Retourne dans ta patrie
- Détails
- Catégorie : 1 Image 1 Photo 1 Message
Reconfinement 2.0 : Macron condamne-t-il la France au chaos ?
- Détails
- Catégorie : ECONOMIE
La nuit de Samhain, le chien de Culann
- Détails
- Catégorie : Mythologie Celte
C’est pendant la nuit de Samhain que disparut celui qui fut sans doute le plus prestigieux des héros que le légendaire irlandais porte. Sa vie fut courte et remplie d'une immense gloire que tous les bardes chantèrent pendant des siècles, comme l'avait prédit Scathach, la fameuse guerrière qui initia le héros aux arts du combat.
De tous les mortels celtes, c'est celui qui dut affronter le plus les charmes et les maléfices des dieux et des déesses, dans des combats où le surnaturel et la magie l'emportaient sur les conditions guerrières de la vie ordinaire. Il faut reconnaître que, dès sa plus tendre enfance, si ce n'est par sa conception même, il fut plongé sans ménagement dans le chaudron des dieux et des magiciens et que, toute sa vie durant, il se retrouva aux prises avec leurs envoûtements et leurs manigances.
Il est connu sous le nom de Cuchulainn, ce qui signifie « le chien de Culann », et fut souvent surnommé l'Achille Irlandais, mais son nom originel est Setanta. Tout commença en fait avant sa naissance, quand sa mère Dechtire, fille du druide Cathbad et petite-fille du dieu de l'amour Aonghus Og, fut enlevée par les dieux au lendemain de son mariage avec Sulthaim Mac Roth. Elle disparut pour « l'autre monde » avec cinquante de ses servantes changées en oiseaux. Quand elle fut rendue au monde des mortels, elle portait un fils appelé Setanta que lui avait donné Lugh Lamhfada, l'un des plus importants dieux de l'occident celte.
Durant sa jeunesse, Setanta se rendit dans la forteresse du célèbre forgeron Culann qui forgeait les armes du roi Conchobhar et qui donnait une grande fête en l'honneur de ce celui-ci. Il arriva de nuit alors que Culann avait verrouillé les portes et placé son meilleur chien de garde. Le chien attaqua Setanta qui le tua. Pour calmer la colère du forgeron, Setanta proposa de tenir la fonction du molosse jusqu'à ce qu'un nouveau chien soit dressé à assurer la défense de la forteresse. C'est à cette occasion qu'il fut surnommé Cuchulainn, ce qui signifie « le chien de Culann ».
Puis Cuchulainn connut une jeunesse surtout marquée par des conquêtes féminines nombreuses qui l'entraînèrent, avec l'intervention des dieux et des déesses, dans des conflits et des combats incessants où il mit en pratique ses talents incomparables de combattant. Il était en effet allé parfaire son éducation de guerrier chez Scathach qui dirigeait sur une île, aujourd'hui identifiée comme étant Skye, une véritable académie militaire. Cette femme, considérée comme la plus fameuse femme de guerre, fit don au héros du Gae-Bolg, d'une sorte de harpon dentelé qui déchirait les chairs et provoquait ainsi de terribles blessures.
Le héros inscrivit ses plus belles lettres de noblesse en s'illustrant lors des combats de la fameuse « Tain Bo Cuailgne », une des plus importantes chansons de geste celte, puisqu'elle fut même comparée à la célèbre Iliade grecque. Cette guerre, qui avait pour enjeu la possession du symbolique Taureau Brun de l'Ulster, mit aux prises dieux et déesses, demi-dieux et héros de l'Irlande, dans un cadre où les pouvoirs magiques des uns et des autres purent s'exprimer pleinement.
Pourtant, conformément à la prophétie druidique, la destinée du héros arrivait à son terme. Celui qui était considéré comme invincible allait rapidement connaitre sa fin. Les épreuves arrivèrent les unes après les autres.
La première fut sans doute celle qui marqua le plus le Champion de l'Irlande. Non loin de Dun Dealgan, la forteresse de Cuchulainn, débarqua d'un vaisseau une troupe de guerriers commandés par un jeune homme. Le jeune homme, refusant de décliner son nom et son origine, fit savoir qu'il défiait Cuchulainn en combat singulier. Le héros irlandais était marié à Emer, dont on disait qu'elle possédait, en plus des canons de la féminité celte (beauté, beau-parler et art de la couture), le don de prophétie. Elle tenta de retenir son mari, l'exhortant à ne pas répondre à l'appel de ce jeune étranger. Il prit son Gae-Bolg et rejoignit la plage où devait se tenir le combat. Un combat qui n'en finit plus...
Cuchulainn, malgré sa force et son expérience, n'arrivait pas à maîtriser l'agilité de son adversaire. Il fut à plusieurs reprises en difficulté. Au dernier moment, le jeune guerrier le laissait échapper à une mort quasi-assurée. Alors qu'il venait d'être volontairement épargné, Cuchulainn lança son terrible harpon. Le jeune homme s'écroula, mortellement touché. Le Champion de l'Irlande se pencha sur lui pour l'achever. Le jeune homme interposa dans un dernier effort sa main qui portait un anneau d'or caractéristique. Celui qu'avait autrefois donné Cuchulainn à Aoise, la sœur de celle qui l'avait initié aux arts de la guerre. Aoise dont il était tombé amoureux après l'avoir longtemps combattue. Le jeune homme était en réalité Conlai, leur fils, qu'il avait abandonné pour venir retrouver Emer et qu'il venait de tuer de ses propres mains.
Le dernier présage vint encore d'Emer. Cuchulainn qui parcourait la lande, combat après combat, eut une vision : il vit Emain Macha la forteresse du roi Conchobhar en flammes et Emer prisonnière du feu en haut des remparts. Il chevaucha à toute allure jusqu'à son château où il trouva Emer saine et sauve. Sa femme tenta de l'empêcher de rejoindre ses guerriers à Pilar Stone, lui annonçant qu'il courait à sa mort. Il ne l'écouta pas et tomba dans le piège que lui avaient tendu tous ses nombreux ennemis, tous ceux qu'il avait vaincus, ne rêvant que de vengeance. Il fut acculé, désarmé par les maléfices de magiciens et de sorcières, désignés par les dieux pour que s'accomplisse la prédiction : une vie glorieuse mais courte. Mortellement blessé, le corps ouvert de toutes parts, il eut encore la force de marcher jusqu'à Tune de ces pierres levées qui justifiaient le nom du lieu sinistre : Pilar Stones, les piliers de pierre. Puis, s'attachant avec les courroies de son bouclier, il attendit la mort debout.
Ainsi disparut le plus grand Champion de l'Irlande, le guerrier Cuchulainn pendant une nuit de Samhain.
Maurice Dessemond
Sources : Irlande, mythes et légendes celtes – Editions AGEP, 1996.
I-Média n°314 – Deux journalistes menacées de mort par des islamistes
- Détails
- Catégorie : ACTUALITE
2020: Annulation de la table Ronde de Terre & Peuple
- Détails
- Catégorie : Communiqués
Nous traversons une période « mouvementée » qui bouleverse nos habitudes et qui vient restreindre nos libertés…
Il y a beaucoup à dire sur la situation et les méthodes employées pour tenter d’y remédier, mais ce n’est pas là l’objet de notre propos. Chacun d’entre nous sait où trouver les bonnes informations, sait comment interpréter les mesures qui s’additionnent et sait surtout qu’il faut être prêt pour un autre monde…qui souhaitons-le, devienne un jour le nôtre !
Ainsi, dans le contexte actuel, et face aux dispositions imposées par l’actuel gouvernement, la tenue de notre Table Ronde en décembre, est annulée…
C’est pour Terre & Peuple un crève-cœur…mais c’est aussi un défi à poursuivre inlassablement notre combat dans la défense de notre culture et de notre enracinement européen.
Les conséquences économiques pour les petites entreprises risquent de s’avérer dramatiques, laissant au bord du chemin des familles entières. Plus que jamais nous devons apporter notre soutien à ceux qui ont pris tous les risques pour travailler en tentant de rester libres !
Nous devons soutenir nos amis artisans par tous les moyens car ce sont eux qui portent l’espoir d’un retour à des valeurs de tradition, de savoir-faire, d’innovation de la chose bien faite.
“Le feu qui semble éteint souvent dort sous la cendre.”
Pierre CORNEILLE, Dramaturge et Poète (1606-1684)
Attisons ce feu qui couve en nous pour qu’il nous anime encore plus chaque jour d’une volonté de lutter contre le mondialisme qui nous aliène et qui tente de nous étouffer !
Croire en un lendemain, défendre notre communauté et notre histoire, faire respecter nos valeurs est à la portée de chacun d’entre nous ! Encore faut-il le vouloir.
Nous ne gagnerons pas la bataille dans la peur et le renoncement…faisons front, serrons-nous les coudes, soutenons nos camarades et soyons fiers de notre combat !
La Direction de Terre & Peuple
Couverture - TP Mag n°85
- Détails
- Catégorie : Terre et Peuple Magazine n°85 - Automne 2020
Editorial - TP Mag n°85
- Détails
- Catégorie : Terre et Peuple Magazine n°85 - Automne 2020
L’Empire romain n’était pas un État multiracial
- Détails
- Catégorie : MEMOIRE
La dernière pensée à la mode chez les bien-pensants est de prétendre que la cohabitation entre les races se passait bien dans l’Empire romain alors que cet État possédait une minorité noire presque aussi importante que la nôtre.
Ce dernier point est une contre-vérité flagrante bien qu’Uderzo ait représenté les esclaves numides par des noirs dans Le domaine des dieux et ajouté un pirate noir à l’équipage de pirates. (Je m’étonne que le dessinateur n’ait pas été traité de raciste vu que le flibustier de couleur s’exprime dans un langage sans « r »). Aucun peuple de l’immense Empire romain n’était noir ! Les Numides (ancêtres des Berbères) étaient blancs (désolé Uderzo !).
Le Sahara dressait une muraille difficilement franchissable entre l’Afrique romaine (blanche) et son homologue noire. L’Égypte, conquise après Actium en 31 avant J.-C., était la seule province à avoir une frontière commune avec un royaume noir, celui de Koush (nord du Soudan actuel), État brillant, héritier et continuateur de la grande civilisation égyptienne. Les candaces (reines) de Koush traitaient d’égale à égal avec les empereurs romains et le commerce était florissant le long du Nil. Des commerçants noirs de Koush fréquentaient les terres impériales, quelques-uns ont dû s’y installer, mais étaient trop peu nombreux pour qu’on puisse parler de civilisation multiraciale. L’étude génétique comparative des momies de l’époque ptolémaïque (-323 avant J.-C. / 31 avant J.C.) et de celle des Égyptiens actuels montre que les habitants du delta du Nil de l’Antiquité avaient un génome principalement blanc contrairement à ceux du XXIe siècle qui, pour beaucoup, sont issus d’unions mixtes entre Blancs et Nubiens. Les activistes noirs ont pris l’habitude de prétendre que les Égyptiens de l’Antiquité étaient noirs et qu’ils auraient été supplantés par les Arabes blancs après la conquête musulmane de 640, pourtant c’est une contre-vérité totale. Nous venons de voir un argument imparable appuyé par une étude scientifique. En outre, les Coptes, qui descendent directement des Égyptiens du temps des Pyramides et qui n’ont eu aucun d’apport de sang arabe, sont blancs.
Néanmoins, au cours de la longue Histoire de l’Égypte ancienne (plus de 3 500 années), un souverain de Koush a conquis le delta du Nil et a été le premier d’une dynastie de pharaons noirs qui s’est maintenue de -744 à -656, mais cette occupation, comme nous l’avons vu, n’a pas modifié la composition ethnique du delta du Nil.
Notons également l’existence du royaume d’Aksoum, un des quatre empires mondiaux aux côtés de Rome, des Sassanides et de la Chine, État brillant qui est à l’origine de l’Éthiopie. Idéalement placé pour le commerce avec l’Inde et la Chine, Aksoum était prospère et ses marchands fréquentaient les ports de l’Égypte et du Levant, mais encore une fois, les ressortissants de ce royaume n’étaient pas assez nombreux pour qu’on puisse qualifier l’Empire romain de multiracial.
Si le besoin d’esclaves avait été criant à Rome, peut-être aurait-on, comme l’ont fait les États maghrébins après l’an mil, cherché les esclaves en Afrique noire avant de les ramener par caravanes en Afrique du Nord, mais les innombrables guerres fournissaient suffisamment de captifs pour que ce type de commerce transsaharien n’ait aucun intérêt.
Une minorité commence à compter à partir de 1 %. Auguste régnait sur un État comptant moins de 0,1 % de sujets de couleur. Rien n’est plus absurde que l’argument que j’ai lu sous la plume de bien-pensants : « Rome ne connaissait pas de problème racial, puisque les écrivains et les auteurs de l’époque n’en parlent pas ». Évidemment, puisque tout le monde ou presque était blanc !
En revanche, l’Empire était un État multicommunautaire qui a réussi à perdurer pendant près de 500 ans. Cet exploit s’explique par l’existence et l’acceptation par tous de deux cultures dominantes (latine à l’Ouest, grecque à l’Est) et par l’ancrage de chaque habitant dans sa ville (son terroir). Il faut concevoir Rome comme une immense confédération de cités. Celles-ci gardaient une totale autonomie municipale et culturelle ainsi que le droit d’honorer ses dieux, mais déléguaient les Affaires étrangères, la sécurité et la justice à Rome.
Leurs seules obligations était le paiement d’impôts confédéraux (qui sont devenus trop lourds à partir de 250 après J.-C.) et la célébration de la suprématie de Rome, à travers des autels sur lesquels les habitants de l’Empire, en sacrifiant des animaux, prouvaient leur loyauté. Le refus de se conformer à ce rite a provoqué les multiples révoltes juives (66-73, 115-117, 132-133…) et plus tard a entraîné la sécession des chrétiens, ce qui a fissuré l’unité de l’Empire et peut-être entraîné sa chute.
Christian de Moliner
Sources : Breizh-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine – 17/10/2020
NON AU COUVRE-FEU ET A LA DICTATURE SANITAIRE
- Détails
- Catégorie : Communiqués
Le mercredi 14 octobre 2020, le président Emmanuel Macron a annoncé la reprise de l’état d’urgence sanitaire qui lui donne quasiment les pleins pouvoirs. Dans la foulée, il a annoncé un « couvre-feu » de 21h00 à 6h00 du matin à partir du samedi 17 octobre dans la région Île de France et 8 autres métropoles. Les contrevenants étant avertis d’une amende de 135 €, 1500 € en cas de récidive et, on l’imagine, la prison dans un troisième temps. Il s’est fendu ensuite d’un certain nombre de considérations moralisatrices visant à culpabiliser et infantiliser les français tout en s’immisçant dans leur vie privée. Déjà se profile une prolongation indéfinie de l’état d’urgence, avec report des élections à venir. Nous avons purement et simplement assisté au coup d’état d’un orgueilleux immature.
Macron n’a fait aucun mea culpa quant à la gestion de la crise par son gouvernement qui, rappelons-le, n’a fait aucun effort véritable pour rattraper le retard en équipement médical depuis le début de la crise du Covid et, pire, a refusé de mettre en œuvre les seules stratégies efficaces de traitement. Macron persiste à s’appuyer sur un soi-disant conseil scientifique dont bien des membres présentent des « conflits d’intérêt », expression douce pour désigner la corruption. Macron s’apprête aussi à poursuivre la ruine de la France par les faillites d’entreprises, le chômage de masse, la multiplication des pauvres et l’endettement.
Dans ce plan, il n’y a pas seulement le mariage pathétique de l’incompétence et de l’arrogance comme certains le disent, mais la poursuite locale d’un agenda oligarchique à l’échelle du monde occidental qui veut profiter de la crise du Covid pour s’emparer définitivement des richesses et réduire la population en servitude. C’est ce qu’ils appellent, « le Grand Reset ».
Il n’est pas question d’accepter que l’apprenti dictateur Macron poursuive tranquillement l’abaissement de notre peuple. Nous disons NON au couvre-feu et à toutes les mesures liberticides de ce régime.
Nous appelons à la RÉSISTANCE aux côtés de toutes les forces soucieuses d’une vie libre et digne. Peu importe ce qui a pu nous opposer hier, ce qui compte seul aujourd’hui c’est l’union des forces hostiles à la tyrannie sanitaire.
Nous appelons à la désobéissance face à toutes ces mesures et à la démission de ce président désormais illégitime.
Nous souhaitons que les choses se passent pacifiquement, mais le choix ne nous appartient pas…
En attendant, nous appelons les forces de l’ordre, méprisées par un régime qui les saupoudre de bonnes paroles mais les abandonne concrètement face aux racailles, à faire preuve de retenue et à ne pas participer à la persécution du peuple qu’elles ont reçu mission de protéger. À leurs membres, individuellement, de choisir la voie de l’HONNEUR et de la PATRIE.
VIVE LA LIBERTÉ, À BAS LA DICTATURE !
La direction de Terre & Peuple
Comprendre la dette publique (en quelques minutes)
- Détails
- Catégorie : ECONOMIE
- MASSACRE DES ANIMAUX ERRANTS À DUBAÏ : « JE VOUS SUPPLIE DE METTRE UN TERME À CES RAMASSAGES »
- I-Média n°313 – Égorgement gare du Nord : décryptage d’une triple manipulation médiatique
- Le corporatisme : un outil de Justice Sociale - L'Echo des Canuts n° 16
- Mali : une libération d’otages qui marque un vrai tournant dans la guerre
- Covid-19 : L’oligarchie démasquée avec Florian Philippot
- Couverture - TP Mag n°84
- Editorial - TP Mag n°84
- [20ans de l’€] -8- Comment l’Euro ruine la France de 8 façons
- Gaulois réfractaires, résistance !
- Dans le Doubs, découverte d'un village mérovingien unique en France
Page 574 sur 723