STOP AUX HÉROS-VICTIMES
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- Catégorie : Décryptage
Ceux qu’on qualifie de « héros », à savoir les hommes que notre société établit comme des figures de référence universelles ont considérablement changé de profil au fur et à mesure du temps.
Si ces individus sont supposés incarner des modèles quasi indépassables, alors on peut se demander légitimement si l’analyse de ceux-ci ne serait pas une grille de lecture pertinente de l’époque dans laquelle nous vivons. Et c’est ce à quoi j’aimerais vous faire réfléchir dans cette vidéo : Qu’est-ce que le choix de ces héros traduit de notre société et de ce qu’elle souhaite exalter.
Sources :
Bernard Lugan parle de Nelson Mandela : https://www.youtube.com/watch?v=stv9p...
Nelson Mandela chantant une chanson qui appelle au meurtre des blancs : https://www.youtube.com/watch?v=NKieP...
L’EFF aujourd’hui qui chante « kill the boers » : https://www.youtube.com/watch?v=dMuXc...
Les contes populaires, « Le Folk-Lore » : Interprétation par Halfdan Rekkirsson
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- Catégorie : Traditions
« Connaître la tradition Asatrù, c'est aussi connaître son héritage contenu dans le folk-lore. Une exploration vers une direction inattendue, qui même si elle s'éloigne des runes (encore que ...), doit être étudiée pour son étonnante richesse spirituelle. »
Sacré Ménard…
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- Catégorie : POLITIQUE

MÉNARD POURFENDEUR DE FRANCO : « Il y a 85 ans, un coup d’Etat fasciste plongeait nos amis espagnols dans la pire des guerres civiles. Pensées aux centaines de milliers de victimes de la répression franquiste et à ceux qui ont dû refaire leur vie en France, notamment à Béziers. »
Pas mal d’électeurs de Robert Ménard et de familiers de son excellent site Boulevard Voltaire ont dû se frotter les yeux en découvrant sur Facebook son message célébrant les rouges massacreurs de paysans et violeurs de religieuses, à l’heure où le gouvernement socialiste de Madrid s’apprête à expulser les restes des victimes du terrorisme rouge du Valle de Los Caídos – Présent d’hier.
Certes, l’ancien fondateur de Reporters sans frontières naquit à Oran (où s’étaient réfugiés de nombreux républicains espagnols) d’un père communiste et lui-même fut trotskiste, mais on pensait qu’il avait depuis longtemps viré sa cuti. Ce revenez-y exprime-t-il sa conviction profonde ou relève-t-il de l’électoralisme ?
Source : En bref, Camille Galic - Présent - Samedi 24 juillet
Mahieu, le mystérieux universitaire franco-argentin
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- Catégorie : ARCHEOLOGIE

Les Éditions PARDÈS poursuivent la publication de courtes (130 pages) biographies de personnalités, notamment littéraires. C’est parfois un travail ingrat, quand il s’agit d’évoquer des personnages dont les éléments biographiques traînent un peu partout. Nous sommes alors dans le domaine de la vulgarisation. Et il est surtout fait appel à l’esprit de synthèse.
Mais ce n’est pas le cas pour Jacques de Mahieu. Jusqu’à l’étude de Franck Buleux, il n’existait en effet aucune biographie de cet auteur, et son travail est donc forcément novateur, pour le coup. Mais Buleux reconnaît qu’il y a encore des lacunes dans la connaissance de cet universitaire, malgré ce « Qui suis-je ? ». L’essentiel des archives utiles se trouve peut-être encore en Argentine, où il a passé le plus gros de son existence ? De ce fait, cette biographie comporte encore des zones d’ombre, et son auteur est souvent contraint d’émettre des hypothèses, faute de certitudes. Voici quelques questions : pourquoi Mahieu prend-il ce nom (il s’appelait Jacques Girault) ? Pourquoi quitte-t-il la France ? Avait-il été membre de la Milice ou de la Waffen SS ? Pour partir en Argentine, a-t-il bénéficié de filières (Odessa, le Vatican, la CroixRouge ?). Comment est-il parvenu à s’imposer si vite en tant que spécialiste de géopolitique auprès des cadres de l’armée péroniste ? Et pourquoi, malgré sa disgrâce, à la suite de la destitution de Perón, le retrouve-t-on idéologue de ses successeurs ? Comment a-t-il réussi à accomplir sa prestigieuse carrière universitaire ? Quel était le poids réel des institutions qu’il présidait ou auxquelles il appartenait (Académie argentine de sociologie, université des sciences sociales, faculté des sciences politiques, Institut des sciences de l’homme) ? Certains de ses travaux universitaires appellent aussi des questions. Quelle crédibilité peut-on accorder à ses investigations archéologiques et anthropologiques, à ses études sur « les Indiens blancs », qui seraient les descendants des vrais découvreurs de l’Amérique, les Vikings, et sur l’origine scandinave supposée de la civilisation des Incas ? Ces hypothèses, ces travaux de recherche ont été l’objet de livres publiés sous le label du « réalisme fantastique » ou des « énigmes de l’univers ». On devine que son approche n’était pas vraiment universitaire. Son érudition était considérable, mais orientée vers une thèse unique, semble-t-il, celle qui voulait que Christophe Colomb n’ait été qu’un imposteur, et que l’Amérique ait été découverte et colonisée un demi-millénaire plus tôt. L’Argentine n’a pas de convention d’extradition Jacques Girault est issu d’une famille marseillaise, catholique et patriote.

Né en 1915, il s’engage très jeune à l’Action française, milite aux Camelots du roi. Il écrit dans le quotidien de l’AF, et à L’Etudiant français, mensuel des étudiants royalistes, dont il va devenir le gérant. L’arrestation, puis la condamnation de Charles Maurras, en1945, le traumatisent, et c’est ce qui va le pousser à changer d’identité et à s’expatrier, d’abord en Suisse, puis en Belgique et enfin en Argentine. L’Argentine n’a pas de convention d’extradition avec la France et c’est probablement ce qui l’aura déterminé à choisir de s’installer définitivement dans ce dernier pays. Pourquoi ce changement d’identité ? Pourquoi cette fuite ? Son appartenance à l’Action française, ses articles dans la presse royaliste ne justifiaient aucune sanction, au-delà d’éventuels interdits professionnels. Il est incontestable, nous dit Buleux, qu’il a choisi de soutenir Vichy et même sa politique de collaboration. La trace du passage des « dieux blancs » Mais rien ne permet de penser qu’il aurait par exemple intégré la Milice. Buleux se contente d’écrire : « il ne peut pas être exclu qu’il ait rejoint la Milice », et cela « n’aurait rien de surprenant ». Mais rien n’est moins sûr non plus. Quant à la Waffen SS, pour le coup Buleux en doute fortement, car les dates paraissent exclure un tel engagement. Alors pourquoi part-il ? Peut-être, comme Mohrt ou Déon à la même époque, par rejet du nouvel ordre qui s’installe ? Il y a aussi des considérations plus personnelles, familiales. Son graal, ce sera alors la recherche de cette trace du passage des Vikings, des « dieux blancs », en Amérique. Il ne l’a pas trouvée. Mais il l’a approchée.
Franck Buleux, Jacques de Mahieu, éd. Pardès, coll. « Qui suis-je ? », mai 2021, 128 pages.
Source: Francis Bergeron - Présent – Samedi 24 juillet 2021 - francis-bergeron@present.f
Livre que vous pouvez commander ici : https://www.facebook.com/boutiqueenracinee/photos/a.192235992603171/402859388207496/
La chevalerie par Lorris Chevalier
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- Catégorie : HISTOIRE

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