A 14 ans sur les barricades de la Commune de Paris !
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- Catégorie : Ils marchent avec nous !
Un de nos camarades a réagi à nos différents messages sur la Commune de Paris :
"Mon grand-père à l'âge de 14 ans a été blessé par balle sur les barricades de la Commune de Paris, soigné cinq jours à l'hôpital Lariboisière à Paris, il s'appelait Louis Van den Houten."
L'homme de l'avenir est celui qui aura la mémoire la plus longue...
« Je me donne la mort afin de réveiller les consciences assoupies ». Le 16 avril 1935 naissait Dominique Venner
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Le 16 avril 1935 naissait Dominique Venner. Ecrivain et historien, il a publié une cinquantaine d’ouvrages et dirigé comme éditeur plusieurs collections historiques et littéraires. Il est le directeur de La Nouvelle Revue d’Histoire qu’il a fondée en 2002. Sa vie a orienté sa vocation.
Parmi tous les ouvrages de Dominique Venner, il en est trois qui constituent des jalons successifs permettant de comprendre son itinéraire, Le Cœur rebelle, le Dictionnaire amoureux de la Chasse et Le Siècle de 1914, auxquels il faut ajouter Histoire et tradition des Européens qui est à part.
Dominique Venner est né à Paris le 16 avril 1935 ; il a cinq enfants. Comme l’ont fait avant lui Jacques Bainville ou Benoist-Méchin, il est venu à l’étude de l’histoire par l’observation critique du présent. Après ses études secondaires et avant de s’intéresser à l’histoire de l’art et des armes, il s’est engagé dans l’armée le jour de ses dix-huit ans (école militaire de Rouffach). Volontaire ensuite pour l’Algérie, il participe jusqu’en octobre 1956, selon ses mots, à cette « petite guerre médiévale » qui compta beaucoup dans sa formation, l’entraînant pour une dizaine d’années dans des engagements politiques intenses et la création de la revue Europe Action. Evoquant cette période, il dira : « Sans le militantisme radical de ma jeunesse, sans les espérances, les déceptions, les complots ratés, la prison, les échecs, sans cette expérience excitante et cruelle, jamais je ne serais devenu l’historien méditatif que je suis. C’est l’immersion totale dans l’action, avec ses aspects les plus sordides et les plus nobles, qui m’a forgé et m’a fait comprendre et penser l’histoire de l’intérieur, à la façon d’un initié et non comme un érudit obsédé par les insignifiances ou comme un spectateur dupe des apparences. » Dominique Venner a évoqué ces années de formation dans Le Cœur rebelle (Belles Lettres, 1994), ouvrage de méditation sur ses engagements, et premier jalon dans son parcours.
Vers 1970, il a rompu définitivement avec les engagements politiques qui, dira-t-il, ne correspondaient pas à sa vocation. Il quitte même Paris afin de se ressourcer au plus près des forêts, vivant désormais de sa plume. Année après année, il publie un grand nombre de livres et collabore à la presse, étudiant durant cette première période l’histoire peu explorée des armes et de la chasse. Cette époque de son existence sera refermée un jour par le jalon du Dictionnaire amoureux de la Chasse, publié chez Plon en 2000, et salué notamment par Michel Déon (…)
Parallèlement à ses travaux sur l’histoire contemporaine, Dominique Venner publia en 2002 Histoire et tradition des Européens. 30 000 ans d’identité (Le Rocher, nouvelle édition 2004), ouvrage de fond qui interroge les sources et la destinée de la civilisation européenne en partant d’Homère.
Après avoir dirigé la revue Enquête sur l’histoire (1991-1999), il a fondé en 2002, avec le soutien de François-Georges Dreyfus, Bernard Lugan et d’autres historiens, La Nouvelle Revue d’Histoire (NRH) qui s’est révélée en effet novatrice sur le fond et la forme. « Nous voulions fonder une revue qui en finisse avec les interprétations partiales et partielles de l’histoire, qui dessine une autre vision du passé et de l’avenir, qui aspire à une renaissance européenne. Nous voulions que cette revue soit moderne et esthétique. Notre charte implicite incluait le respect de la diversité philosophique des collaborateurs, mais un même attachement à l’honnêteté historique sans préjugés, le souci enfin de nous exprimer de façon vivante, élégante et claire pour le plaisir de nos lecteurs. »
Répondant à la question d’un lecteur sur sa vision optimiste de l’avenir, Dominique Venner a offert cette réponse : « Mon “optimisme”, comme vous dites, n’est pas béat. Je n’appartiens pas à une paroisse où l’on croit que tout finit par s’arranger. Je vois parfaitement tout ce qui est noir dans notre époque. Je pressens, cependant, que les puissances qui pèsent négativement sur le sort des Européens seront sapées par les chocs historiques à venir. Pour parvenir à un authentique réveil, il faudra encore que les Européens puissent reconquérir leur conscience indigène et la longue mémoire dont ils ont été dépossédés. Les épreuves qui viennent nous y aideront en nous affranchissant de ce qui nous a pollué en profondeur. C’est la tâche téméraire à laquelle je me suis voué. Elle a peu de précédents et n’est en rien politique. Au-delà de ma personne mortelle, j’ai la certitude que les brandons allumés ne s’éteindront pas. Je m’en rapporte pour cela à nos poèmes fondateurs. Ils sont le dépôt de toutes nos valeurs. Mais ils constituent une pensée en partie perdue. Nous avons donc entrepris de la réinventer et de la projeter sur le futur comme un mythe créateur (2). »
Commentant son livre Le Choc de l’Histoire (Via Romana 2011), interprété comme une sorte de testament intellectuel et une synthèse de ses travaux (1), le magazine Le Spectacle du monde écrit : « Dominique Venner édifie patiemment, pierre par pierre, une œuvre des plus originales consacrée, pour une bonne part, au XXe siècle européen envisagé dans la longue durée, mis en rapport avec le plus lointain passé du Vieux Continent, sa plus longue mémoire, sa tradition profonde, dégageant au fil des titres une réflexion sur le destin de l’Europe et des Européens. »
Le 21 mai 2013, Dominique Venner se donnait la mort en la cathédrale Notre Dame de Paris «dans une intention de protestation et de fondation (…), afin de réveiller les consciences assoupies». Un mois plus tard, paraissait aux Editions Pierre-Guillaume de Roux son ouvrage posthume et testamentaire, Un Samouraï d’Occident.
En ce 16 avril, date de son anniversaire, nous vous proposons de redécouvrir sa dernière lettre, expliquant son geste :
Les raisons d’une mort volontaire :
« Je suis sain de corps et d’esprit, et suis comblé d’amour par ma femme et mes enfants. J’aime la vie et n’attend rien au-delà, sinon la perpétuation de ma race et de mon esprit. Pourtant, au soir de cette vie, devant des périls immenses pour ma patrie française et européenne, je me sens le devoir d’agir tant que j’en ai encore la force.
Je crois nécessaire de me sacrifier pour rompre la léthargie qui nous accable. J’offre ce qui me reste de vie dans une intention de protestation et de fondation. Je choisis un lieu hautement symbolique, la cathédrale Notre Dame de Paris que je respecte et admire, elle qui fut édifiée par le génie de mes aïeux sur des lieux de cultes plus anciens, rappelant nos origines immémoriales.
Alors que tant d’hommes se font les esclaves de leur vie, mon geste incarne une éthique de la volonté. Je me donne la mort afin de réveiller les consciences assoupies. Je m’insurge contre la fatalité.
Je m’insurge contre les poisons de l’âme et contre les désirs individuels envahissants qui détruisent nos ancrages identitaires et notamment la famille, socle intime de notre civilisation multimillénaire. Alors que je défends l’identité de tous les peuples chez eux, je m’insurge aussi contre le crime visant au remplacement de nos populations.
Le discours dominant ne pouvant sortir de ses ambiguïtés toxiques, il appartient aux Européens d’en tirer les conséquences. À défaut de posséder une religion identitaire à laquelle nous amarrer, nous avons en partage depuis Homère une mémoire propre, dépôt de toutes les valeurs sur lesquelles refonder notre future renaissance en rupture avec la métaphysique de l’illimité, source néfaste de toutes les dérives modernes.
Je demande pardon par avance à tous ceux que ma mort fera souffrir, et d’abord à ma femme, à mes enfants et petits-enfants, ainsi qu’à mes amis et fidèles. Mais, une fois estompé le choc de la douleur, je ne doute pas que les uns et les autres comprendront le sens de mon geste et transcenderont leur peine en fierté. Je souhaite que ceux-là se concertent pour durer. Ils trouveront dans mes écrits récents la préfiguration et l’explication de mon geste. »
Dominique Venner
Notes :
- Le Choc de l’Histoire a été réalisé sous la forme d’entretiens avec la journaliste Pauline Lecomte.
- La NRH n° 58, janvier 2012.
Sources : Breizh-info.com, 2021
Contre le féminisme et le virilisme, la Métaphysique des sexes (Julius Evola)
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- Catégorie : PHILOSOPHIE
Dans cette vidéo, nous nous pencherons sur la conception métaphysique des sexes dans la philosophie d'Evola. Face aux délires de certaines utopies égalitaires niant l'importance de la distinction sexuelle, Evola montre qu'il faut partir du haut, de ce que signifient d’un point de vue métaphysique et absolu les pôles masculins et féminins pour leur opposer une force contraire.
De la nature des Dieux
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- Catégorie : PAGANISME
Aujourd’hui, nous tenterons d’apporter une réponse à une question éternelle : quelle est la nature des dieux. Nous verrons cela à travers les différentes conception qui ont été celles d’auteurs antiques et modernes sur cette question, puis je vous livrerais mes propres convictions à ce propos.
Sources et liens :
- Dictionnaire de la mythologie grecque et romaine, Joel Scmidt, Larousse.
- Lucrèce « De la nature des choses »
- Julien « Contre les Galilléens »
- Marc Aurèle « Pensées pour moi-même »
- « La mythologie du monde Celte » Claude Serckx, poche marabout.
- Nietsche « L’Antéchrist »
- Tacite « Œuvres complètes »
- Snorri Sturlusson « L’Edda »
- Evhémère : https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89v...
Le Corporatisme de l'avenir
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- Catégorie : Economie organique
L'État contemporain qui est issu de la révolution industrielle, devint un état de classes. Les détenteurs du capital dominent la production et ont, grâce à cela, un monopole formel sur les bénéfices. De cette manière les salariés sont devenus les machines vivantes de l'entreprise. La suite en est une tension entre le travail et le capital, qui trouve son expression dans la lutte des classes.
Le droit à la propriété fut peu à peu morcelé par la collectivisation. Grâce à la société anonyme les propriétaires ont conservé un droit de participation dans l'entreprise, mais leurs droits sont exercés par la Direction. Le pouvoir est concentré sur cette dernière, qui agit au nom des propriétaires. Ainsi a été supprimé le lien psychologique entre le propriétaire et ce qu'il possédait, comme cela existait dans l'ancien Etat à structure paysanne, où le paysan possédait personnellement sa ferme et l'administrait lui-même.
Le droit à la propriété dans l'Etat capitaliste devient l'annonciateur du communisme où l'Etat administre le bien de chacun. L'esprit d'entreprise, d'initiative dépendent du capital dans l’Etat ploutocratique. Ce qui signifie que seuls auront une influence les rares personnes qui contrôlent les grandes concentrations de capital, tandis que dans le monde communiste celles-ci dépendent de l'Etat.
La transmission du pouvoir d'une minorité capitaliste dans les mains de l'Etat est facilitée par la lutte des classes, grâce à laquelle l'Etat peut faire jouer les différents partenaires les uns contre les autres en vue de gagner finalement la partie lui-même.
Le Corporatisme signifie une rupture brutale avec cette évolution. Il doit être réalisé en 3 étapes : la réforme de l'entreprise, la création des corporations et la mise en place d'un Etat corporatif populaire.
La réforme corporative de l'entreprise réside dans le fait que le droit de propriété est juridiquement confié au chef d'entreprise. Les actionnaires ou leurs semblables demeurent possesseurs du capital investi. Ils ont le droit de réclamer un intérêt normal pour leur argent, de même que les employés ont droit à un salaire défini par des conventions. Ils ont de plus le droit de réclamer la moitié des places dans la direction, l'autre moitié étant réservée aux employés. Il est naturel que le chef de l'entreprise soit le Président, car il est l'arbitre entre le Travail et le Capital.
Le capital devient un moyen et non plus une fin en soi pour l'entreprise. L'intérêt normal des actions est considéré comme une dépense nécessaire. Le gain qui reste lorsque les salaires du personnel et de la direction, ainsi que les intérêts sont déduits, !es achats de machines et de matières premières effectués et les paiements dus, réglés, doit être partagé de sorte que dans la mesure où monte la rémunération des possesseurs d'actions, le pourcentage de participation aux gains des ouvriers, employés et de la direction monte également. Le gain doit être partagé entre tous les facteurs de la production : capital, travail et initiative. Cette réforme corporative des entreprises est complétée par une réforme fiscale qui remplace les impôts directs par des impôts sur la production. Ceux-ci sont payables lorsque le produit quitte le fabricant et leur pourcentage de la valeur des marchandises serait à peu près équivalent aux impôts actuellement payés sur ces dernières. En conséquence, le financement par l'Etat des secteurs de distribution sociale et économique se trouve modifié et relève de la politique des salaires et des prix. Les impôts ne font de ce fait aucun obstacle pour le développement économique. Les investissements deviennent plus rentables. Les capacités de travail dépassant la moyenne ne sont pas imposées d'une manière spéciale. Une entreprise peut prévoir sans difficulté les taxes de production dans ses calculs. Le système rendu possible grâce au corporatisme et à ses méthodes nouvelles pour réaliser des buts sociaux, favorise ainsi aussi bien l'économie et le travail que l'initiative.
La seconde étape du corporatisme consiste dans la formation de corporations comprenant les entreprises des mêmes branches industrielles, dont les représentants et directeurs sont élus par les organisations des entrepreneurs, employés et ouvriers de la même branche. Ces groupements sont réunis en corporations principales communes avec une organisation identique. Le Gouvernement choisit des présidents impartiaux pour diriger les Corporations et les Corporations principales, ce qui a pour suite les tribunaux d'arbitrage, mais avec un champ d'action sensiblement plus étendu. Toutes les corporations principales : agriculture, industrie, commerce, banque et assurances, professions libérales et familiales, doivent être représentées dans un Conseil Economique commun, qui se trouve placé sous la présidence d'un représentant du gouvernement. Ce Conseil servirait à élaborer des points de vue communs entre les corporations.
Les corporations deviennent des organes officiels, c'est-à-dire que l'adhésion en devient obligatoire. Chaque citoyen devient de cette façon membre d'une corporation comme il est membre d'une commune. Une partie des tâches qui sont du ressort de l'Etat peuvent être données aux corporations. Peut-être pourrait-on dire que ces dernières et les Corporations principales mènent une action parallèle à celle des communes et des provinces.
Il est évident que toutes les organisations ne peuvent être organisées d'après un seul schéma. L'agriculture et l'industrie ont des structures différentes auxquelles doivent correspondre leurs organisations.
Le corporatisme a également la possibilité de créer des organisations particulières au-delà des limites corporatives : les organes pour ainsi dire inter corporatifs. Un exemple frappant est la fédération d'une branche artisanale, qui a le devoir de sauvegarder ses intérêts et problèmes particuliers, sans tenir compte des questions financières. Dans une telle fédération, on devrait non seulement grouper officiellement les anciennes branches classiques, mais aussi les métiers modernes comme 'les réparateurs, installateurs et personnel d'entretien. Parmi les organes inter corporatifs on pourrait également compter les organisations principales actuelles : fédération des employeurs, fédération des fonctionnaires ainsi que les syndicats. Toutefois il est à noter que les organes inter corporatifs, ne peuvent être créés par voie légale et conservent par conséquent, leur caractère privé comme jusqu'à présent. Ceci n'empêche évidemment pas les représentants des corporations de leur accorder des moyens pour leurs travaux ou de collaborer avec eux, s'ils le jugent nécessaire. Le système d'organisation actuelle est conçu pour sauvegarder les intérêts des divers groupes dans la lutte des classes. Le corporatisme doit coordonner les intérêts des différents groupes sur la base de l'égalité sociale.
Sources : Défense de l’occident – avril mai 1978 – N° 157
Ne nous laissons pas voler les élections régionales et départementales !
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- Catégorie : Régions d'Europe
Communiqué du Mouvement Normand - n°280 - 7 Mars 2021
Le report des élections régionales et départementales en juin 2021, des élections a été tranchée, mais l’incertitude plane encore et toujours sur leurs tenues à cette date.
L’argument de l’état d’urgence sanitaire est certes compréhensible pour certaines décisions mais de là à priver les citoyens des élections les plus locales particulièrement après la pantalonnade des municipales tout de même pleines de confusion, il n’y a un pas que le gouvernement semble vouloir faire.
Evidemment, dans le climat d’anxiété dans lequel est maintenu le pays, il y a fort à parier que le taux d’abstention sera remarquablement élevé, cela nous rappellera les municipales déjà citées. Tout cela est préjudiciable à notre système électoral et au contrôle normal et sain par les citoyens des élus et de leurs bilans.
De plus, la juxtaposition des deux élections sera une source de confusion regrettable. En effet, comment concevoir deux campagnes en simultané ? Comment les électeurs vont-ils pouvoir d’abord s’y retrouver, ensuite nourrir un intérêt quelconque pour chacune de ces élections pourtant fondamentales pour l’avenir de la Normandie ?
Sans compter que comme le rappelle si bien le Cercle Normand de l’Opinion :
« Vont s’opposer deux logiques de systèmes électoraux : le scrutin régional de listes départementales à la proportionnelle (corrigée par la prime majoritaire au second tour) et le scrutin uninominal en binôme dans les cantons pour les élections départementales. On laisse imaginer le confusionnisme au sein des formations politiques qui, d’un côté, doivent individualiser les candidatures, de l’autre, promouvoir par avance les alliances au sein des listes. Et puis se pose aussi le fait que, par les lois de décentralisation (de Defferre à la Loi NOTRe), règne une confusion des compétences entre la Région, le département et, même maintenant celles des métropoles et des pôles métropolitains… Tout cela embrouille la perception des citoyens. »
Ce qui est plus inquiétant encore c’est le rapprochement de dates avec l’élection présidentielle. Car ces élections locales et régionales n’ont rien à voir avec l’élection présidentielle. Une telle confusion, et n’hésitons pas à l’écrire, une telle perturbation de ces élections se fera au profit des présidentielles et du rouleau compresseur parisien. Et le risque est bien là : celui de la confiscation jacobine des élections départementales et régionales par une perspective nationale centrée autour des élites centrées sur elles-mêmes et sur leurs propres débats, le tout à Paris.
Surtout qu’à l’élection présidentielle de début 2022 suivront les élections législatives pour nos députés. Alors en quelques mois, nous serons obligés d’élire conseillers départementaux, régionaux, président de la République et députés, cela fait beaucoup d’un coup
La commission exécutive du Mouvement Normand
Mouvement normand
BP06 – 27290 Pont-Authou
www.mouvement-normand.fr
L'esclavage des blancs: L'histoire tabou et oubliée enfin révélée
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- Catégorie : Racisme anti-blanc
On l'ignore totalement : au XVIe siècle, les esclaves blancs razziés par les musulmans furent plus nombreux que les Africains déportés aux Amériques.
On a pris aujourd'hui la mesure de la traite des esclaves noirs organisée par les négriers musulmans à travers le Sahara, ainsi qu'en direction du Moyen-Orient et des régions de l'océan Indien. On sait aussi que l'affrontement entre l'islam et la chrétienté a alimenté en maures et en chrétiens les marchés d'esclaves des deux côtés de la Méditerranée médiévale.
On évoque entre 1,3 millions et 2,5 millions de personnes déportées dont une partie du Sud de la France, l’actuelle Provence et le Languedoc. Il est très intéressant de se replonger dans l'histoire et il est bon de rappeler quelques "souvenirs oubliés", juste une mémorisation des faits retranscrits par nos historiens.
Le n°69 de Réfléchir & Agir vient de paraître !
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Parution du Cahier d'Histoire du nationalisme n°21 intitulé : LES PERON, L'ARGENTINE, LE JUSTICIALISME
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- Catégorie : HISTOIRE
Cette 21e édition des Cahiers d’histoire du nationalisme nous emmène dans les années d’après-guerre en Amérique latine, plus précisément en Argentine, pays qui fut le théâtre d’une expérience politique originale : le Justicialisme. Surtout, le pays des gauchos et de la pampa fut le décor exotique d’une saga qui n’en finit pas de faire parler d’elle, celle des Perón.
Dans cette nouvelle édition revue et augmentée, qui reprend une partie des deux ouvrages publiés précédemment, Perón, dans la collection « Qui suis-je ? » aux éditions Pardès, et Evita, la reine sans couronne des descamisados aux éditions Dualpha, nous revisitons l’extraordinaire ascension d’une petite « Cosette de la pampa », qui s’est hissée au rang des plus grandes stars mondiales. En sa compagnie, nous assistons à l’émergence d’une doctrine politique originale, tentant de concilier le « national » et le « social », le justicialisme, incarné par son mari le général-président Perón.
Dans ce Cahier, l’auteur, Jean-Claude Rolinat, nous montre comment dans sa conquête des cœurs des « sans chemises » et dans la mise en œuvre de cette politique, l’inoubliable Eva Duarte illumina d’une lueur fulgurante les huit années passées aux côtés de son président de mari, avant qu’une cruelle maladie ne l’arrache à l’affection de ses millions d’afficionados, tragique événement qui allait plonger l’Argentine dans le malheur pour plusieurs années.
Idole des descamisados, ce couple mythique a traversé l’histoire et, un peu comme le Gaullisme en France, reste une sorte de référence à ses lointains héritiers, lesquels, libéraux ou démocrates-socialistes, n’en finissent pas de trahir l’esprit d’origine du justicialisme. Affublé du qualificatif de « fasciste » par ses adversaires, cette doctrine politique s’en écartait par le côté plutôt débonnaire de son inspirateur, même si les grandes messes populaires convoquées devant la Casa rosada, pouvaient ressembler à celles du Duce place de Venise…
Toujours imité, rarement égalé, le Péronisme inspira d’autres caudillos. Getulio Vargas au Brésil, comme Hugo Chavez au Venezuela dont parle également cet ouvrage, incarnèrent à leur manière une sorte de « péronisme de gauche », avec les échecs qu’on leur connait.
Les Perón, l'Argentine, le Justicialisme, Cahier d'Histoire du nationalisme n°21, Synthèse nationale, Jean-Claude Rolinat, 200 pages, 24 € (+ 5 € de port).
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Le mystère des runes - 1.
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- Catégorie : Traditions
Comprendre les runes commence par connaître leur histoire, leur environnement et leur contexte. Mais avant ça, il faut définir le sujet : que sont les runes ? Que ne sont-elles pas ?
par Halfdan Rekkirsson
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