ALERTE INFO - Soros, Omidyar, Brenninkmeijer… tous les financeurs de Gabriel Zucman sont cités dans les Panama/Paradise pappers, tous hors de France !
Derrière l’image de l’universitaire « indépendant », les financements qui soutiennent ses travaux posent question : ils proviennent en grande partie de fortunes et fondations étrangères qui ne seraient jamais concernées par une taxe nationale appliquée en France. L’EU Tax Observatory (EUTO), qu’il dirige à la Paris School of Economics, a d’abord été lancé avec une subvention de 1,2 million d’euros de la Commission européenne (DG TAXUD) entre 2020 et 2022. Depuis, l’Observatoire vit de nouveaux contrats européens (programme Fiscalis) et de financements extérieurs : l’agence norvégienne NORAD, le Research Council of Norway, Mirova (gestion d’actifs du groupe Natixis), et l’Open Society Foundations (OSF), réseau fondé par George Soros et présidé par son fils Alex. Autrement dit, l’argent qui porte Zucman est massivement européen et international, rarement français. Le paradoxe, c’est que ces bailleurs privés ne seraient pas concernés par la « taxe Zucman » en France.
George Soros et l’OSF sont basés aux États-Unis, Pierre Omidyar (eBay, fondateur de Luminate) réside à Hawaï, la famille Brenninkmeijer (C&A, fondatrice de Laudes Foundation) est domiciliée via son holding COFRA à Zoug, en Suisse, et la Stone Foundation (James & Cathleen Stone) est installée à Boston. Aucun de ces acteurs n’est résident fiscal français : leurs fondations peuvent financer la recherche, mais leurs fortunes échapperaient à toute taxe nationale appliquée à Paris. Plus troublant encore : certains noms de cet écosystème apparaissent dans les grandes fuites sur les paradis fiscaux.
Dans les Paradise Papers, l’ICIJ a documenté l’existence d’entités liées à George Soros via le cabinet Appleby. Dans les mêmes leaks, on retrouve Ohana Holdings Ltd., liée à Pierre Omidyar, enregistrée aux îles Caïmans. Enfin, la base des Panama Papers mentionne COFRA Holding Inc., bras financier de la famille Brenninkmeijer. Ces révélations ne prouvent pas une illégalité, mais elles montrent que ceux qui financent la croisade anti-évasion ont eux-mêmes utilisé les services de l’offshore. Zucman est également rémunéré près de 380 000$/an par son université américaine, revenus sur lesquels il n’est assujetti à une imposition en France.
La fraude Zucman est totale.
Gabriel de Varenne
Source : X