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L’agonie du vieux sud par Dominique Venner
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Dans un de ses romans, William Faulkner dit de son héroïne qu'elle faisait partie de ces femmes du Sud qui, lorsqu'elles virent le général Sherman apparaître à l'écran dans le film Autant en emporte le vent, se levèrent et, soixante-quinze ans après la fin de la guerre de Sécession, quittèrent la salle... Cette attitude en révèle plus que bien des discours sur ce que fut, dans la mémoire du Sud, la marche de Sherman à travers la Géorgie. Dominique Venner, auteur d'un excellent ouvrage sur cette question, Le Blanc Soleil des vaincus (éditions de la Table ronde), nous explique que le général n'hésita jamais devant la « guerre totale », détruisant les habitations, brûlant les récoltes et massacrant le bétail.
Sherman s'est avancé vers Atlanta avec 100 000 hommes et 254 canons. En face, le général Joseph Johnston, Old Joe, n'en dispose que de 61 000, loqueteux et affamés.
Johnston se battra comme un lion rusé, le dos à la ligne de chemin de fer qui mène à Atlanta. Son infériorité ne lui permet pas d'attaquer, mais, dans la défensive, il est redoutable. Sherman le constate à ses dépens. Aussi le nordiste déborde-t-il constamment les positions sudistes, tandis que Johnston se reforme aussitôt afin d'occuper une nouvelle position avant l'arrivée de son adversaire. Ces combats ressemblent étrangement à ceux qui ont opposé Lee et Grant du Wildernen à Cold Harbour. Cette retraite pugnace est effectuée de main de maître, avec des hommes harassés qui marchent et se battent le ventre creux. En cinq batailles, Johnston a infligé à son adversaire des pertes cinq fois supérieures aux siennes : 45 000 contre 10 000. A ce rythme, il pourra bientôt livrer bataille avec des chances de vaincre.
Atlanta va payer
C'est à ce moment qu'il est destitué. Jefferson Davis est affolé par cette retraite constante dont il ne comprend ni le sens ni la portée. Mais l'inimitié des deux hommes n'est pas étrangère à cette décision catastrophique. En remplacement de Johnston, le président désigne le général Hood, le plus jeune des commandants d'armée, qui s'est fait une réputation de grande combativité. Malheureusement, il est moins avisé que brave.
Mal accueilli par une armée fidèle à son ancien chef, Hood commet immédiatement la faute que Johnston a évitée. Le 29 août 1864, il attaque en situation d'infériorité et se fait battre. La bataille dure deux jours. Le 1er septembre, Hood est contraint d'abandonner Atlanta en brûlant ses dépôts.
Sherman a gagné. Atlanta va payer. Il donne l'ordre à la population d'évacuer la ville. Toute la population sans exception. Les vieux, les malades, les blessés, comme les enfants et les femmes. Beaucoup mourront.
Le 3 septembre, Sherman a télégraphié à Washington : « Atlanta est à nous. »
Cette nouvelle est saluée dans le Nord par une explosion de joie populaire. Lincoln ordonne des prières d'action de grâce. Grant, lui-même, profite de la victoire de son second. Le 9 septembre, il rend publique une lettre qui justifie sa tactique : « Les rebelles ont maintenant leur dernier homme sous les armes. Un homme perdu par eux ne peut être remplacé. Ils ont également dépouillé le berceau et la tombe pour rassembler leur armée actuelle. Outre ce qu'ils perdent dans les escarmouches et les batailles, ils perdent, par suite de la désertion ou d'autres causes, au moins un régiment par jour. Avec cette saignée, la fin n'est pas loin, si seulement nous voulons rester fidèles à nous-mêmes. » Pendant que Lincoln exploite à son profit le retournement de l'opinion, Sherman prépare son nouveau bond en avant. Son objectif est de marcher vers l'est jusqu'à la mer, d'atteindre Savannah, puis de remonter vers le nord pour prendre Richmond à revers. Le plan de destruction du Sud conçu en 1861 se réalise point par point.
Géorgie, terre brûlée
Cette marche à la mer, marche de terreur et de destruction à travers la Géorgie, ne se heurtera à aucun obstacle. Sur l'ordre de Jefferson Davis, le général Hood abandonne Sherman à lui-même, car on ne peut imaginer l'opération audacieuse que ce dernier prépare. Hood poussera donc vers le Tennessee afin de menacer d'invasion les États du Nord-Ouest. Ce plan n'est pas dépourvu d'habileté et il jettera une grande alarme à Washington. Mais l'armée de Hood est faible, épuisée et démoralisée. Le 15 septembre, elle sera défaite près de Nashville dans le Tennessee.
Sherman est libre de ses mouvements. Le seul homme qu'il puisse craindre, Forrest, est engagé dans le Mississippi. Cette marche à la mer, dont l'intérêt proprement militaire est faible, aura des conséquences politiques capitales. Les ravages effroyables que les colonnes nordistes accumuleront systématiquement, frapperont de terreur la population du Sud.
Le 16 novembre 1864, Sherman brûle Atlanta. La marche de 300 miles commence sous de bons auspices. L'armée avance comme un gigantesque râteau de 60 miles de large. Les troupes marchent de 7 heures à midi, puis elles s'installent, c'est-à-dire qu'elles pillent. L'ordre spécial de marche a prévu : « L'armée s'approvisionnera sur le pays ». Par prudence, Sherman se fait suivre d'un convoi de ravitaillement de 2500 chariots. Mais les vivres qu'ils transportent ne seront pas utilisés. La riche Géorgie y pourvoit.
Les récits des habitants se ressembleront tous dans leur horreur. Toutes les armées qui pillent perdent leur discipline. C'est une loi inévitable. L'armée de Sherman y échappe d'autant moins que les « remplaçants » qui la composent comptent nombre de droits communs, sans parler des contingents noirs, avides d'humilier leurs anciens maîtres.
Les femmes de la Géorgie affrontent cette épreuve avec un courage et une dignité qui en imposent aux pillards eux-mêmes. Si l'on détruit pour le plaisir, et ce plaisir est toujours grand, si l'on vole l'argenterie, les bijoux, les tableaux, les bibelots, si l'on met le feu à ce que l'on ne peut emporter, les cas de viols et de meurtres sont rares.
Un rebelle n'a aucun droit, pas même de vivre
Après le passage de cette force de destruction, il ne subsiste qu'un désert. Les habitants ont perdu tous leurs moyens d'existence. Les champs sont dévastés, les arbres abattus, le bétail emmené ou tué. Souvent les plantations et les fermes sont incendiées. Il ne subsiste que des cheminées noircies brandies contre le ciel. Les voies ferrées sont démantelées et les rails tordus au feu.
Le 24 décembre 1864, Sherman entre dans Savannah, qui est pillé. Il repartira le 1er février avec 60 000 hommes, avec l'intention de rejoindre Grant devant Richmond. Son itinéraire passera par la Caroline du Sud, berceau de la sécession.
Alors la haine et la vengeance ne connaissent plus de limites. Sherman a proclamé qu'« un rebelle n'a aucun droit, pas même de vivre, sinon avec notre permission ». Avant d'entrer dans Columbia, la capitale de l'État, il écrit : « L'armée tout entière brûle d'un insatiable désir de tirer vengeance de la Caroline du Sud et je tremble presque en pensant au sort qui l'attend, mais je crois qu'elle mérite tout ce qui lui est réservé. »
Ce qui s'est passé en Géorgie n'est rien en comparaison de ce que va souffrir la Caroline du Sud.
Une immense fumée et la lueur rouge de l'incendie annoncent l'arrivée des Yankees. Le 17 février, Sherman entre à Columbia. Le soir même la ville est en flammes. Les soldats ivres pillent les maisons et molestent les habitants avant de fuir. Les plus bas instincts, encouragés par l'impunité, l'envie et la vengeance, se déchaînent.
Le lendemain, Sherman fait détruire tous les bâtiments publics qui ont résisté à l'incendie.
Le port de Charleston, que les nordistes n'avaient jamais pu prendre, Charleston où fut tiré le premier coup de canon de la guerre, est mis à sac. Les destructions dans cette ville de très vieille culture seront irréparables.
En Caroline du Nord, une armée improvisée se forme sous le commandement de Joseph Johnston, pour tenter de barrer la route à ces furieux.
Lee's Misérables
Depuis la réélection de Lincoln, le général Lee ne nourrit plus d'illusion sur le sort du combat. Il sait que la partie est perdue. Il fait part de cette conviction au président Davis, parce que tel est son devoir. Pour ses hommes et ses subordonnés, il reste le symbole de l'espérance. Son devoir de soldat est de combattre jusqu'à l'épuisement complet de ses forces. Il n'est pas dans sa nature de s'y soustraire. Pourtant, cet épuisement définitif est proche. L'hiver devant Richmond est une torture atroce. Depuis la dévastation de la vallée de la Shenandoah par Sheridan, les dernières sources de ravitaillement sont taries. La famine, la vraie famine, celle dont on meurt, frappe la capitale et ses défenseurs. Le général Lee n'accepte pas d'autre régime que celui de ses hommes. Il reçoit un jour un invité à sa table. L'unique morceau de viande est si petit que personne n'ose se servir. Il distribue autour de lui les vêtements chauds que lui font parvenir les habitants.
Les soldats qui ont lu le roman de Victor Hugo, Les Misérables, en font un jeu de mots et se baptisent eux-mêmes les Lee's Misérables, les misérables de Lee. Ils s'efforcent de rire de leur détresse. « Dans cette armée, disent-ils, un trou dans la culotte indique un capitaine. Deux trous un lieutenant et quand tout le fond est parti c'est que le propriétaire du pantalon est un soldat. »
Les nordistes accuseront plus tard le Sud d'avoir martyrisé leurs prisonniers, notamment au camp d'Andersonville, en les faisant lentement mourir de faim. De fait, ces prisonniers meurent lentement de faim. Comme les soldats de Lee. Ils reçoivent la même ration !
Une seule condition
Le 6 février 1865, le Congrès confédéré décide de nommer le général Lee au commandement en chef des armées du Sud.
Cette mesure tardive ne peut avoir aucune portée pratique, les armées n'existant plus.
A l'aube du 25 mars 1865, les sudistes tentent de faire une percée dans les lignes nordistes, en avant de Richmond. La première partie de l'opération réussit, mais les hommes sont si affaiblis qu'ils s'effondrent sur le sol et ne peuvent poursuivre l'assaut
Lincoln et Grant veulent en finir. Le samedi 1er avril, les nordistes lancent une attaque générale. En face, il n'y a plus que des fantômes. La première ligne est enfoncée. Le lendemain, Lee reconstitue ses défenses, mais leur rupture est une question d'heures. Il télégraphie à Richmond pour que le gouvernement se prépare à évacuer la capitale.
Le président Davis assiste au service religieux de l'église Saint-Paul lorsque le message de Lee lui est remis. Il quitte aussitôt son banc et sort avec dignité, sans trahir son émotion. A 23 heures, un train spécial emporte les membres du gouvernement vers Danville.
Dans la nuit, le général Ewell, qui protège encore la ville, reçoit l'ordre de se retirer. Richmond brûle. Les premiers nordistes entrent à l'aube dans la capitale jusqu'alors inviolée.
Au même moment, Lee abandonne Petersburg, après avoir détruit ses dépôts de munitions. Les quelques troupes qui lui restent n'ont pas mangé depuis trente-six heures. En haillons, avec, de-ci de-là, sur un membre, un linge ensanglanté, les soldats avancent encore. Le général veut rejoindre les montagnes à l'ouest de Lynchburg.
Le 7 avril 1865, Grant lui fait parvenir une note lui demandant d'effectuer sa reddition pour éviter des combats désormais inutiles.
Lee fait demander à l'adversaire ses conditions. Le lendemain, Grant répond : « La paix étant le premier de mes désirs, je n'insiste que sur une seule condition. Que les hommes qui auront capitulé ne pourront plus porter à nouveau les armes contre l'Union jusqu'à ce qu'ils aient été régulièrement échangés. »
Pour obtenir les conditions les plus favorables, Lee simule l'intention de poursuivre le combat, mais il accepte de rencontrer Grant.
Le 9 avril, ayant revêtu un uniforme neuf, ceint le sabre offert par la ville de Richmond, monté sur Traveler et suivi de son état-major, Lee se dirige vers les lignes fédérales. Il assumera lui-même l'épreuve de la reddition, bien qu'il eût « préféré mille morts ».
L'entrevue a lieu au hameau d'Appomattox Court House, dans la maison du major Mac Lean, où Grant attend son adversaire.
Le contraste est frappant entre les deux hommes. Face au général Lee, impeccablement sanglé dans son uniforme gris, Grant fait piètre figure dans sa tenue de troupe.
« Général, nous sommes-nous rendus ? »
L'accueil de Grant est déférent. Il s'efforce de rendre l'instant moins pénible. Il évoque des souvenirs communs de la guerre du Mexique. Après quelques instants, Lee doit lui rappeler la raison de leur rencontre. Il demande que ses hommes puissent emmener les mules et les chevaux pour reprendre les travaux des champs. Grant acquiesce. L'acte de reddition est rédigé et signé.
Au moment de remonter sur Traveler, le général Lee pose la tête sur l'encolure de son vieux compagnon. Il reste ainsi plusieurs secondes, prostré. D'un violent effort, il se reprend. Une fois en selle, il salue Grant, qui s'incline.
Lee s'éloigne vers ses lignes.
En le voyant, ses hommes l'acclament comme ils le font quand il passe dans leurs rangs, mais à voir ses traits bouleversés leurs cris s'étranglent. Ils hésitent pendant qu'il continue sa route. Puis, d'un mouvement spontané, ils s'élancent vers lui.
— Général, nous sommes-nous rendus ?
La question le gifle en pleine face. Il essaie d'avancer mais ils l'entourent, leurs visages faméliques et leurs regards en délire tendus vers lui. Il doit s'arrêter. Les mots lui sont une torture :
— Soldats, nous avons combattu ensemble et j'ai fait ce que j'ai pu pour vous. Vous serez tous relâchés sur parole et vous pourrez rentrer chez vous.
Il veut encore parler, mais il ne peut articuler qu'un difficile : « Au revoir, au revoir... »
Des larmes coulent sur ses joues hâlées, tandis qu'il s'éloigne sans voir où mènent les pas de son cheval.
D. Venner
Sources : Histoire Magazine – N°22 1981.
Le meurtre de Cannon Hinnant secoue l'Amérique (vidéo)
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I-Média n°306 – Français tués : le silence des médias
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Si l'humanité veut son progrès génétique, elle doit recourir à une implacable sélection positive.
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- Catégorie : GENETIQUE
Les adjonctions successives qui constituent le progrès de la civilisation, aussi bien dans l’ordre technique que dans l’ordre spirituel, n'agissent-elles pas, à la longue, sur la substance même de l’homme? Quelque chose de l’acquis ne devient-il pas inné? L'hérédité sociale ne se transforme-t-elle pas en hérédité organique? Certes, nul n'a jamais pensé que ce genre de transmission s'accomplît selon des modes bien précis, et que. même après des millénaires de civilisation, les « petits d'homme » dussent venir au monde avec une science et une morale infuses ; mais on a pu présumer que les humains, à force d'avoir appris et compris, devenaient plus aptes à apprendre et à comprendre, qu'à force d'avoir redouté et respecté les règles sociales ils devenaient plus susceptibles de leur obéir. Ainsi, sans que le contenu de la civilisation s'inscrivît dans le patrimoine de l'espèce, elle s'y inscrirait par une modification des habitudes et des instincts qui rendrait la matière humaine en quelque sorte plus éducable, plus ductile, plus civilisable.
S'il y a du vrai en cela, s'il est réel que le milieu social créé par l’homme retentisse sur l'animal humain, le prépare dans l'intimité de sa substance, si la coutume, pour peu que ce soit, devient nature, alors tous les espoirs sont permis quant à l'évolution spirituelle de notre espèce. De siècle en siècle, l’homme naîtra mieux adapté à la société, et, ses qualités natives se haussant de génération en génération, il progressera indéfiniment dans le sens même que réclament les nécessités collectives. Mais la science nous enlève, là-dessus, tout espoir. Le biologique ignore le culturel. De tout ce que l’homme a appris, éprouvé, ressenti au long des siècles, rien ne s'est déposé dans son organisme, rien n'a passé dans sa bête. Rien du passé humain n'a imprégné ses moelles. Tout ce qu'il s'est ajouté lui est resté externe et superficiel. Il ne s'est pas, d'âge en âge, organiquement spiritualisé. L'humanité, éternelle novice, ne mûrit pas dans sa chair. Chaque génération doit refaire tout l'apprentissage. Et si, demain, la civilisation entière était détruite, l'homme aurait tout à recommencer, il repartirait du même point d'où il est parti voilà quelque cent ou deux cent mille ans. Toute son œuvre, tout son labeur, toute sa souffrance passée lui compteraient de rien, ils ne lui conféreraient aucune avance.
Là gît la grande différence des civilisations humaines avec les civilisations animales. De jeunes fourmis isolées de la fourmilière refont d'emblée une fourmilière parfaite. Mais de jeunes humains séparés de l'humanité ne pourraient reprendre qu'à sa base l'édification de la cité humaine. (…)
(…) Il tient à l'essence même de la civilisation humaine de contrarier toujours davantage, tant par les pouvoirs de la science que par l'esprit de fraternité, le jeu sans merci de la sélection naturelle. Toujours la médecine préservera plus d'existences chancelantes ; toujours la vie humaine, et de qualité si médiocre qu'elle soit, sera plus estimée, plus défendue, plus garantie. Il y a là un fait humain, et non moins naturel que celui de la sélection. Mais précisément parce que l'homme ne peut pas, parce que l'homme ne veut pas s'écarter de la voie qu'il s'est choisie, ne doit-il pas prendre conscience du péril où l'expose son attitude singulière, afin de prévenir, avec l'aide de sa raison, les revanches de l'inhumaine nature? C'est ce que pensent les eugénistes, qui rêvent de substituer à la rude sélection automatique d'autrefois une sélection artificielle, volontaire, qui, celle-là, porterait, non pas sur le corps, mais sur les germes. Les moins hardis de ces novateurs se contenteraient d'interdire la reproduction aux mal nés afin d'épargner à d'autres le mal naître ; mais certains vont jusqu'à souhaiter que le renouvellement de l'espèce soit confié aux individus exceptionnellement doués du point de vue physique ou moral. Au dire de ces enthousiastes, l'humanité s'élèverait ainsi en quelques siècles à un niveau tel que les derniers de ses représentants égaleraient les plus rares génies de notre époque. N'est-ce pas trahir nos descendants que de bouder à cette ascension génétique ? L'humanité a droit aux meilleurs gènes possibles. Les lui refuser, c'est s'opposer peut-être à la naissance de l'homme qui vaincra le cancer, qui libérera l'énergie intra-atomique, qui trouvera le secret d'une organisation sociale plus clémente. C'est prolonger à plaisir la souffrance et le désordre. Quoi ! cette nature humaine trop réfractaire, que ne peuvent changer ni la politique ni la morale, cette nature humaine dont les imperfections font obstacle à la réalisation de tout grand rêve généreux, cette nature humaine qu'on invoque, hélas ! à juste titre, chaque fois qu'on prétend décourager l'idéalisme, — la biologie nous donne les moyens de l'ennoblir à notre gré, et nous n'en userions pas !
Tous les biologistes, je pense, s'accorderont à admettre que, si l'humanité veut son progrès génétique, elle doit recourir à une implacable sélection positive. Mais, ce progrès, doit-elle le vouloir, quand il lui faut payer de ce prix? Consentira-elle jamais à utiliser comme étalons les plus précieux de ses représentants? Et l'espoir même d'enfanter une race de surhommes lui fera-t-il admettre d'en user avec soi comme elle en use avec son cheptel? (…)
(…) Ce sera la mission de l'humanité future que de trouver un compromis acceptable entre un « biologisme » trop brutal et une idéologie trop négligente des destinées de l'espèce.
Jean ROSTAND
Sources : Pensées d'un biologiste, (p. 30-34, 40-45, Editions STOCK).
Castaner : le nez dans le caca
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Christophe Castaner, ancien ministre de l’Intérieur choisi par Macron pour faire le sale boulot (casser par tous les moyens la juste révolte des Gilets Jaunes), a été maire de la ville de Forcalquier (Alpes-de-Haute-Provence) de 2001 à 2017. Il est épinglé, à ce titre, dans un rapport de 42 pages, par la Chambre régionales des comptes de Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui pointe des « irrégularités » dans la gestion des comptes publics de Forcalquier. Est mentionné, entre autres, le « report systématique de congés non pris et des heures supplémentaires non récupérées ni monétisées » par les agents municipaux de la ville, ceci s’étant fait « d’années concernées, sans limitation dans le temps ». Au total, à la fin de l’année 1217, la ville devait à ses 85 agents « l’équivalent de 175 000 euros en congés non pris et reportés, et 92 000 euros en heures supplémentaires non récupérées ».
La Chambre régionale des comptes a relevé une série « d’erreurs et d’incohérences » dans l’attribution et l’exécution de certains marchés publics, et dans les documents budgétaires, notamment lors de travaux de voierie effectués en 2014 pour 973.600 euros, alors que l’entreprise retenue avait présenté une offre à 219.800 euros, bien en-deça de la moyenne du marché, estimée à 300.00 euros.
Déjà très endettée, la ville a vu ses finances se détériorer en 2018. Avec 6,1 millions d’euros de dettes fin 2018 Forcalquier est au-dessus de la moyenne nationale d’endettement des communes de sa taille. Castaner va-t-il devoir rendre des comptes ? On prend les paris ?
Pierre VIAL
Trois Cafés Gourmands - À nos souvenirs
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Facebook et Instagram vont censurer les images du Père Fouettard, vieille tradition européenne accompagnant Saint Nicolas
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Les réseaux sociaux Facebook, Instagram et Twitter semblent se livrer à une course dans la surenchère de censure.
On ne compte plus les personnalités et mouvements du camp national et de la dissidence qui en sont les victimes.
Ces dernières semaines, on a vu ces réseaux sociaux s’instaurer en juges pour écarter en différents domaines toute information qui contredit la version du Nouvel Ordre Mondial. Même le président des Etats-Unis se voit désormais régulièrement censuré par ces réseaux sociaux lorsqu’il contredit l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), organisation onusienne dont le principal financement provient de la Fondation Bill & Melinda Gates ainsi que du lobby pharmaceutique !
Mais Facebook et Instagram ont maintenant décidé de s’en prendre aux traditions européennes.
Exemple très concret : les photos et vidéos du Père Fouettard – qui accompagne Saint Nicolas lors de sa tournée parmi les enfants au début du mois de décembre – sont désormais interdites sur Facebook et Instagram. La raison : des campagnes d’associations communautaristes noires pour prétendre que cette tradition serait raciste.
Le règlement intérieur des deux réseaux sociaux a été adapté en conséquence, a rapporté l’entreprise mardi lors d’une conférence de presse.
En Belgique et aux Pays-Bas, où la tradition du Père Fouettard (Zwarte Piet) est ancrée depuis longtemps parmi les fêtes familiales de fin d’année, la décision de Facebook suscite la colère. De nombreux internautes ont réagi en postant des photos de Père Fouettard pour faire part de leur mécontentement.
« Ce n’est pas à une entreprise américaine de décider ce qui est permis ou pas », commente Ignace Glorieux, professeur de sociologie à la VUB, dans le quotidien flamand Het Laatste Nieuws.
Et le professeur Glorieux de demander où placer la limite?
« Aujourd’hui, il s’agit du Père Fouettard et de caricatures juives, mais quid des musulmans, des caricatures de Mahomet? Tout le monde a ses sensibilités. Ce qui me frappe, c’est la vitesse à laquelle tout a changé. Il n’y a pas si longtemps, il y avait encore de grandes manifestations pour la liberté d’expression après l’attentat de Charlie Hebdo. Il y avait un large soutien dans l’opinion publique pour dire que ce caricaturiste danois avait le droit de se moquer du prophète. Aujourd’hui, il y a toute une série de choses qui ne sont plus tolérées. Pour être clair, je trouvais ces caricatures de très mauvais goût mais faut-il pour autant les interdire. Je ne crois pas », poursuit-il.
Le monde politique belge n’a pas non plus apprécié la nouvelle censure imposée par Zuckerberg. « On va le répéter une fois de plus: le Père Fouettard n’a rien à voir avec du racisme », a réagi Egbert Lachaert, président de l’Open VLD, parti libéral flamand.
« En cette période, Facebook considère le Père Fouettard comme une priorité. Comprendra qui pourra », a tweeté Assita Kanko, députée européenne N-VA.
Facebook a expliqué que sa censure fonctionnera selon une détection automatique par le biais d’algorithmes. Mais cela n’a pas encore été mis en place à ce jour. Alors, profitez-en tant que vous le pouvez encore !
- Au moment de l’affaire Dreyfus, on les retrouve dans les rangs de l’antisémitisme militant : Le socialisme national et l’antisémitisme des Communards sont bien attestés.
- Citation Alexandre Soljenitsyne
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