Magie arthurienne
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- Catégorie : Mythologie Celte
Le monde arthurien est étroitement lié à la fantaisie et à la magie du Moyen Âge. Il suffit d'évoquer le nom d'Arthur et de ses célèbres chevaliers pour que surgissent immédiatement à l'esprit les figures mythiques du magicien Merlin, de la fée ou de la sorcière Morgane, ou des objets magiques - aux pouvoirs extraordinaires - comme le Graal, ou l'épée Excalibur, ou encore des lieux dotés d'un important halo mythique et magique, comme Camelot, Avalon, la Forêt Stérile, la Chapelle Dangereuse, etc.
Europe 1914 - 2024. Encore des somnambules ?
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- Catégorie : Décryptage
À la veille de la Première Guerre mondiale, le sentiment dominant en Europe, le « topos », était celui de l'improbabilité de la guerre. Un sentiment que les positions peu scrupuleuses de nombreux dirigeants européens tendent à raviver aujourd'hui.
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Ursula Gate : Omerta et révélations sur un énorme scandale à Bruxelles !
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- Catégorie : Démontage
Sur les leçons de l'école autrichienne d'économie Ludwig von Mises au-delà de la droite et de la gauche:
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- Catégorie : ECONOMIE
Dans mes textes et dans mon entretien avec Stefan Blankertz, je me suis beaucoup référé au texte de Douguine, « Libéralisme 2.0 », et j'ai poursuivi les idées qui y sont exposées. Il y a cependant un sujet que j'ai eu tendance à éluder jusqu'à présent. Douguine divisait le libéralisme en trois phases et disait que la première phase, qu'il associait à Hayek et à l'école autrichienne, était encore la plus supportable et un allié potentiel dans la lutte contre le libéralisme de gauche actuel, de type sorosien. Mais jusqu'à présent, j'ai plutôt abordé des auteurs centrés sur la société, comme Leo Strauss, et j'ai évité autant que possible l'économie. J'aimerais maintenant corriger cette omission et proposer une sorte de « Mises de droite » (ou plutôt « Au-delà de la droite et de la gauche »).
Julius Evola : « Ce qu’il faut favoriser, c’est plutôt une révolution silencieuse »
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- Catégorie : PHILOSOPHIE
Paru initialement en 1950, puis, avec quelques variantes, en 1971, Orientations contient en germe une grande partie de l’œuvre de Julius Evola postérieure à la Deuxième Guerre mondiale. Écrit dans un style très dépouillé, d’une concision qui va directement à l’essentiel, ce texte n’aborde pas seulement quelques-uns des thèmes chers à Evola, comme le refus de choisir entre l’Est et l’Ouest, la dénonciation de la «démonie» de l’économie, le rejet du bonapartisme et du nationalisme, etc., mais vise aussi à susciter la formation d’une véritable élite, qui devra affirmer l’Idée «traditionnelle» sous la forme d’un «homme nouveau», appelé a résister aux épreuves qu’entraîne la crise irréversible de la civilisation moderne.
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