Après une enquête minutieuse, le magazine confirme que Brigitte Macron est en réalité bien un homme nommé Jean-Michel Trogneux. Cette assertion s’appuie sur des comparaisons faciales réalisées à l’aide d’un logiciel chinois de reconnaissance. Les photos de Jean-Michel Trogneux, fournies lors du procès contre Natacha Ray, ont été soumises à ce logiciel, confirmant des similitudes frappantes avec Brigitte Macron.
Combattant emblématique des guerres de Religion (1559 – 1610), le reître est un cavalier mercenaire allemand à la sinistre réputation. Enclin au pillage, il est le symbole des déprédations imposées aux populations pendant les guerres civiles.
Leur arme de prédilection ? Les pistolets à rouet. Montés sur des chevaux médiocres et équipés d’armures noircies (ce qui les dispense d’un coûteux polissage), les reîtres étaient loués à grands frais aux catholiques comme aux réformés par les entrepreneurs de guerre du Palatinat ou de la Saxe.
Les cavaliers manœuvraient en épais escadrons de plusieurs rangs et combattent au pistolet, en utilisant la tactique du limaçon (caracol en espagnol) afin d’éviter les piques adverses.
Pendant toute notre jeunesse nous avons cherché les routes difficiles. Nous vagabondions près des pôles où les dernières taches blanches de la carte du monde flottent comme des icebergs sur le bleu pâle des atlas et des mers froides. Nous suivions les chiens de traîneau, en Alaska, avec les héros de Jack London et nous nous perdions, corps et biens, au large de l’Islande sur le Pourquoi-Pas du commandant Charcot. Nous vivions avec Byrd, Nobile, Scott et Amundsen. Et nous pleurions de rage sur les vieilles gravures de nos livres de prix parce que les grands trois-mâts pourrissaient dans les bassins et que nous ne doublerions jamais le Cap Horn à la voile.
Les anglais ont toujours été au centre des déstabilisations de ces dernières années, sans grande armée mais avec le bras économique et financier de la City, épicentre des tendances de la planète.
La puissance de la City et son rayonnement mondial proviennent du fait que Londres est le plus grand marché financier des monnaies.
La nouvelle de la mort de Navalny et l’offuscation des dirigeants occidentaux à ce sujet ont fait les gros titres des médias grand public cette semaine. C’est l’occasion de plonger dans les méandres de la guerre psychologique, les fameuse psyops, que le bloc occidental mène contre ceux qu’il considère comme ses ennemis, dans ce cas particulier Poutine.
Nous dédions cet essai à Günter Maschke, le seul théoricien sérieux de la droite radicale et réactionnaire allemande, qui a quitté la vie il y a deux ans, le 7 février 2022, quelques semaines après son 79ème anniversaire. En même temps, il est dédié à trois jeunes camarades de 17, 18 et 19 ans de l'extrême droite radicale italienne: Franco Bigonzetti, Francesco Ciavatta et Stefano Recchione, qui ont été tués le 7 février 1972 par les forces de l'ordre. Ils ont versé leur sang devant le quartier général du Movimento Sociale Italiano (MSI) néofasciste, Via Acca Larentia, après que les deux premiers ont été assassinés de sang-froid par cinq membres du groupe terroriste de gauche « Lotta Continua », lesquels ont tous été acquittés par le tribunal, à partir d'un auteur itinérant, dans le cadre d'une démonstration de courage. Le pistolet mitrailleur utilisé pour le crime a été découvert plus tard dans une cachette des Brigades rouges, qui collaboraient avec Lotta Continua. Le troisième a été abattu quelques heures plus tard, alors que de nombreux membres du Front de la jeunesse du MSI s'étaient rassemblés devant le siège du parti après l'attentat, par le capitaine de carabiniers Sivori, sans aucune raison, ce représentant de l'État s'étant fait passer un autre Beretta de calibre 9 mm par un collègue parce que le sien s'était enrayé et parce qu'il ne pouvait pas s'empêcher de tirer dans la tête d'un jeune de dix-neuf ans qui, pour une raison ou une autre, lui déplaisait manifestement. Sivori n'a d'ailleurs jamais été inculpé.
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