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La loi fédérale allemande dite « loi d'autodétermination », dont le projet a été présenté par le gouvernement fédéral en août, prévoit notamment des sanctions si les transsexuels sont interpellés par leur ancien nom ou sexe. D'autres pays européens sont également menacés par cette évolution - l'agenda transsexuel et LGBT est une priorité absolue pour les idéologues de la rééducation dans l'UE.

Mais il y a aussi de la résistance. L'auteur britannique de best-sellers J.K. Rowling (créatrice de « Harry Potter ») n'accepte pas le culte de la transsexualité imposé par les autorités. Elle vient de déclarer que si le fait de s'adresser à des personnes trans en utilisant le « mauvais » pronom devenait une infraction pénale au Royaume-Uni, elle serait prête à accepter une peine de prison en cas de doute. Littéralement, elle a tweeté : « Je suis prête à accepter deux ans de prison si l'alternative est d'être forcée de nier la réalité du genre ».

L'auteure à succès, qui a déjà pris position contre l'idéologie du genre en pleine expansion, réagissait ainsi à un article du Mail on Sunday. Celui-ci fait état de projets du gouvernement travailliste britannique visant à faire des attaques contre l'identité sexuelle d'une personne un délit. L'utilisation d'un mauvais pronom d'une personne trans pourrait alors entraîner une peine de prison.

Rowling se considère comme « une partisane des droits des femmes et de l'importance du sexe biologique ». Sa fortune a été estimée à plus d'un milliard de dollars américains en 2004. Selon le magazine Forbes, elle est considérée comme l'écrivaine la mieux payée au monde.

 

Source : https://zuerst.de/2023/10/25/harry-potter-autorin-j-k-rowling-freiwillig-ins-gefaengnis-wenn-britische-trans-gesetzgebung-kommt/

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