On apprend que 96 % des stations de mesure de la chaleur aux États-Unis sont placées de manière corrompue pour soutenir le canular du changement climatique. En effet, des critères draconiens sont exigés pour leur installation afin d’avoir des mesures incontestables. Or, la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration) a placé pratiquement toutes ses stations de mesure à proximité de sources de chaleur, ce qui fausse les résultats... dans le sens recherché !
Par exemple, les stations sont installées à proximité d’objets qui piègent ou produisent de la chaleur (dalle bétonnée, zone urbanisée, pente exposée au soleil…). Les 4 % de stations placées selon les bons critères (terrain plat, à au moins 30 m de toute zone pavée ou bétonnée…) indiquent toutes des données réduites de moitié par rapport aux autres 96 % et prouvent qu’il n’y a aucun réchauffement. (Natural News) « Ce qui rend cette fraude à la température si grave, c'est qu'elle est utilisée pour prouver un prétendu réchauffement climatique d'origine humaine, un récit que les globalistes utilisent ensuite pour imposer aux gouvernements et aux populations du monde une restructuration totale de la société et de nos vies ». (New Times, journal suédois)
Le Canada a un tout autre discours puisque l’ECCC (Environnement et Changement Climatique Canada) révèle que la masse de neige de l’hémisphère nord à fin avril 2023 s’est élevée à 2.600 km3 alors que la norme est de 1.600 km3. Dans beaucoup de territoires, la neige a recouvert de deux à quatre fois plus de surface que d’habitude. Déjà, l’excès de neige entre 1998 et 2011 avait été de 60 % par rapport à la normale, ce qui contredisait les affabulations du GIEC. (Free West Media) Les mensonges « réchauffistes » ont déjà gravement nui à la sécurité énergétique et alimentaire, érodant les trésoreries occidentales et les économies privées et supprimant une grande partie de notre liberté et de notre qualité de vie.
(New Times)
Source : RéinfoMag N° 262 – 04 août 2023