Dans un monde où les conflits, les crises et les pandémies semblent s’enchaîner sans fin, il est facile de croire aux explications officielles qui prétendent protéger des valeurs, défendre des nations ou sauver des vies. Pourtant, derrière cette façade se cache une réalité plus sombre, celle d’une manipulation orchestrée par une élite économique mondiale. Leur arme ? La peur. Leur objectif ? L’argent et le pouvoir, toujours aux dépens des peuples. Je vous dévoile ici, comment, depuis des siècles, la guerre n’est qu’un outil parmi d’autres pour asseoir leur domination et garantir que, dans l’ombre, ce ne sont jamais les populations qui en sortent gagnantes.
La guerre, tout comme les pandémies, les pénuries ou la dette, est un outil de manipulation au service des puissants. Depuis toujours, elle leur permet de renforcer leur contrôle sur des populations terrifiées et dociles. Ce n’est jamais une question de nations ou d’idéaux, mais bien de profits. Derrière chaque conflit se cache une économie florissante où l’argent, les armes et la peur dominent. Tant que les élites alimentent la peur, elles maintiennent leur emprise. Le schéma est immuable : la guerre n’est qu’un marché juteux, prolongé autant que nécessaire pour vider les stocks anciens d’armement inutilisé et justifier de nouvelles dépenses afin de se réapprovisionner ou développer des nouveautés, alimentant ainsi le complexe militaro-industriel. Les peuples, eux, le paient en vies humaines et en impôts abusifs, sans jamais rien avoir demandé.
Prenons l’exemple de l’Ukraine. Il était évident que l’OTAN ne pouvait espérer une victoire face à la puissance militaire russe. Alors pourquoi poursuivre ? Parce que l’objectif n’est pas de vaincre, mais de prolonger la guerre. L’enjeu véritable est la consommation d’armes, le renouvellement incessant des stocks. Dès que le conflit s’enlise et perd de son attrait médiatique, que les pénuries ne font plus peur et que l’énergie coute 10 fois ce qu’elle coûtait – il y a 10 ans seulement -, une autre guerre éclate : celle d’Israël, par exemple. Là encore, on réveille de vieilles haines, on laisse des atrocités se produire pour justifier des années de massacres ignobles. Ce n’est pas une question de «Grand Israël» ni de suprématie pseudo-religieuse, mais bien de maintenir l’engrenage de la guerre et de la peur, toujours au profit des mêmes acteurs économiques et politiques.
Ni les démocrates, ni les républicains ne veulent voir les États-Unis s’engager pleinement dans une guerre pour le «Grand Israël» imaginaire avant les élections de novembre. De son côté, Poutine ne souhaite pas non plus un conflit majeur avant la réunion des BRICS, où il compte sceller de nouvelles alliances stratégiques plutôt qu’assoir sa supériorité. Et bien que Washington et Tel-Aviv soient dirigés par des hommes que beaucoup considèrent «fous» – l’un sénile, l’autre messianique – même eux réalisent qu’un affrontement direct avec des puissances comme la Russie, la Chine et l’Iran serait seulement suicidaire. Au diable les idéaux et le panache lorsqu’on a tous les privilèges du pouvoir. Si la Russie, les États-Unis, l’Europe, et même l’Iran respectent Jérusalem, ce n’est pas pour son importance religieuse ou symbolique, mais pour sa position stratégique. La Chine et la Corée du Nord, quant à elles, n’accordent aucun intérêt au monothéisme ni à l’histoire de cette ville. Ces nations pourraient tout à fait effacer Jérusalem de la carte sans sourciller, mettant fin à des millénaires de conflits autour d’elle.
Mais pourquoi Jérusalem est-elle réellement importante ? Et bien parce qu’elle alimente les guerres et les conflits au Moyen-Orient, terre riche s’il en est pour acheter des armes, et permettant surtout aux USA de garder la main mise sur le pétrole et donc leur hégémonie du pétrodollar. Elle ne sert que d’excuse à la fabrication et à l’achat d’armes de plus en plus sophistiquées, garantissant ainsi la survie d’un complexe militaro-industriel qui prospère en «gérant» le surplus de populations à travers la guerre. Mais qui serait obsolète si les peuples coopéraient entre eux. La collaboration et le pacifisme sont les vraies hantises des banquiers.
Regardez ce qui s’est passé après le départ d’Eltsine : les stocks d’armes de l’ancienne URSS ont afflué dans les quartiers du monde entier et notamment en France, car il fallait bien écouler les balles… Et comme chacun sait, les balles se vendent bien mieux que les ogives nucléaires, vieilles de 50 ans, qui elles aussi devront être éliminées pour laisser place à des technologies de destruction nouvelle génération, comme les armes à énergie dirigée. C’est que le développement de la mort, ça coûte cher !
Prenons un autre exemple : BlackRock, cet empire financier qui, en parlant de gestion de la mort, a investi massivement pour s’emparer des terres agricoles ukrainiennes, le grenier de l’Europe. Avec la guerre, les prix des produits européens flambent, ce qui profite directement aux milliardaires américains actionnaires et propriétaires des champs ukrainiens. Ils peuvent ainsi inonder le marché européen avec leurs produits comme le blé OGM et les canards cancérigènes – une aubaine pour Big Pharma, qui compense les pertes de ses vaccins ARNm, que plus personne ne veut, en injectant ces substances directement aux animaux français pour nous rendre tous malades, comme avec le foie gras de canards vaccinés avant les fêtes ! C’est incroyable de coïncidences, vous ne pensez pas ? Non ! Vous ne pensez pas, et c’est bien là le problème d’ailleurs…
Non seulement les oligarques profitent de cette guerre pour affaiblir l’Europe et empêcher son union naturelle avec la Russie, mais ils s’assurent aussi un accès direct aux ventres des femmes ukrainiennes – désespérément débarrassées de leurs fils et leurs maris -, et à une population affaiblie qui ne pourra jamais rembourser la dette colossale qu’on lui a imposée. Pendant ce temps, le trafic d’organes prospère, permettant à ces élites d’acheter un peu plus de temps de vie sur cette Terre avec autre chose que des organes africains, moins adaptés.
Les élites savent parfaitement qu’elles ne peuvent survivre sans une nouvelle peur à imposer aux peuples pour les soumettre. Après la pandémie, après les pénuries, après les fermetures d’usine dues à la hausse de l’énergie, si bien orchestrées en explosant le Nord Stream, quoi de mieux que la peur déclenchée par la guerre, pour détourner l’attention des vrais enjeux que sont le vol et le racket du monde entier par extorsion et agression de la part des oligarques ? Une population en guerre, acculée par la peur, est tellement plus facile à contrôler qu’un peuple conscient et révolté. Les vieux meurent injectés et les jeunes stérilisés vont périr au front au cas où certains auraient l’idée d’utiliser leurs dernières forces pour «aller les chercher» une bonne fois !
La manipulation, comme vous le constatez, est savamment orchestrée. Mais le scénario est éculé. Et derrière cette mascarade se cache une autre réalité visible qui fait que l’Occident, obsédé par son confort et ses privilèges, où les gouvernants n’ont pas investi assez dans de nouvelles technologies militaires. Trop occupés à magouiller entre amis pour nous plumer. Il fallait donc vider rapidement les vieux stocks d’armes pour introduire une nouvelle génération plus coûteuse et surtout plus lucrative. C’est là que Zelensky est entré en scène. Ce cycle n’a rien à voir avec la défense des valeurs ou des libertés, mais avec la domination technologique et financière de quelques-uns, au détriment perpétuel des peuples.
L’histoire ne change jamais. Depuis des siècles, les puissants se servent des guerres pour s’enrichir, concentrer toujours plus de pouvoir et de privilèges servant à encore plus asservir les peuples. C’est cela la boucle de la guerre et rien d’autre ! Prenons l’exemple du Donbass : pourquoi les massacres y ont-ils été ignorés depuis 2014, jusqu’à ce que le conflit devienne médiatisé en 2022 ? Tout simplement parce que les pénuries engendrées artificiellement n’ont effrayé que les plus hypnotisés, les plus sclérosés de la tête, qui ont besoin de PQ pour mieux chier leur Nutella, et que la pandémie de COVID-19 n’a pas suffisamment «fonctionné» à cause d’internet et des alerteurs. Certes, elle a bien éliminé une partie de la population, mais pas encore assez pour apaiser l’insatiable appétit des élites. Alors, la guerre est venue prendre le relais. Pénuries, Pandémie, Guerre, je vous le dis : tout ceci fait partie du même schéma de manipulations médiatiques où l’enjeu est toujours le même, l’asservissement par la peur et le gonflement de la dette.
Mais ne vous y trompez pas, ce ne sont pas les chefs d’État qui orchestrent cette mascarade, mais uniquement ceux qui contrôlent le mensonge de l’économie mondiale. Ceux qui financent, alimentent, orchestrent et prolongent les guerres sont toujours les mêmes : Les banquiers apatrides, les industriels avides et les fous de l’armement. Ces puissances économiques malthusiennes, dissimulées derrière des paravents comme les institutions internationales et les multinationales. Ces véritables élites restent dans l’ombre, tirant les ficelles, tandis que les dirigeants que l’on croit tout-puissants – Biden, Poutine, Xi Jinping – ne sont que des pions dans un jeu de domination planétaire bien plus vaste. La guerre est et restera leur jouet préféré. Elle enrichit toujours les mêmes acteurs, qu’importe le camp, qu’importe le conflit.
Il serait pourtant si facile, pour ceux qui prétendent haut et fort vouloir combattre les injustices mondiales, de frapper là où cela ferait vraiment mal, là où ce serait efficace. Que ce soit Jérusalem, capitale symbolique de tant de conflits religieux, Kiev, au cœur des tensions géopolitiques en Europe, ou même simplement le Forum économique mondial et l’Union Européenne, où se réunissent les architectes du capitalisme globalisé. Ces cibles pourraient être effacées en un instant si quelqu’un souhaitait réellement mettre un terme définitif à toutes ces manipulations. Et je suis certain que la majorité des peuples applaudiraient si cela arrivait ! Parce que la Corée du Nord, qui exècre le capitalisme occidental, ou la Chine, indifférente au monothéisme et à l’histoire religieuse de Jérusalem, auraient les moyens et la volonté de le faire sans sourciller.
Et pourtant, ils ne le font pas, ils ne l’envisagent même pas. Pourquoi ? Parce que ce système, aussi corrompu et destructeur soit-il, est absolument nécessaire à leur propre survie politique et économique. La guerre et les crises mondiales ne sont pas des accidents ou des phénomènes inévitables. Elles sont des outils soigneusement entretenus pour maintenir le contrôle total de cette élite arrogante sur les peuples. Si l’on voulait vraiment mettre fin à toutes ces guerres, les centres de pouvoir mondialiste, religieux ou financier seraient logiquement les premières cibles. On frappe la tête et pas les pieds, quand on veut réellement éliminer un ennemi. Mais tant que ces structures continuent de générer des profits pour les élites et de maintenir les populations dans la peur et la division, personne ne les touchera, ni même y pensera.
Et ce n’est pas une question de puissance militaire ou de capacité technologique – ces nations possèdent toutes les armes nécessaires pour mettre fin en moins de 5 minutes à cette mascarade mondialisée. C’est simplement que le jeu de la mondialisation forcée, basé sur la peur, la guerre et le contrôle des masses, profite à tous les acteurs majeurs du système international, y compris ceux qui prétendent s’y opposer. Parce que dans leur histoire, il faut toujours un méchant pour montrer qu’on est gentil. C’est la tenaille de la soumission !
Par ailleurs, souligner qui profite vraiment de ces manipulations est immédiatement qualifié d’antisémitisme, comme si évoquer certains noms et faits avérés était interdit. Mais pourquoi est-il tabou de poser ces questions ? Pourquoi des lois existent-elles pour limiter certaines recherches sur l’histoire de la Seconde Guerre mondiale, son financement et ses ramifications ? Pourquoi est-il subitement interdit de mentionner Rothschild, un banquier d’origine allemande, ou d’évoquer les origines polonaises de Netanyahou, ou européenne de l’est de tous les gouvernants israélites, bien loin de la mythologie biblique les annonçant comme sémites ? Ces tabous ont simplement été mis en place pour protéger ceux qui profitent et gèrent ce système, et ainsi empêcher les peuples de se poser les vraies questions. Comme de se demander où est passé tout cet argent versé tous les ans sous forme d’impôts, de TVA et de taxes diverses pour refinancer chaque année les centrales nucléaires, les autoroutes et les brevets que nous avons inventés… ? Il vaut mieux faire un crédit pour payer les études du petit, que demander des comptes aux voleurs !
Pandémie après pandémie, crise après crise, la guerre n’est qu’un prétexte de plus, mais ultime, pour justifier la préservation de la mainmise des puissants sur le monde. Et les dictateurs de l’histoire moderne, à l’instar d’Hitler, sont tous des socialistes, et ne sont qu’une autre façade, une autre marionnette mise en place quand l’obéissance des jeunes n’est plus acquise. Qui a financé le bolchevisme, le communisme, le capitalisme, tout comme le nazisme, le fascisme, et maintenant, le messianisme sémitique ? Toujours les mêmes acteurs, ceux qui possèdent les banques internationales, les fabriques d’armes en tous genres et les ressources vitales, tirant leurs ficelles dans l’ombre. Mais ces pseudo-élites redoutent une chose par-dessus tout : la révolte des peuples, le réveil massif de l’hypnose collective et la prise en main responsable et assumée de nos vies !
C’est pourquoi elles préfèrent entretenir la guerre, plutôt que de risquer la moindre révolte. C’est pour ça que les gilets jaunes ont été éborgnés par leurs cousins policiers, les vieux matraqués par leurs petits-fils gendarmes et les jeunes défoncés par leurs oncles CRS, pour simplement préserver les privilèges que l’élite à confiés à Macron. Car si les peuples se réveillaient non pacifiquement une bonne fois pour reprendre leurs droits et chasser ces parasites ; s’ils comprenaient enfin cette manipulation globale, ce serait la fin des privilèges outranciers, la fin des dîners à l’Élysée, des réunions feutrées à l’ONU, la fin du système d’impôts et de dettes qui maintient ces peuples la tête sous l’eau. Guerres, Pandémies, Pénuries, c’est le trio gagnant du même jeu de dupes, éternellement. Et tant que nous resterons hypnotisés et prostrés par la peur, ils continueront de gagner.
Alors, encore une fois, il est temps de briser ce cycle infernal qui n’enrichit que les élites et ne saigne que les peuples, littéralement depuis des décennies, voire des siècles. Mais il existe une issue simple qui est le réveil des consciences. Bon, il est vrai pour cela qu’il faut avoir un minimum de réflexion, de goût de la liberté, de courage et de panache ! Sinon tant que nous resterons aveugles et dociles, soumis à la peur qu’ils entretiennent, nous continuerons à payer de nos vies, de nos impôts, de nos libertés, leurs délires.
La révolution ne viendra que du courage de dire non et de s’opposer à cette mascarade, d’affronter directement, voire physiquement tous ceux qui orchestrent notre asservissement et de renverser un ordre mondial bâti sur le mensonge, la violence et la peur. Tant que vous restez hypnotisés par les écrans et prostrés sur votre canapé, tant que vous subissez la peur au lieu d’assumer vos vies, ces élites continueront à se remplir les poches et se gaver sur votre dos.
Il est donc temps de reprendre enfin le contrôle de nos vies et d’allumer le feu ardent qu’ils ont tenté d’étouffer trop souvent avec leurs divisions surannées et leurs milices surarmées… Il faut briser nos chaînes illusoires et affronter ces tyrans. La peur ne doit plus être notre guide car c’est la véritable colère, notre meilleure arme ! Et dans la vie comme au rugby…
La meilleure des défenses, c’est l’attaque !
Phil Broq.
source : Blog de l’Éveillé