Dans le catéchisme des apôtres du multiracialisme, il y a les gentils Noirs et les méchants Blancs. Manichéisme confortable pour les faux-culs mais qui a un gros défaut : il est nié en permanence par les réalités.

Dernier exemple en date : à Calais, submergée par un afflux incessant et toujours croissant de migrants clandestins (de l’aveu même du ministère de l’Intérieur, leur nombre a été multiplié par quatre depuis le début de l’année), les vieilles rivalités raciales interafricaines mettent le feu aux poudres : catastrophé, Le Monde est obligé de le reconnaître (23 octobre) : « Les rixes entre ethnies se sont multipliées (…) Plusieurs batailles rangées ont éclaté entre groupes ethniques ». Ethiopiens et Erythréens ont réglé leurs comptes à coups de pierres et de bâtons, avec à la clé plusieurs dizaines de blessés.

Des Gaulois patriotes ont réagi face à cette situation, pour manifester le ras-le-bol des habitants de Calais et des environs. Les membres de Terre et Peuple doivent évidemment leur apporter un soutien actif.

Autre illustration de conflit racial : dans les rues de Tanger des Noirs sont attaqués à coups de couteau par des Marocains qui ne supportent plus de voir leur ville envahie par des gens venus du Sud en nombre toujours plus important et qu’ils considèrent comme des descendants d’esclaves.

P.V.

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