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Pendant 1400 ans, ils ont subi les exactions des mahométans, conquérants brutaux, envahisseurs cruels et pillards cupides. Pourtant, des livres d’histoire écrits après l’indépendance vantaient un paisible « vivre-ensemble » qui n’a jamais existé. Fantasmé comme l’âge d’or de l’Andalousie médiévale.

Au mieux il y eut des trêves, avec parfois des alliances tactiques provisoires, assorties d’échanges commerciaux. Mais jamais il n’y eut de vraie paix.

Gandhi était un grand naïf. Il croyait à l’impossible réconciliation des religions. Et ses successeurs se sont benoîtement enfermés dans cette impasse. Mettant entre parenthèses la partition, les trois guerres avec le Pakistan, l’invasion du Kashmir, les temples hindouistes incendiés et saccagés, le terrorisme islamique récurrent et l’hostilité permanente entretenue par les fervents adorateurs du pédo-prophète contre ceux qu’ils tiennent pour des idolâtres.

 

La Cour suprême a su évoluer avec son peuple

La Cour suprême indienne tient à la fois de notre Cour de cassation, de notre Conseil d’État et de notre Conseil constitutionnel. Loin d’être source de désordre, ce mélange des genres présente l’avantage de permettre sans trop de heurts des revirements jurisprudentiels adaptés à l’état d’esprit de leurs concitoyens.

Ainsi après avoir toléré pendant des décennies la répudiation des femmes musulmanes, la Cour, faute d’un code civil unifié, a condamné en 2017 cette pratique injuste et inconstitutionnelle. Mieux vaut tard que jamais.

 

Et pour cette cour, il n’y a pas de prescription pour les exactions du passé

Ainsi dans l’affaire d’Ayodhya, une cité antique que hindouistes et musulmans se disputent depuis l’an 1528, quand les envahisseurs ont détruit au bord du fleuve sacré Sarayu un temple de Rāma, septième avatar de Vishnu, pour le remplacer par une mosquée.

En 1992 (la vengeance est un plat qui se mange froid !) la mosquée a été démolie par une foule de nationalistes en colère. S’ensuivirent des années d’émeutes et d’attentats faisant plus de 2 000 morts.

Finalement en novembre 2019, la Cour suprême a attribué en dédommagement aux mahométans un terrain éloigné pour qu’ils y reconstruisent leur mosquée, hors du périmètre contesté depuis 491 ans. Et dans le même temps, les juges ont confirmé la possession aux seuls hindous du périmètre sacré.

Les juges ont clairement disposé que « c’est aux musulmans de justifier leur présence sur place, et que faute de preuves d’achat, le bénéfice du doute ou de la controverse historique doivent bénéficier aux seuls hindous. »

Une décision assortie d’attendus qui vaudraient au minimum la garde à vue à leurs auteurs en France : « Les hindous sont la communauté dominante en Inde et les musulmans, à travers l’histoire, n’y ont jamais été (et n’y seront jamais) que des étrangers qu’on tolère.»

Dans le même temps, la politique du bulldozer contre les édifices commerciaux ou religieux des terroristes ou des criminels islamistes est encouragée implicitement par l’exécutif et les gouverneurs. Mais selon Radio France Pourriture, on ne comprend pas pourquoi les hindous sont si méchants.

 

Contre l’histoire écrite par des lâches collabos au service des envahisseurs

Omendra Ratnu est un chirurgien passionné par l’histoire de son pays et un des premiers intellectuels à avoir brisé le carcan du politiquement correct. Les patriotes apprécient qu’il ait rendu à la société indienne la fierté de son passé.

Dans son ouvrage majeur « Maharanas : A Thousand Year War for Dharma » (« Nos grands rois : La guerre de mille ans pour sauver notre spiritualité ») il s’attache à reconstituer l’histoire des rois et des guerriers hindous qui ne furent pas toujours vaincus par les Arabes, les Perses puis les Moghols. Ni distancés par la prétendue supériorité intellectuelle et artistique des cavaliers d’Allah.

Avec une mauvaise foi incroyable, les historiens progressistes soucieux de complaire aux mahométans et à leurs relais dans la société civile, n’évoquaient que les batailles perdues par les hindous. Minimisant ou oubliant leurs victoires. Et occultant les plus sauvages massacres commis au nom d’Allah.

Comme il y a 80 % d’hindouistes dans ce pays, pour 14 % de mahométans après 14 siècles de prosélytisme acharné et de coercition forcenée pour les convertir, il faut croire que bien peu ont été sensibles au charme du « vivre-ensemble ».

 

On est chez nous ! Pas eux…

« Qu’est-ce que les invasions islamiques ont fait pour ce pays en 1 400 ans d’assauts ? » demande Omendra Ratnu. « Ils ont construit trois bâtiments, le Taj Mahal, le Fort Rouge et le Qutub Minar grâce à des architectes et des artistes hindous, et des foules d’esclaves. »

On se demande s’il n’évoque pas le Qatar. Il suffirait de changer « Hindous » par « Occidentaux ». Avec les mahométans, l’Histoire ne cesse de roter.

Les témoignages écrits d’époque, loin de l’angélisme des collabos actuels, décrivent les dynasties musulmanes ayant régné sur l’Inde comme des lignées de dépravés aux mœurs cruelles, des destructeurs implacables et des pillards s’appropriant sans vergogne les femmes, les biens et les connaissances d’autrui.

 

Des voleurs et des colporteurs qui n’ont rien inventé

Le zéro et le système décimal, mais aussi l’emploi des mathématiques pour décrire et comprendre les sciences auraient été inventés par les géniaux mahométans. Or le manuscrit Bakshali en sanskrit, vieux de 2 500 ans a vu son authenticité confirmée par le C 14. Les intrus ont tout copié !

Idem avec les prétendus chiffres arabes. Il suffit de voyager dans n’importe quelle contrée de la Musulmanie pour constater que la numérotation des maisons et des plaques des voitures sont faites en chiffres indiens approximatifs, qui n’ont rien à voir avec ceux que nous utilisons tous les jours.

 

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Mais les enseignants de gauche, musulmaniaques bornés et incultes, continuent à mentir aux enfants en glorifiant les mahométans qui nous auraient tout appris. Alors que, par des voies de raisonnement différentes en base vigésimale, les Mayas avaient eux aussi inventé le zéro il y a environ 2000 ans.

En astronomie, le calcul des mouvements des planètes, du Soleil, de la Lune et des éclipses ont impressionné les clercs lors de l’invasion de l’Espagne. Mais les « savants arabes » n’étaient que des colporteurs de ce qu’ils avaient dérobé.

Les Rig Veda vieux de 2300 ans montrent comment les astronomes indiens utilisaient des modèles mathématiques et des algorithmes complexes pour associer observations et calculs, posant les bases de la science expérimentale.

Le premier jeu d’échecs il y a 5 000 ans, appelé chaturanga, oppose des armées avec des chars, des éléphants, des chevaux et des fantassins, sur 64 cases. Associant la géométrie dans l’espace à des calculs de probabilités.

Enfin, pour la petite histoire, côté sexe, tandis que le fondamentalisme islamique justifie la pédophilie et le viol, corollaires de la soumission des femmes… Les hindous, délicats et raffinés, ont inventé le Kama Sutra valorisant le plaisir partagé, dont témoignent les fresques érotiques sculptées de Khajuraho dans le Madhya Pradesh.

N’en déplaise aux islamolâtres qui voudraient mettre sur le même plan les deux cultures, les Indiennes ont eu le droit de vote avant les Françaises et l’Inde a été la première nation moderne à être gouvernée par une femme. Des femmes occupent des postes au gouvernement, dirigent des banques et des entreprises, et elles sont nombreuses à exercer un métier ou une profession… Sauf bien sûr dans des familles de stricte confession islamique qui les séquestrent.

 

La dynastie des collabos a pris du plomb dans l’aile

« Avant, les visiteurs venaient ici, pleins d’humilité et de déférence », témoigne Vinod Mishra, employé du musée à la mémoire de Nehru, Premier ministre de l’Inde à l’Indépendance. « Désormais, ils glosent sur sa demeure, ses biens, et sous-entendent qu’il s’est beaucoup enrichi comme tant de politiciens corrompus », déplore cet admirateur inconditionnel du nez rouge.

Le parti du Congrès et la dynastie qu’il a fondée, sa fille Indira Gandhi et son petit-fils Rajiv ont aussi occupé le poste de Premier ministre, dominent la politique indienne depuis des décennies.

Mais depuis 2014, Narendra Modi et le parti nationaliste hindou Bharatiya Janata Party (BJP) sont au pouvoir pour balayer les vieilles lunes faites de lâchetés, de compromis, de compromissions, et de soumission rampante aux mahométans dans l’espoir vain d’avoir la paix. Civile et aux frontières.

 

L’histoire revient aux sources rédigées en sanskrit au détriment des contes des mille et une nuits enjolivés par les « historiens » arabes.

Le courant dominant de l’Histoire de l’Inde était, selon Omendra Ratnu, une suite d’affabulations. Et il se félicite de la réforme actuelle des manuels scolaires constituant « un petit pas, mais un pas dans la bonne direction ».

Scandale chez la gauche indienne collabo quand Allah’abad, où se trouve la demeure de Nehru, a retrouvé son ancien nom hindou de Prayagraj ville sacrée ruinée et annexée sous le règne d’Akbar, empereur moghol de 1556 à 1602.

Musique déjà entendue en France : « Il ne faut pas le dire, ça va attiser la haine contre les musulmans ». Comme si les gens intelligents, dignes et libres avaient besoin de ça pour les apprécier à leur réelle valeur.

À court d’arguments, la gauche fustige les auteurs d’un livre pour enfants qui raconte que Vinayak Damodar Savarkar, révolutionnaire nationaliste et idéologue de « l’Hindutva » (hégémonie hindoue), faisait, lorsqu’il était prisonnier des Britanniques, de fréquentes excursions hors de sa cellule sur les ailes des oiseaux. « C’est historiquement inexact ! » couinent-ils en chœur. Heureusement pour eux que le ridicule ne tue pas les cuistres.

 

Il n’y a pas que le lointain passé qui a été écorné

Les nationalistes hindous reprochent aux historiens de gauche d’avoir non seulement glorifié les Arabes, les Perses et les Moghols, occultant les accomplissements des seigneurs hindous, mais aussi d’avoir exagéré le rôle du Parti du Congrès dans la lutte pour l’indépendance, en oubliant des figures nationalistes qui ont pris plus de risques qu’eux et y ont perdu la vie.

Autre scandale pour les collabos de l’islam, les États de l’Haryana et du Gujarat, gouvernés par le BJP, ont ajouté un livre sacré hindou aux cours d’histoire, faisant selon eux du prosélytisme au cœur du système éducatif, en principe laïc.

Mais les mêmes soumis ne voyaient aucune objection à l’étude des chapitres de propagande consacrés aux mahométans et à leurs incomparables « bienfaits ».

« C’est honteux de prodiguer aux enfants un enseignement au goût safran (en référence à la couleur emblématique de l’hindouisme) et c’est une insulte à la diversité » clame le traître Rahul Gandhi, arrière-petit-fils de Nehru et dirigeant du parti du Congrès. Traître mais courageux, ou inconscient, quand on sait le sort réservé au reste de la famille Gandhi-Nehru, chaque fois qu’ils ont tenté de compisser leur pays et sa culture.

Pendant la campagne des législatives de 2019, Rahul Gandhi a été photographié priant dans une mosquée. Et il s’est fait élire dans une circonscription à majorité musulmane. Obligé de démissionner peu après, ce traître et plusieurs de ses acolytes, responsables du Parti du Congrès, avaient été espionnés par le gouvernement indien grâce au logiciel israélien Pegasus.

Accessoirement, des journaleux et des politicards français, dont Macronescu, ont été secrètement enregistrés par Pegasus. Les verbatims circulent dans les rédactions. Mais comme personne ne sera assez couillu pour les publier, on attend avec impatience que l’ami Vlad, qui a été servi, nous fasse ce cadeau.

Christian Navis - 21 novembre 2022

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