La contre-révolution rénovée au XXIe siècle par Georges FELTIN-TRACOL
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- Catégorie : LIGNES DE FRONT
À l’automne 2021, cible d’une infâme campagne de dénigrement violent entretenue par les antifas, la préfecture et la municipalité du dénommé Christophe Béchu, une communauté culturelle et sociale appelée l’Alvarium se voit dissoudre par le gouvernement. Cette dissolution honteuse n’empêche pas l’une des figures de proue de la « ruche » d’Angers, Jean-Eudes Gannat, de publier Pourquoi l’Alvarium. D’une politique anti-naturelle à la sécession (2021, 152 p., 13,50 €).
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Cincinnatus et la morale civique de Rome
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- Catégorie : MEMOIRE
En 494 avant J.-C., Rome était profondément divisée, vivait une série de conflits internes, avec des convulsions sociales intestines dues non seulement au fait que le joug des patriciens était considéré comme mauvais, corrompu et despotique par les plébéiens, mais aussi aux guerres extérieures menées contre d'autres peuples.
Black Ops : La vie d’un guerrier de l’ombre de la CIA
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- Catégorie : GEOPOLITIQUE
Ric Prado, agent de longue date de la CIA, vient de publier ses mémoires. Qu’il s’agisse de former des paramilitaires d’extrême droite meurtriers ou de se plaindre des « trous de l’enfer » du monde entier, il est d’une franchise choquante – mais son contenu n’est guère surprenant pour quiconque connaît la politique étrangère des États-Unis.
Les mémoires de Ric Prado, Black Ops, donnent un aperçu des stratégies et des opérations de la CIA au début du XXIe siècle. (Charles Ommanney / Getty Images)
Ric Prado a fui Cuba après la révolution de 1959 alors qu’il avait dix ans. Il a ensuite travaillé pour la Central Intelligence Agency (CIA) pendant vingt-quatre ans – une expérience qu’il raconte dans ses récentes mémoires, Black Ops : The Life of a CIA Shadow Warrior – puis a travaillé dans des opérations militaires privées, notamment un passage chez Erik Prince et Blackwater.
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Le paganisme pour la modernité: Giacomo Boni et les symboles
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- Catégorie : MEMOIRE
La figure de l'archéologue Giacomo Boni, au début du XXe siècle, auteur de découvertes scientifiques sensationnelles, se prête mieux que d'autres à représenter la haute culture et sa forte incidence sur l'idéologie, enrichissant la politique de significations, même sacrées, qui appartenaient à d'autres époques.
Dans le cadre de la lutte entre le matérialisme progressiste et l'idéalisme traditionnel - en cours en Europe depuis au moins deux siècles - les décennies au tournant des 19ème et 20ème siècles ont marqué un point de confrontation important. La culture de l'époque, en Italie comme dans une grande partie du reste du continent, était consacrée à l'investigation de l'identité populaire, à l'intérêt pour le passé national, à la culture radicale et convaincue de tout ce qui pouvait contribuer au renforcement du tissu culturel atavique.
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Julius Evola - Le spirituel dans l'art
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- Catégorie : CULTURE ENRACINEE
Sur une idée de Vittorio Sgarbi, le MART, Musée d'art moderne et contemporain de Rovereto, consacre à JULIUS EVOLA (1898-1974), du 15 mai au 18 septembre 2022, une exposition dont les commissaires sont Beatrice Avanzi et Giorgio Calcara. Le titre de l'exposition « JULIUS EVOLA - LE SPIRITUEL DANS L'ART » comprend une exposition de plus de cinquante œuvres: « ... une première partie constituée de peintures de la période futuriste, caractérisée par des éléments abstraits chargés d'énergie et étonnamment "psychédéliques" ; suivie de "paysages intérieurs", pure expression de l'esprit avec des références hermétiques et ésotériques; enfin, les années 1960 avec des répliques de ses œuvres historiques et quelques peintures figuratives qui s'écartent de sa production de jeunesse ». Bien que brève, la période consacrée à l'art pictural de ce personnage est aussi intense, productive et surtout, jusqu'à aujourd'hui, superficiellement ignorée.
Les véritables héritiers de Mai 68
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- Catégorie : SOCIETE
Mai 1968 est un jalon central dans la formation de notre monde. Un événement qui est souvent célébré comme le seuil d'une nouvelle ère: celle de l'individu libéré et pleinement émancipé. Un exploit progressiste associé à l'héritage sentimental et moral de la gauche. Mais pour être précis, c'est le néolibéralisme - plutôt que la gauche en tant que telle - qui est le véritable héritier de Mai 1968.
De l'État néolibéral à l'État justicialiste
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- Catégorie : ECONOMIE
« Dans l'état de justice, la vocation à former une communauté est fondamentale. Des liens sociaux stables ne peuvent être construits avec des individus égoïstes et matérialistes », affirme l'auteur.
« Nous ne sortirons pas de cette crise uniquement avec des plans macroéconomiques ou en ajustant le déficit fiscal. Cela va plus profondément, éthiquement, moralement, dans le sous-sol où se construit la société visible de notre époque. Nous devons chercher une issue et trouver comment faire de la Communauté organisée une réalité ».
Antonio Cafiero
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