Rendez-vous nomade avec Slobodan Despot, libre penseur.
- Détails
- Catégorie : Littérature
D’origine serbo-croate, traducteur, directeur de collections puis directeur adjoint des éditions L’ Age d’Homme, Slobodan Despot est cofondateur en 2006 des éditions Xenia. Photographe, directeur de magazines, porte-parole de Franz Weber, conseiller en communication, parolier et surtout romancier (Le Miel et Le Rayon bleu) aux éditions Gallimard. On le retrouve aussi dans l’émission de Jonas Schneiter dans les Beaux Parleurs, tous les dimanches de 11 à midi sur La Première (Suisse).
Il est aussi le fondateur de L’ Antipresse, une lettre d’information qu'il a lancée le 6 décembre 2015 avec Jean-François Fournier. Depuis lors, elle paraît chaque dimanche matin. Depuis 2018, elle est également adressée à ses abonnés sous la forme d’un magazine PDF et doublée d’une version audio. Dans le cadre des Rendez-vous nomades de Joy for the Planet, la journaliste libre Isabelle A. Bourgeois l'a rencontré dans une belle cave vigneronne en Suisse.
Guillaume Faye et la vision de l'archéofuturisme (Seconde partie)
- Détails
- Catégorie : CULTURE ENRACINEE
« Dans le monde que je vois, tu traqueras l'élan dans les bois humides du canyon autour des ruines du Rockefeller Center. Tu porteras des vêtements en cuir qui dureront toute ta vie. Vous escaladerez les vignes de kudzu de l'épaisseur d'une poupée qui s'enroulent autour de la Sears Tower. Et quand vous regarderez en bas, vous verrez de minuscules silhouettes écrasant du maïs, des bandes de cerfs suspendues dans la voie vide d'une super-autoroute abandonnée ».
Ces lignes tirées du film Fight Club - adapté d'un roman de Chuck Palahniuk - expriment un Zeitgeist apocalyptique très actuel. Ils sont une image de l'année zéro, du big bang vers un monde nouveau. Le monde de l'archéofuturisme.
Lire la suite : Guillaume Faye et la vision de l'archéofuturisme (Seconde partie)
La MARIONNETTE MACRON au CRIF
- Détails
- Catégorie : POLITIQUE
Macron veut baisser le bras, mais il ne peut pas. Soumission totale. Ce qui est fou, c'est qu'il y a plusieurs phases dans cette poignée de main, la première, il pense que c'est amicale et protocolaire, alors il se laisse guider, puis il baisse le bras, et une résistance s'oppose...
Après quoi il réalise qu'il ne décide plus vraiment quand il pourra baisser le bras, puis il se laisse aller et se soumet, jusqu'au dernier petit mouvement toujours bras levé qui lui rappel qu'il n'est rien face à ceux qui sont devant lui...
C'est très fort comme image... Peut être de l'inquiétude dans ses yeux me direz-vous ??? Macron cache bien ses émotions mais là ça crève les yeux. Il a vendu son âme au diable.
Comment l'Amérique camoufle ses crimes de guerre
- Détails
- Catégorie : Démontage
Certains des plus dangereux criminels de guerre sont des Présidents et des chefs militaires américains. Pourquoi ne sont-ils jamais accusés en justice?
Cette semaine, Benjamin Tremblay plonge en profondeur afin d'exposer les crimes de guerre américains contre les populations civiles, les tactiques choquantes pour les camoufler ainsi que les lacunes flagrantes du système pénal international.
Entre George W. Bush, Barack Obama, Donald Trump et Joe Biden, y a-t-il vraiment une différence dans la manière de livrer la guerre? Des histoires que vous n'entendrez pas à la télévision.
De l’art d’abuser d’autrui ou de « baiser son prochain » avec Dany-Robert Dufour
- Détails
- Catégorie : Décryptage
Serions-nous dirigés par des «pervers» manipulateurs? Qui exerceraient leur domination par le biais de «psycho-pouvoirs» sur une armée de «névrosés»? C’est du moins le propos de Dany-Robert Dufour, invité de Sputnik donne la parole.
Dans son dernier ouvrage, Le Dr Mabuse et ses doubles (éd. Actes Sud), le philosophe veut mettre à jour cet art ancestral «d’abuser d’autrui». Un art porté selon lui à son paroxysme manipulatoire dans nos «sociétés néolibérales».
Le gouvernement des conseils par Georges FELTIN-TRACOL
- Détails
- Catégorie : POLITIQUE
La crise covidienne n’a fait qu’accélérer et qu’entériner la pratique très personnelle de gouverner d’Emmanuel Macron. Candidat en 2017 de la « disruption », cet anglicisme qui désigne à la fois le chamboule-tout, le dégagisme et une posture à contre-courant médiatiquement construite, l’actuel locataire de l’Élysée concentre la totalité des pouvoirs au point qu’à la différence d’Édouard Philippe, Jean Castex n’est que le deuxième de ses collaborateurs et le super-directeur de cabinet d’un gouvernement présidentiel. On se souviendra que c’était déjà le cas, mais d’une manière moins prononcée, entre 2005 et 2007 avec la présence à Matignon de Dominique Galouzeau de Villepin sous la présidence de Jacques Chirac.
Lire la suite : Le gouvernement des conseils par Georges FELTIN-TRACOL
Guillaume Faye et la vision de l'archéofuturisme (1ère partie)
- Détails
- Catégorie : CULTURE ENRACINEE
Des temps nouveaux, des temps sauvages.
L'avenir est un pays étrange : les choses s'y font différemment. Cette phrase - inspirée d'un célèbre roman - est plus vraie aujourd'hui que jamais [1].
Juin 1914
Juin 1914, le dernier été de la Belle Époque. Une ère de science et de progrès. À Aulnay-sous-Bois, charmant village des environs de Paris, un groupe de jeunes aristocrates et bourgeois désœuvrés - la « jeunesse dorée » de l'époque - s'adonne à un passe-temps à la mode : la consultation d'une voyante. Que sera ce lieu - ce café, cette petite place paisible - dans vingt-cinq, cinquante ou cent ans ?
La voyante, dont la réputation repose sur le fait de ne pas garder pour elle les choses désagréables, est à la hauteur de sa réputation. Dans trois ans, il ne restera qu'un squelette de l'une des personnes présentes, à cinq mètres sous terre dans la campagne de Verdun. Un début peu prometteur. Les visions se succèdent les unes après les autres. Dans quinze ans (1930), tout le monde semble heureux : il y a une danse sur la place et des modèles de voitures inconnus envahissent le terrain. Dix ans plus tard (1940), une grande colonne de réfugiés semble traverser l'endroit. En juin 1964 - cinquante ans après les retrouvailles insouciantes - les choses semblent avoir changé : les anciennes maisons ont été démolies et de gigantesques blocs de béton - des masses grises en forme de cube avec une multitude de trous - sont érigés à leur place.
A partir de là, les visions deviennent plus étranges. En juin 2014 - cent ans après la rencontre - une mosquée a été érigée sur le site du café. Les femmes portent un foulard ou se couvrent le visage d'un tissu noir, au milieu de nuées d'enfants à la peau sombre. À proximité se trouve un bâtiment ressemblant à un marché, dont les fenêtres sont brisées, comme s'il avait été pillé. Il y a des hululements, comme des sirènes d'alarme. ....
« Une mosquée, des femmes voilées, vous parlez de la France ou des colonies ? ». - s'exclame l'un des jeunes hommes présents. Définitivement, l'humeur du groupe semble être ruinée.
Juin 2114, deux cents ans plus tard. Le soleil brille au milieu du murmure des oiseaux. La végétation s'élève au-dessus de ce qui semble être d'immenses ruines. Sur ce qui devait être la petite place d'Aulnay-sous-Bois se dressent des habitations rudimentaires, une sorte de bicoque faite de bois et de tôle. Des groupes bruyants de personnes à la peau très foncée prennent racine parmi eux.
« Sont-ils... noirs ? » demande l'une des femmes présentes.
« Oui, Madame la Vicomtesse ; ils sont noirs ».
C'est le début du livre « Archéofuturisme 2.0 », de l'écrivain et théoricien français Guillaume Faye. Un damné parmi les damnés, dans une « famille » de pensée déjà damnée.
Lire la suite : Guillaume Faye et la vision de l'archéofuturisme (1ère partie)
In memoriam: Guy Sajer alias Dimitri (1927-2022)
- Détails
- Catégorie : Ils marchent avec nous !
Guy Sajer et non Guy Mouminoux, vrai patronyme de ce fils alsacien d'un Français et d'une Allemande, puisque c'est de ce nom de plume qu'il signa, en 1967, son récit autobiographique Le Soldat oublié qui le fit entrer dans la compagnie d'élite des grands témoignages sur la deuxième guerre mondiale, côté allemand : on sait qu'il y raconta avec réalisme et sensibilité, son recrutement puis son expérience au sein de la division Grossdeutschland, unité d'élite de la Wehrmacht. Bref à 16 ans il fut jeté dans l'enfer non métaphorique du Front de l'Est, participant notamment, à l'été 43, à la gigantesque bataille - de chars et d'hommes - de Koursk, tournant décisif - plus que Stalingrad - de la guerre sur le front russe.
Lire la suite : In memoriam: Guy Sajer alias Dimitri (1927-2022)
- Faits & Documents – n° 503 est paru !
- SPECIAL KAZAKHSTAN VS NOUVEL ORDRE MONDIAL
- Pierre Sidos, le père spirituel des nationalistes
- Sécession. Sortie du premier livre de Yann Vallerie, rédacteur en chef de Breizh-info.com
- Pass vaccinal _ « On va vers une société de flicage généralisé », selon l'avocat Pierre Gentillet
- Nouveau : le numéro 90 de Terre & Peuple Magazine est paru !
- PRÉSIDENCE FRANÇAISE DE L'UE : CE QUE MACRON NOUS CACHE
- COMMENT LE PASSE VACCINAL VA EMMERDER LES FRANÇAIS
- L’emmerdeur par Pierre Vial
- Evola, critique de la civilisation américaine
Page 463 sur 720