Il existe une étrange façon de penser les guerres. Et, à y regarder de plus près, de les mener. Car la culture, ou plus simplement l'information, lorsqu'elle est propagée, devient une arme. Et une arme extrêmement redoutable.
Et l'une des manières de combattre les guerres, est d'user d'une arme très spécifique, celle de la géographie. Plus précisément, ce sont les cartes, qui ne représentent pas, comme on le croit généralement, la réalité objective. Mais plutôt une interprétation de celle-ci, souvent falsifiée, toujours sectaire.
Ancien agent de renseignement suisse et ancien chef de la doctrine des opérations de la paix des Nations Unies, Jacques Baud a un point de vue très critique sur la situation en Palestine. Dans cette interview, il revient sur plusieurs questions qui dominaient l’attention médiatique depuis un mois: les objectifs de l’opération du 07 octobre et la surprise des services de sécurité israéliens. Il commente également les positions de la mal nommée communauté internationale ainsi que le travail des médias belges et français sur la guerre menée par Israël contre Gaza.
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Sous le couvert de la peur d'être désigné antisémite, une manipulation médiatique subtile opère, occultant les réalités brûlantes du Moyen-Orient. Le silence sur ces enjeux, sous l'ombre de la pensée unique, dévoile une France tiraillée entre la vérité et la conformité.
L’immigration de masse (essentiellement musulmane, en provenance du Maghreb et surtout d’Algérie) a débuté en France avec Valéry Giscard d’Estaing et son premier ministre Jacques Chirac quand ils ont introduit le désastreux « regroupement familial » (décret du 29 avril 1976)(1), lequel était fortement recommandé par l’oligarchie mondialiste de l’époque pour bénéficier d’une main‑d’œuvre bon marché et ainsi faire baisser les salaires des Français, ceci avec la bénédiction de la gauche, de l’extrême-gauche mais aussi des Juifs français, influencés par des personnalités politiques et religieuses issues de leur communauté(2) qui croyaient que les antisémites étaient ces petits blancs patriotes qualifiés d’extrême-droite qu’il fallait contrer par tout moyen, sans savoir qu’ils sciaient la branche sur laquelle ils étaient assis.
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