Ostara, ou Alban Eilir, est une fête païenne du printemps qui se déroule vers le 21 mars au moment de l’équinoxe, où le jour et la nuit ont la même durée. La lumière l’emporte sur les ténèbres de l’hiver.
Lors de cette fête on célèbre le réveil de la nature, de la terre fertile, des fleurs qui surgissent des bourgeons, de la pluie et du vent qui vivifient le temps de l’éclosion. On y consacrait le culte d’Eostre et d’Ostara, dont la fête prit le nom de cette dernière. Toutes deux sont des déesses germaniques de la fertilité. Mais si Ostara était connue de la Lorraine à la Prusse et de la Norvège à la Suisse, Eostre quant à elle n’était connue que du peuple germanique Saxon, puis des Anglo-Saxons lors de la conquête de la Bretagne romaine.
Si dans les Eglises orientales on se salue en disant « Christ est ressuscité », alors qu'en Occident notre vœu « Joyeuses Pâques » n'est souvent qu'une référence au déjeuner pascal et à la énième beuverie, il est donc utile, comme toujours, de retrouver la signification ancienne des symboles et des mots liés à Pâques.
Lire la suite : Le symbolisme de Pâques... et les meilleurs vœux de la rédaction !
Etroitement associée au printemps qu'elle incarne par extension, Ostara est une déesse germanique personnifiant les principes de l’aube, de la renaissance, du renouveau et de la fertilité. C’est en raison de cette analogie que d’aucuns n’hésitent pas à identifier Ostara à cette autre déesse de la fertilité qu’est Frigg/Frigga ou Freyja, bien que cette assimilation, loin de faire l’unanimité, reste controversée.
Ce soir, le camarade Roberto est accompagné de deux militants : Damien et Thierry. La discussion porte sur la perte d’autonomie des travailleurs face au grand reset technologique qui s’annonce, avec comme conséquence probable les disparitions massives d’emplois. Est également évoquée la pesanteur d’un Etat confisquant de plus en plus les biens et les richesses. Bonne écoute!
Pour nous suivre ailleurs, sur Telegram https://t.me/echodescanuts
Pour écouter l'émission :
Nous connaissons tous « L’Art de la guerre » cet ouvrage enseigné dans les écoles militaires, rédigé il y a 25 siècles par le général Chinois Sun Tzu. L’Art de la guerre nous apprend que gagner ou perdre une guerre n’est pas le fruit du hasard ou de la volonté des Dieux, c’est juste une question de méthode et de « duperie », à savoir que la guerre totale par le mensonge peut faire mieux encore que les armes. Un ouvrage que notre foudre de guerre actuel, dont le nez s’allonge à chaque fois qu’il ouvre la bouche, doit avoir en permanence comme livre de chevet.
La guerre en Ukraine est en train de prendre un tournant : la constitution de bataillons, non plus néonazis, mais purement criminels. C’est le cas dans la ville de Kharkov, prise en otage par les condamnés de droit commun de Kiev – dans le sens littéral du terme. L’Occident a besoin d’une guerre sale.
Il est un fait établi que l'Espagne mauresque, al-Andalus, était une société esclavagiste. Son mode de production était, à bien des égards, proche de celui du « capitalisme », le capitalisme esclavagiste, qui était très développé par rapport aux structures agricoles rudimentaires des royaumes chrétiens.
Page 521 sur 818