commerçants sous prétexte que la commande venait d’une mairie tenue par le Rassemblement National ? C’est en tout cas ce qu’explique le sénateur et candidat à la mairie de Marseille, Stéphane Ravier (RN) dans une vidéo diffusée sur Twitter.
« Pas les mêmes valeurs que le RN »
Le sénateur et ex-maire des 13 ème et 14 ème arrondissements de Marseille explique que dans le cadre de la lutte contre le coronavirus, l’actuel maire, Sandrine D’Angio (RN), a pris l’initiative de passer une commande d’un millier de visières de protection pour les commerçants des deux arrondissements. Pour cela, la mairie a demandé des devis à plusieurs entreprises dont l’une, Make it Marseille, a répondu : « Désolé, nous ne souhaitons pas contribuer à vos actions, ne partageant pas les mêmes valeurs que le Rassemblement National. »
Une « attitude de salaud » selon Stéphane Ravier qui a rappelé à l’entreprise que la France était actuellement dans une situation de guerre.
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Parodie macronesque de Christophe "Les marionnettes"
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Quand Sibeth Ndiaye élude la question d'un sacrifice financier des ministres
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Alors que plusieurs gouvernements étrangers ont choisi de diminuer leur salaire par solidarité face à la crise, la porte-parole a soigneusement évité la question qu’un journaliste lui posait à ce sujet.
Nouvelle-Zélande, Autriche, Maroc, Bulgarie… Les gouvernements de plusieurs pays du monde entier ont pris l’initiative de diminuer ou de faire une croix sur un mois de leur salaire, par solidarité pour les citoyens qui souffrent de la crise sanitaire. Alors pourquoi pas la France ? C’est la question qu’a posé un journaliste à Sibeth Ndiaye, lors de la conférence de presse hebdomadaire post-Conseil des ministres, mercredi 22 avril. Visiblement, la porte-parole du gouvernement n’y était pas préparée, puisqu’elle a tenté de noyer le poisson en usant d’une bonne dose de langue de bois.
« Est-ce que les ministres français, à l’instar de leurs homologues autrichiens, bulgares ou marocains, vont verser un mois de salaire symbolique ? », a osé le journaliste. En retour, Sibeth Ndiaye s’est contentée de détailler les mesures prises par le gouvernement pour aider les plus faibles. « Vous le savez, depuis le début de la crise, nous avons été extrêmement attentifs à ce que les personnes les plus vulnérables en France puissent bénéficier d’un dispositif d’aides spécifiques », a-t-elle fait valoir, à côté de la plaque. La porte-parole a ensuite détaillé les places d’hébergements supplémentaires allouées aux SDF et le prolongement de la trêve hivernale jusqu’au 31 mai. Elle a également souligné la mise ne place de chèques services pour accéder à des banques alimentaires. Une « aide exceptionnelle de solidarité » accordée aux plus fragiles a aussi été mise en place, a-t-elle plaidé, éludant toujours la question initiale.
Finalement, Sibeth Ndiaye a conclu en expliquant que tout « ce dispositif » serait « complété s’il doit l’être ». Pas un mot, donc sur une éventuelle suspension de salaire ou même un rabais pendant quelques mois, comme l’ont fait tous les membres du gouvernement néo-zélandais. L’hypothèse que les ministres français renoncent à leurs 10 135 euros bruts mensuels ne semble donc pas encore à l’ordre du jour.
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NOUVEAUTÉ: Le N° 53 du bulletin des Amis de Jean Mabire
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I-Média 286 – Griveaux : débauche politique, pudibonderie médiatique
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Coronavirus : les policiers du Calvados ont pour consigne de ne pas "intervenir" pendant le ramadan, le patron de la police demande des "explications"
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Dans une note interne, que France 3 a pu consulter, il est demandé aux fonctionnaires de ce département d'éviter "un trouble supérieur de violences urbaines". Le patron de la police nationale a assuré en réponse que les policiers intervenaient "en tout point du territoire".
Des consignes spéciales adressées aux fonctionnaires de police. Dans le Calvados, le directeur départemental de la sécurité publique indique, dans une note diffusée vendredi 24 avril et que France 3 a pu consulter, qu'"il n'y a pas lieu d'intervenir dans les quartiers à forte concentration de population suivant le ramadan, pour relever un tapage, contrôler un regroupement de personnes rassemblées après le coucher du soleil pour s'alimenter". A deux exceptions près : "atteinte aux personnes ou atteinte grave aux biens."
Ces instructions sont dispensées alors que les musulmans français ont entamé vendredi un mois de ramadan, comme une bonne partie des musulmans de la planète, placé sous le signe du confinement face à la pandémie de Covid-19. Il faut avoir un motif valable pour sortir, avoir sur soi une attestation et éviter tout regroupement.
"Eviter un trouble supérieur de violences urbaines"
Or, dans cette note, il est demandé aux policiers "de faire preuve de discernement", pour "éviter qu'un manquement aux règles de confinement ne dégénère et provoque un trouble supérieur de violences urbaines". "Si la situation le nécessite, plusieurs véhicules pourront être dirigés", "au point de regroupement le plus proche", précise la note, qui est valable "du 24 avril de 5h09 jusqu'au 23 mai à 21h52".
"Cette note révèle après quelques jours de polémique que nous avions raison. On ne veut pas qu'on entre dans certains quartiers", commente à France 3 Fabien Vanhemelryck, secrétaire général du syndicat policier Alliance. Ces dernières semaines, des tensions sont notamment apparues à Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine) et dans plusieurs autres villes d'Ile-de-France, où des affrontements nocturnes ont eu lieu entre des policiers et des jeunes habitants.
"Une initiative locale incompréhensible"
Le directeur général de la police nationale (DGPN) a réagi à cette note dans la soirée. Ses propos vont à l'encontre de ceux du responsable syndical. "La police nationale intervient en tout point du territoire pour assurer la sécurité des personnes et des biens quelles que soient les circonstances. Le DGPN a demandé qu'un rapport d'explications lui soit transmis dès ce soir", a affirmé la Police nationale dans un message transmis à l'AFP.
"Il s'agit d'une initiative locale incompréhensible", a commenté auprès de l'AFP l'entourage du ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner. "Les consignes nationales sont claires et ont été rappelées à plusieurs reprises ces derniers jours tant par le ministre de l'Intérieur que par le secrétaire d'Etat : le contrôle par les forces de l'ordre du bon respect du confinement doit être assuré partout et à chaque instant sur tout le territoire", a complété cette même source.
Selon Le Canard enchaîné, Laurent Nunez, secrétaire d'Etat auprès du ministère de l’Intérieur, avait indiqué le 18 mars, lors d'une visioconférence avec les préfets des zones de défense, que faire respecter le confinement dans les quartiers populaires n’était "pas une priorité". Mais Laurent Nuñez a démenti vendredi matin sur Europe 1 : "Il n'y a jamais eu de consignes d'allégement des contrôles sur n'importe quel territoire de la République y compris dans les quartiers."
Les INDO-EUROPEENS de J. Haudry
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Dans son ouvrage fondamental « Les Indo-Européens », qui est la mise à jour de son célèbre « Que sais-je ? », notre maître et ami Jean Haudry nous découvre la conception qu’avaient de l’univers les plus anciens des Européens et les représentations qu’ils s’en faisaient. Il a divisé la matière en cinq sections : leur conception des lois de l’univers (la cosmologie) et du temps, leur théorie de la formation de l’univers (la cosmogonie), leur histoire de l’humanité et leur pensée quant à leurs fins dernières (l’eschatologie).
Dans notre numéro précédent, nous avons vu que l’idée d’une décadence à la fois morale et vitale a pour contrepartie un progrès matériel, considéré comme bénéfique et attribué à diverses divinités, en particulier à des représentants du Feu divin comme Prométhée. Ce processus aboutit à une catastrophe cosmique. Le tableau de cette catastrophe varie autant que celui du commencement du monde : tous les cataclysmes connus ou imaginables y ont leur part, déluge, embrasement universel, chute des astres, etc. Mais partout elle est conçue comme la victoire des forces du mal liée dans l’univers au triomphe de la subversion dans la société humaine. Alors seulement pourra naître un monde nouveau : « Sur les champs non ensemencés croîtront les récoltes. Tous les maux seront réparés. Baldr va revenir. », Vision de la Voyante, 62 (trad. Boyer : 548). La transposition épique de ce mythe eschatologique dans le Mahabhârata a été mentionnées plus haut. L’épopée populaire arménienne conserve elle aussi la trace d’un retour de la justice incarnée par Mher (reflet du Mithra iranien) enfermé avec son cheval dans une caverne : retour consécutif à une catastrophe cosmique : « Quand le monde aura été détruit et qu’il aura été refait… alors seulement nous aurons la permission de sortir d’ici » David de Sassoun, (trad. Feydt 1964 ; 397). Ce retour de Mher fait écho à celui d’Astrée ou Dikè, la Justice, chanté par Virgile « Voici que revient la Vierge, que revient le règne de Saturne. Voici qu’une race nouvelle est envoyée du haut du ciel », Bucoliques, 4,6 et suiv. Il semble qu’Hésiode ait partagé cette espérance, sinon, comme l’observe Vernant (1988 : 23), pourquoi exprime-t-il le regret (Travaux, Vv. 175) de n’être pas mort plus tôt ou né plus tard ? Cet âge d’or sera-t-il stable, comme l’assure la tradition mazdéenne ou, comme dans la conception brahmanique, le monde entrera-t-il une fois de plus dans le cycle de la décadence, jusqu’à une nouvelle catastrophe ? C’est ici que divergent les traditions, car ce n’est pas l’essentiel : peu importe pour l’homme d’aujourd’hui et pour son action dans le monde. Qu’il s’agisse de l’espace ou du temps, de l’histoire de l’univers ou de celle de l’humanité, tout revient invariablement à la question des rapports entre les parties constitutives de la communauté : tout ordre est le reflet de l’ordre social, toute évolution a pour modèle celle que présente la vie de la société. C’est en cela que la conception de l’univers, comme celle de l’individu, peut être politique.
Mais, à l’inverse, l’ordre social est homologue de l’ordre cosmique : les castes, qui réalisent les trois fonctions dans le monde indo-iranien, y sont dites « couleurs », en vieil indien varna, en avestique pistra, et ces couleurs sont celles des trois ciels : le blanc du ciel diurne, le rouge du ciel auroral et crépusculaire et le noir du ciel nocturne. De plus, ces couleurs symbolisent également les divisions de sociétés dont la tripartition n’est pas fonctionnelle : ainsi la société germanique. L’homologie peut donc se lire dans les deux sens. Qu’il s’agisse du formulaire ou des schèmes notionnels, la tradition privilégie le politique : elle est tournée vers l’action, ayant pour objet principal de guider la conduite des chefs. Mais les réalités politiques et sociales changent et les institutions, quoique censées éternelles, évoluent : la structure trifonctionnelle n’est pas commune à toutes les sociétés indo-européennes et les sociétés organisées sur un autre modèle peuvent connaître la tripartition des couleurs symboliques. Il y a donc, sous-jacente à la forme explicite de la tradition centrée sur l’action des hommes dans la société, une vision du monde informulée selon laquelle les trois ciels et leurs couleurs, les principaux cycles temporels et en particulier le cycle annuel, tiennent une place centrale. Ici encore le caractère cumulatif de la tradition est manifeste. L’eschatologie se fonde sur l’homologie des cycles temporels, qui remonte à la période la plus ancienne. Mais la partie descendante du cycle, seule prise en considération pour l’histoire de l’humanité, a été mise en relation avec la hiérarchie des fonctions et des castes ou classes qui leur correspondent dans la société des quatre cercles. De plus, avant de s’exprimer dans les textes dont nous disposons, les conceptions eschatologiques ont traversé la société héroïque et les phases initiales des sociétés d’époque historique qui leur ont imprimé leur marque. Le combat eschatologique est attribuable au caractère guerrier de la société héroïque, la divergence des traditions signalée ci-dessus aux différences entre les sociétés qui les ont véhiculées aux temps historiques.
Sources : RENAISSANCE EUROPEENNE - Secrétariat : Molenstraat 83, 2018 Anvers. Belgique et pour tous contacts :
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Coronavirus : Médecins sans frontières arrête ses opérations de sauvetage en mer avec SOS Méditerranée
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Les deux associations expliquent ne pas s'être entendues sur les actions possibles à mener pendant la crise sanitaire.
La fin d'un partenariat de quatre ans qui a permis de sauver 30 000 migrants en Méditerranée. Médecins sans frontières a annoncé, vendredi 17 avril, qu'elle cessait ses missions de sauvetage de migrants en mer à bord de l'Ocean Viking. L'association explique son choix par le fait qu'elle n'est pas parvenue à s'entendre avec l'ONG SOS Méditerranée (qui affrète le bateau) sur la possibilité d'opérer malgré la crise sanitaire.
Cette dernière considère en effet que "les conditions de sécurité ne sont malheureusement plus réunies pour les équipages et les personnes secourues". Reprendre la mer, c'était prendre le risque de se retrouver "face à des situations de blocage qui s'éternisent", "sans aucune garantie de débarquement", et "des évacuations médicales rendues très hasardeuses du fait des conditions de crise sanitaire", a expliqué à l'AFP Sophie Beau, sa directrice générale.
Jusqu'à nouvel ordre, l'Ocean Viking restera à Marseille, son port d'attache. "On ne pouvait pas prendre la responsabilité de repartir en mer alors que tous les indicateurs sont au rouge", a poursuivi Sophie Beau. SOS Méditerranée, qui travaillait à l'origine avec Médecins du monde, espère toutefois reprendre dès que possible ses opérations, sans MSF donc, pour éviter "que la crise sanitaire n'en cache une autre", humanitaire, en Méditerranée.
Malte et l'Italie pointés du doigt
Quant à MSF, elle aurait souhaité poursuivre les sauvetages à bord de l'Ocean Viking, même sans garantie des Etats européens de pouvoir débarquer les personnes secourues, au nom de "l'impératif humanitaire", a expliqué Hassiba Hadj Sahraoui, chargée des questions humanitaires. L'ONG pouvait difficilement continuer de mobiliser une équipe médicale si le bateau de sauvetage restait à quai en France, a-t-elle ajouté.
MSF, déterminé à poursuivre son action en Méditerranée, met directement en cause la responsabilité des Etats européens, qui "continuent de se dérober devant leur responsabilité, contrecarrant sans relâche les efforts des ONG". "La lutte contre le Covid-19 ne doit pas être un prétexte pour imposer des politiques migratoires meurtrières", a ajouté l'ONG, qui appelle à lever "immédiatement les restrictions empêchant les ONG de sauver des vies en mer". Elle accuse Malte et l'Italie de ne pas avoir répondu à plusieurs appels de détresse et refusé "le débarquement à près de 200 personnes" par d'autres ONG pendant le week-end de Pâques.
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