Le retour de Daniel Cologne par un détour au Pays Basque... par Georges Feltin-Tracol
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- Catégorie : LIGNES DE FRONT
Militant actif au mitan des années 1970 en Suisse au nom du Cercle Culture et Liberté, le Belge Daniel Cologne rédige diverses brochures remarquées. Outre Julius Evola, René Guénon et le christianisme (réédité en 2011 aux éditions Avatar), il rédige en 1977 avec Georges Gondinet un fascicule au titre provocateur : Pour en finir avec le fascisme. Essai de critique traditionaliste-révolutionnaire. Il collabore à la revue de Maurice Bardèche Défense de l’Occident et publie la même année Éléments pour un nouveau nationalisme, un appel concis et vibrant en faveur d’une Droite européenne intégrale.
Brève histoire électorale de l’Allier par Georges FELTIN-TRACOL
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- Catégorie : POLITIQUE
Situé au Nord-Ouest de la région Auvergne – Rhône-Alpes, le département de l’Allier est un bon indicateur du bouleversement politique survenu aux législatives des 12 et 19 juin derniers. Ce département d’environ 336 000 habitants correspond à peu près à la province d’Ancien Régime du Bourbonnais, avec quelques paroisses auvergnates et foréziennes en plus. Sur cette terre naquit la Maison capétienne de Bourbon qui régna sur la France, Naples – la Sicile, Parme et le Brésil et qui continue de régner en Espagne et au Luxembourg.
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LOLA : Georges Fenech "expert en sectes" parle de "rites sataniques" devant des millions de français
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- Catégorie : IMMIGRATION
Qu’est-ce que les enfants zouhris ?
On appelle enfants zouhris, au Maroc et en Algérie, des enfants présentant un morphotype et des caractéristiques bien particuliers. En effet, ce sont souvent des enfants roux aux yeux bleus ou blonds aux yeux clairs et ils doivent présenter une ligne continue qui traverse la paume de la main. Ces enfants zouhris sont dits « Chanceux » car ils permettraient d’accomplir des miracles et en particulier de découvrir des trésors enfouis.
Ces enfants zouhris sont systématiquement recherchés et kidnappés pour être ensuite revendus aux Fkihs pour une somme allant de 1000 dirhams à 450.000 dirhams. Ils seront ensuite sacrifiés aux djinns sur l’autel de Satan dans le cadre d’un rituel censé permettre la découverte de trésors enfouis sous terre depuis des siècles. Les enfants Zouhris sont enlevés et égorgés pour faire une offrande aux djinns qui sont les gardiens des trésors. Ces djinns exigeraient une certaine quantité du sang de ces enfants pour permettre aux chercheurs de déterrer des trésors.
Henri Béraud: « Ce que j'ai vu à Moscou » par Robert Spieler
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- Catégorie : HISTOIRE
Henri Béraud, né à Lyon le 21 septembre 1885 et mort à Saint-Clément-des-Baleines sur l'île de Ré le 24 octobre 1958, est un romancier , prix Goncourt 1922 pour Le Martyre de l'obèse est un journaliste, un des plus célèbres et lus de son temps. Il s'en prend, dans ses articles, au Parlement, à l'Académie française, au gouvernement, aux officiers antirépublicains et à l'Action Française, rejoignant Le Canard enchaîné en février 1917, recommandé par Paul Vaillant-Couturier, avec qui il se lie d'amitié, ainsi qu'avec Roland Dorgelès. Positionné très à gauche, il écrit Mon ami Robespierre et sympathise avec le communisme. En 1925, il visite l'URSS. Loin de la révolution romantique qu'il espérait, il découvre les réalités d'une dictature, vision qu'il présente dans son livre Ce que j'ai vu à Moscou (1925).
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Thucydide, Athènes et notre empire anglo-américain
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- Catégorie : GEOPOLITIQUE
Après beaucoup d’autres, la Turquie membre de l’OTAN et deuxième armée du vieux débris n’obéit plus à l’empire sémiotique et thalassocratique anglo-saxon, et elle se réunit au grand projet eurasien. Petit cap de l’Asie occupé depuis 1945, l’Europe libérale poursuivra peut-être sa voie dans l’anéantissement.
Mais voyons Thucydide.
Rien ne ressemble à nos Etats-Unis bien-aimés comme l’Athènes de Thucydide, si enjolivée par les historiens, et qui dévasta et terrorisa la Grèce pendant presque un siècle après les trop célébrées « guerres médiques » (cf. la victoire en solo contre l’Allemagne ou le « jour du débarquement »). Aucun tribut, aucune brutalité ne furent épargnés aux habitants de Mytilène, de Chio ou de Mélos, par nos démocrates devenus fous, et qui ne s’arrêtèrent pas en si bon chemin, même après la raclée de Syracuse.
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Art et métapolitique dans l'Espagne du 20ème siècle: le rapport Dali/Franco
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- Catégorie : CULTURE ENRACINEE
« La révolution russe est la révolution française arrivée en retard, à cause du froid ».
Salvador Dalí
« N'insistez pas pour être moderne. Malheureusement, quoi que vous fassiez, c'est la seule chose que vous ne pouvez pas vous empêcher d'être ».
Salvador Dalí
« Franco et Dalí, Dalí et Franco : non pas une sympathie extravagante pour cacher ou déformer, mais une relation complexe pleine de recoins fascinants et contenant peut-être plus d'une clé décisive pour notre propre avenir ».
Antonio Martínez, « El Manifiesto ».
Le monde de l'art a donné à l'Espagne deux figures exceptionnelles de renommée mondiale au milieu du 20e siècle : Antonio Gaudí et Salvador Dalí; le premier a excellé dans le monde de l'architecture, le second dans la peinture. Les œuvres que les deux artistes ont produites tout au long de leur vie étaient d'une grande richesse symbolique et beaucoup d'entre elles avaient une grande charge mythique, précisément dans un monde horriblement désacralisé, profane et matérialiste, ainsi qu'anti-mythique et anti-symbolique par définition; et tous deux ont suivi, chacun à sa manière, une « voie mystique » particulière. Cette dernière était plus évidente chez Gaudí, un fondamentaliste catholique dévot et pratiquant ; dans le cas de Dalí, son mysticisme sui generis présentait des caractéristiques plutôt problématiques... Ce qui chez l'un était une religiosité dévotionnelle (extérieurement, bien sûr...), une introspection, un abandon de la « voie mystique », l'abandon du « bruit du monde », l'austérité véritablement spartiate, le dédain du luxe, du faste et de l'apparat, le détachement, surtout dans la dernière phase de sa vie ; d'autre part, chez l'autre, chez Dali, malgré son catholicisme théorique - voire national - étroitement lié aux grands mythes légendaires et patriotiques (l'apôtre Santiago, Covadonga, Don Pelayo, la Reconquête, le Cid, la Découverte de l'Amérique, la Vierge du Pilar, Philippe II, etc. ), c'était tout le contraire : excentricité, exhibitionnisme, extravagance, goût du scandale, de la provocation et une apparente superficialité ; et nous disons apparente, car Salvador Dalí a été très clair à ce sujet dans des propos qu'il a tenus tout au long de sa vie, tels que : « Les sociétés démocratiques ne sont pas adaptées à la publication de révélations tonitruantes comme celles que j'ai l'habitude de faire ».
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