L'ex-responsable salafiste arrêté à Marseille a reçu un visa délivré par le consulat de France à Istanbul
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L'ancien ancien porte-parole du groupe islamiste armé syrien Jaich al-Islam (Armée de l'Islam), Majdi Mustafa Nema, alias Islam Allouche, soupçonné de crimes de guerre, a obtenu un visa auprès du consulat de France à Istanbul pour étudier dans un institut de recherche français, a annoncé jeudi le ministère français des Affaires étrangères. "Un visa court séjour a été délivré sur la base d'un dossier complet, après interrogation des services ministériels compétents", a précisé la porte-parole du Quai d'Orsay, interrogée lors d'un point de presse électronique sur l'octroi du visa par le consulat à Istanbul, confirmant ainsi l'information donnée de sources proches du dossier. Nema a été interpellé mercredi dernier, après trois mois passés à Noailles dans le 1er arrondissement de Marseille.
La politique d'attribution des visas fait l'objet d'une compétente partagée entre le ministère de l'Intérieur et celui des Affaires étrangères. Les visas Schengen de court séjour sont attribués pour une durée de 90 jours.
Ancien porte-parole du groupe salafiste Jaich al-Islam, Islam Allouche a été interpellé le 29 janvier en France et mis en examen le 31 janvier, notamment pour "actes de tortures et complicité", "crimes de guerre" et "complicité de disparitions forcées". Il était enregistré comme étudiant à l'Institut de recherche sur le monde arabe et musulman (Iremam) de l'Université Aix Marseille, qui relève du Centre national de la recherche scientifique (CNRS). Selon une source judiciaire, il se trouvait en France depuis novembre.
Le groupe Jaich al-Islam est notamment soupçonné de l'enlèvement le 9 décembre 2013 de l'avocate et journaliste syrienne Razan Zeitouneh, son mari Waël Hamada et deux de ses collaborateurs. Mme Zeitouneh avait été l'une des figures du soulèvement populaire lancé en mars 2011 contre le régime de Bachar al-Assad, et avait reçu cette année-là le Prix Sakharov des droits de l'Homme en compagnie d'autres militants du "Printemps arabe". Elle avait ensuite critiqué les violations des droits de l'homme commis par toutes les parties au conflit.
Par La Provence (avec AFP) 06/02/2020
Quand un détenu filme l’évacuation de la surveillante sérieusement blessée à Lyon sous les cris de joie de la population pénale
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Cette vidéo est insupportable pour les surveillants pénitentiaires. Tournée hier après-midi par un détenu après la sanglante attaque au couteau à la maison d’arrêt de Lyon, elle a ensuite été diffusée sur les réseaux sociaux.
Hier, vers 17h00, une surveillante stagiaire de la maison d’arrêt de Lyon a subi une violente attaque qualifiée de tentative de meurtre par les syndicats de l’établissement.
Le détenu avait dans un premier temps refusé de réintégrer sa cellule. Alors que la surveillante s’apprêtait à demander des renforts, le détenu s’est jeté sur elle armé d’un couteau de type Opinel. Il a visé ses yeux en lui portant plusieurs coups. Elle sera touchée à au moins trois reprises. Blessée elle sera conduite à l’hôpital au service des urgences. Elle présente des plaies ouvertes au niveau de la pommette, de l’arcade sourcilière et de la nuque.
https://actupenit.com/wp-content/uploads/2020/02/Lyon-le-04022020.mp4?_=1
La vidéo est apparu quelques minutes après cette attaque. Filmée par un détenu équipé d’un téléphone portable on peut voir l’évacuation de la surveillante, sous les cris des détenus qui semblent se réjouir de voir la victime évacuée par le service médical et les surveillants. Sur la vidéo on peut également lire » un surveillant en moins dans la maison ».
Ce matin ses collègues ont décidé de bloquer leur établissement en signe de soutien. La victime a été opérée hier soir. Ses jours ne sont pas en danger mais les séquelles sont bien présentes.
actupetnit.com
Le dispositif Linky
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Sans le cash, il suffira d'un "clic" pour que votre argent soit bloqué !
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Les Suisses sont connus pour être des personnes prudentes . C'est donc avec étonnement, mais surtout beaucoup d'intérêt, que j'ai lu l'enquête réalisée par le journal suisse Le Temps consacrée à la disparition programmée du cash dans nos sociétés.
En effet, des pays comme le Danemark étudient la possibilité de supprimer le cash. D'autres, comme la France, la Belgique ou l'Espagne, interdisent déjà les transactions en cash au-delà d'un certain montant. Et des banques américaines comme JP Morgan ont interdit à leurs clients de déposer des espèces dans les coffres qu'ils louent. Mais cela ce n'est que la partie émergée de l'iceberg.
En réalité, comme le rappelle le journal suisse Le Temps, des économistes de renom plaident pour la disparition du cash. Officiellement, c'est pour lutter contre le blanchiment d'argent, le crime organisé, le terrorisme ou la fraude fiscale, sans oublier que le secteur bancaire est en faveur de cette suppression du cash uniquement dans le but de "nous simplifier la vie". Cependant, la suppression du cash serait une attaque contre nos libertés, selon d'autres commentateurs dont Simone Wapler, la très avisée rédactrice de la lettre d'information financière La Stratégie de Simone Wapler.
Sans le cash, il suffira d'un "clic" pour que votre argent soit bloqué !
En fait, comme nos gouvernements sont surendettés, aucune transaction, même la plus petite, ne doit leur échapper. Or, quoi de plus simple que de lever des impôts supplémentaires quand il n'y a plus de cash ? Le jour où tous vos avoirs seront bancarisés sous forme de livrets ou comptes d'épargne, que vos déclarations d'impôts, vos facturations, vos numéros de compte, vos allocations, vos salaires et bientôt vos dépenses de santé seront en ligne, et comme tout cela est connecté, il suffirait en gros d'un "clic" pour que votre argent, votre propriété soit... bloquée !
Quant aux banques, leur pire cauchemar, c'est qu'en cas de manque de confiance, les épargnants sortent leur argent de la banque - c'est ce qu'on appelle le "bank run". Mais là encore, s'il n'y a plus de cash, il n'est plus possible de quitter sa banque, comme l'indique Simone Wapler. Priver les déposants de la faculté de retirer des billets permet de les garder captifs !
Sans compter que s'il n'y a plus de cash, les autorités monétaires peuvent nous imposer un taux d'intérêt négatif sur nos comptes bancaires, car comme il n'y a plus de cash, nous ne pouvons pas retirer nos avoirs. Or, comme l'a fait remarquer un économiste de la banque américaine Citibank, si la Banque centrale américaine avait pu imposer un taux d'intérêt négatif de 6%, elle aurait pu limiter la crise de 2008 !
En résumé, je ne dis pas que ce scénario envisagé par des personnes sérieuses, et notamment par le journal suisse Le Temps, va se produire, mais c'est vrai qu'il faut bien reconnaître que l'existence du cash dans nos sociétés permet d'échapper aux taux négatifs, à l'impôt arbitraire et à la faillite d'une banque. Donc, ces commentateurs - que certains considéreront comme des visionnaires et d'autres comme des fous - considèrent qu'il faut en quelque sorte prendre le maquis, entrer en résistance et défendre coûte que coûte une société avec du cash. Comment ? En utilisant au maximum le cash, car il est plus facile de faire disparaître quelque chose qui n'est plus en usage que quelque chose qui sert beaucoup. Au moins, le débat peut commencer.
Amid Faljaoui, directeur des magazines francophones de Roularta.
Islamisme : des populations plus « déséquilibrées » que d'autres ? (vidéo)
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SALUT ROGER
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J’ai toujours eu beaucoup de respect et d’estime pour Roger Holeindre. Il incarnait le meilleur des traditions militaires françaises, aujourd’hui oubliées ou méprisées par ceux qui, y compris au sein d’une soi-disant « droite nationale », n’ont jamais entendu une balle siffler à leurs oreilles et sont incapables de courir cent mètres sans cracher leurs poumons et appeler leur maman.
Roger avait la rugosité, le franc-parler mais aussi la générosité des vrais guerriers. Il a toujours montré, sans mots inutiles, le courage des combattants dignes de ce nom. Il a rejoint le paradis aux portes duquel veillent des anges porteurs d’épée.
Salut à toi Roger.
Pierre Vial
Danheim - Ulfhednar
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Conférence de Geoffroy Lejeune censurée à Sciences Po Lille : les enseignants prennent la défense de leur directeur
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Sur Facebook, ce lundi, les enseignants-chercheurs de l'établissement invoquent le “respect, la tolérance et l'hospitalité”.
Pour « construire leur émancipation », les élèves de Sciences Po doivent occulter les idées dont leurs enseignants estiment qu'elles n'ont droit de cité dans la société française, quand bien même ces idées seraient partie intégrante du débat politique et seraient partagées par une large partie de l'opinion publique. Telle est, en substance, ce qu'affirment le « personnel administratif » et « les enseignants » de l'établissement, ce lundi 27 janvier, après les critiques en cascade qui s'abattent sur leur directeur. La semaine dernière, ce dernier annonçait l'annulation d'une conférence à laquelle devaient participer Geoffroy Lejeune et Charles Consigny, au motif que « la participation de l'un des invités ne [lui] apparaissait pas souhaitable ».
« Les principes d'éthiques de l'école »
Sur Facebook, le texte publié, et daté du 25 janvier, rappelle que Pierre Malthiot, directeur de l'école a pris, le 20 janvier, « la décision de ne pas permettre la présence de l'un des intervenants prévus à un débat organisé par une association étudiante ». « Il avançait la raison que celui-ci avait été l'auteur d'un dossier ayant valu à son journal, Valeurs actuelles, une condamnation (...). C'est en raison des risques manifestes de troubles sérieux à l'ordre public, et au nom des principes d'éthiques de l'école que la décision fût prise en toute responsabilité », poursuivent personnel administratif et enseignants de Sciences Po Lille.
Ils ajoutant dénoncer « avec vigueur les propos haineux, les calomnies et, de manière plus générale, le mépris » dont l'établissement ferait l'objet. « Nous adressons un soutien collectif à notre directeur, Pierre Malthiot, qui a reçu des menaces de mort », disent-ils encore. Et d'ajouter, dans une formule qui semble vouloir inverser les responsabilités : « Nous nous inquiétons aussi de l'outrance verbale et physique avec laquelle certaines associations ou organisations s'emploient à disqualifier, à vouloir interdire, à perturber des conférences dont bien souvent le seul tort est de leur déplaire, de contredire leurs certitudes (...) ».
« Construire l'émancipation des élèves »
Les auteurs du texte tiennent aussi à « réaffirmer » leur « engagement professionnel et éthique à défendre les impératifs de respect, de tolérance et d'hospitalité ». « Nous sommes fiers et heureux (...) d'aider nos élèves à entrer dans la vie, avec non seulement un bagage de connaissances, mais aussi la petite boîte à outils qui leur permettra de construire leur émancipation ». « Nous ne nous laisserons pas impressionner par les petites tribus qui affichent à grand bruit leur ignorance, leur dogmatisme, et qui portent sur leurs fragiles épaules les fantômes des sectarismes les plus éculés », peut-on encore lire.
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