Quand les plus grands patrons de la planète se rencontrent à DAVOS, ils parlent de profit et de flexibilité... Ca fait presque froid dans le dos : non assistance à personne en danger ça peut être invoqué contre des prédateurs de cette sorte ? Notez bien le trait d'humour lancé par le premier Polonais "après il nous faudra privatiser le gouvernement"... sous entendu comme aux États Unis !
Voilà comment ils se servent des partis politiques, et du bipartisme : des supplétifs aux ordres des intérêts financiers, pour faire toujours plus d'argent !!!
La réalité dépasse la fiction : Sarkozy élu par les médias, leur rend la monnaie de la pièce, en transférant les ressources de la publicité des chaines publiques sur les chaines privées !!!