Le numéro 86 de Terre & Peuple magazine est paru !
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- Catégorie : Terre et Peuple Magazine n°86 - Hiver 2020
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T & P magazine – B.P. 38
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Maléfice - Lorsque le Château Rêve...
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- Catégorie : Chants et Chansons
L’art séculaire du fromage de Suisse
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- Catégorie : Arts Culinaires
Le savoir-faire fromager suisse se transmet depuis l’Antiquité. Riche de ses terres préservées, la Suisse a su perpétuer la tradition du fromage comme un artisanat précieux.
Les fromages de Suisse : un savoir-faire inégalable
Chaque année, 189 000 tonnes de fromages de Suisse quittent l’obscurité des caves d’affinage… Direction : les assiettes des fins gourmets, pour le plaisir de leur palais. Ce pays verdoyant, qui consacre 80 % de ses terres agricoles à la production laitière, a bâti son inébranlable réputation fromagère au fil des siècles, et ce, depuis l’Antiquité. 40 % des fromages de Suisse sont envoyés désormais aux quatre coins de la planète ! Il faut dire que les règles qui encadrent la fabrication des différentes variétés sont strictes. Elles valorisent le bien-être animal et l’environnement. Nourries sans ensilage, une méthode qui permet de conserver le foin par voie humide et modifie le goût du lait, élevées dans de petites exploitations fermières et gardées au grand air tout l’été dans les alpages protégés de la pollution, les ruminantes sont les garantes épanouies d’un savoir-faire inégalable.
De l’Antiquité aux tables des têtes couronnées
Au ier siècle de notre ère, un extrait de l’Histoire naturelle de Pline l’Ancien mentionne déjà l’existence et le bon goût d’un certain « Caseus helveticus » élaboré par la tribu celte des Helvètes. À la chute de l’Empire romain, des moines reprirent le flambeau dans le secret de leurs monastères pour perfectionner les techniques de fabrication et inventer de nouvelles variétés fromagères. Les comtes suisses et les rois français (dont Louis XIV) furent, par la suite, de friands amateurs de fromages de Suisse. Au xviie siècle, c’est à Lyon, à Paris et en Italie que les spécialités fromagères font leur apparition. Mais il fallut attendre le xixe siècle pour que les techniques de production des grands fromages à pâte pressée cuite franchissent de nouvelles frontières et ancrent définitivement leur notoriété à l’échelle internationale.
La Suisse, berceau inconditionnel du fromage
Bien plus qu’un simple territoire de production laitière et fromagère, la Suisse incarne la civilisation du fromage. Chaque année, la montée des vaches et des vachers aux alpages puis leur retour en automne sont entourés d’un véritable folklore ! Depuis les années 2000, douze fromages de Suisse portent des appellations d’origine protégée européennes (AOP). Vedettes du traditionnel « plateau de fromages » servi en Suisse et au-delà de ses frontières, ils sont fabriqués sans additifs ni conservateurs par des fromageries familiales qui utilisent du lait cru produit au grand air. L’attention portée par la Suisse à la préservation de son environnement, l’immensité des alpages et la diversité sans équivalent de la flore locale renforcent le caractère des délicieux fromages de Suisse.
I-Média n°323 – Hold-Up : colère, approximations et mépris médiatique
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- Catégorie : ACTUALITE
Face a la dictature du système, soutenons les librairies enracinées et non-conformistes !
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- Catégorie : Communiqués
LIVRES NEUFS ET D'OCCASIONS
La Librairie Vincent (ex Facta) est située à Paris, dans le VIIe arrondissement, 115 avenue de La Bourdonnais, tout près du Champ-de-Mars.
Téléphone : 01 42 03 48 52
le site https://librairie-vincent.com
Ouvert du mardi au samedi de 12h30 à 19h30 (fermeture en août).
Métro le plus proche : École Militaire (ligne n°8).
Lignes de bus à proximité : Lignes 28-80-82-86-92. Arrêt École militaire.
Parkings à proximité de la librairie : Parking Indigo Joffre Ecole Militaire
(Diffuse les publications de Terre & Peuple)
La librairie Les deux cités est située 6 grande rue à 54000 Nancy
Téléphone : 03 83 20 61 47
Le site : https://lesdeuxcites.fr
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LIVRES D'OCCASIONS
Club du Livre National, 4 rue de la Mairie 27530 CROTH
(Uniquement en V.P.C.)
Le site : https://www.clubdulivrenational.fr
Contact :
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Catalogue sur demande
Immigration, langue arabe, langue berbère. Bernard Lugan interpelle Emmanuel Macron
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- Catégorie : GEOPOLITIQUE
Dans son entretien au média Brut donné le 5 décembre dernier, en plus de considérations démagogiques relevant du « café du commerce », le président Macron a enfilé les truismes, aligné les lieux communs et procédé à des généralisations à la fois abusives et erronées. Ainsi quand il déclara :
« Quand votre enfant parle arabe, c’est une chance pour la France, ça a quelque chose à apporter à notre pays », le président français était en réalité sur la même ligne nationaliste arabe que Jack Lang, président de l’Institut du Monde Arabe pour lequel « la langue arabe est une langue et un trésor de France ».
Or, même si l’arabe est la langue religieuse des musulmans, ce n’est pas elle qui est majoritairement parlée en France par la constellation de l’immigration maghrébine, mais la langue berbère (amazighe) sous ses diverses variantes. En faisant ce contre-sens généralisateur, le président Macron livre en réalité les jeunes issus de l’immigration aux radicalistes arabo-islamistes. Donc aux descendants des conquérants arabes qui, au VIIIe siècle, rebaptisèrent Maghreb (le Couchant), la Berbèrie originelle.
Politiquement, la confusion est grave car elle prend le contre-pied de la lutte que les autorités françaises prétendent vouloir mener contre le « séparatisme » islamiste.
Pour le courant arabo-islamiste nord-africain, l’islamisation du VIIIe siècle a en effet marqué la fin de l’histoire des Berbères, leur conversion à l’Islam les ayant inscrits de façon irréversible dans l’aire culturelle de l’arabité. Dans les années 1950, en pleine crise berbériste, la revue Al Maghrib écrivit même que les Berbères ne pouvaient accéder au Paradis que s’ils se rattachaient à des lignées arabes, leur salut passant par leur intégration au peuple ayant donné naissance à l’ultime messager de Dieu. En un mot, le salut par le suicide ethno-national…
En Algérie, mis en accusation, les cadres berbéristes, essentiellement des Kabyles, furent écartés de la direction du mouvement nationaliste, puis exclus. Certains furent même assassinés. Le berbérisme fut ensuite évacué de la revendication nationaliste au profit de l’arabo-islamisme qui devint la doctrine officielle du FLN. En 1962, le gouvernement algérien supprima la chaire de kabyle de l’université d’Alger. Cette mesure symbolique annonçait l’orientation qu’il comptait donner au pays, la légitimité du régime s’ancrant sur la négation de son histoire et de sa composition ethnique. La génétique montre pourtant que le peuplement berbère nord-africain n’a été que très peu pénétré par la colonisation humaine arabe et que le fond ancien de peuplement de toute l’Afrique du Nord, de l’Egypte au Maroc, est Berbère.
Paniqués à l’idée d’un réveil de la belle endormie berbère qui risquait d’entraîner à la fois le rejet de l’arabité et celui de l’islam politique, les dirigeants algériens définirent une ligne nationalitariste arabo-islamique. Ayant échoué, les salafistes, les wahhabites et les diverses obédiences islamistes prirent ensuite le relais, cherchant à dissoudre l’identité berbère dans l’universalisme islamique et la Umma. Actuellement, une course contre la montre est engagée entre l’identité berbère enracinée et le broyeur arabo-islamiste universaliste. Or, le président Macron vient de donner un sérieux appui au second en encourageant la langue arabe…
Portés par le réveil identitaire planétaire, les Berbères vont-ils prendre véritablement conscience de leur situation de colonisés ? S’ils y parvenaient, au terme de leur réappropriation historique, culturelle et politique, la géopolitique de la Méditerranée serait alors totalement bouleversée. Redevenu la Berbérie, le Maghreb cesserait en effet de regarder vers l’Orient pour revenir dans sa matrice occidentale. Comme avant la conquête arabo-musulmane du VIIIe siècle [1].
Mais cela, le président Macron et ses conseillers sont incapables de le voir… et encore moins de le comprendre. Par manque de culture ethno-historique, voilà en effet qu’ils font le lit du nationalisme arabo-islamique qu’ils prétendent pourtant combattre…
Bernard Lugan
[1] Pour en savoir plus, voir mes livres : Histoire des Berbères, Histoire de l’Afrique du Nord et Algérie l’histoire à l’endroit.
Sources : Breizh-info.com - 2020
Ni progressiste, Ni conservateur par G.K. Chesterton
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- Catégorie : Littérature
« L’affaire des progressistes est de continuer à commettre des erreurs. L’affaire des conservateurs est d’éviter que les erreurs ne soient corrigées. »
G.K. Chesterton
The blunders of our parties. Illustrated London News 19/04/1924
Le « merveilleux » XXI ième siècle de Jacques Attali !
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« Tout humain deviendra un être sans père ni mère sans antécédents, sans racines ni prospérité, nomade absolu.
Chacun aura le droit de former simultanément plusieurs couples, polygamie et polyandrie deviendront la règle. Il deviendra licite d’avoir avec « clonimage », toutes les relations sexuelles interdites à un être humain. On autorisera même aux amateurs des relations avec des « clonimages » de mineurs si l’on peut s’assurer qu’elle ne requiert ni ne suppose la participation d’aucun enfant réel. »
Jacques Attali (Dictionnaire du XXIe siècle page 118)
Maître Eric Delcroix : « Les liberté de conscience et d’expression n’existent plus en France et en Europe »
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- Catégorie : SOCIETE
Les éditions Akribeia viennent de sortir un nouvel ouvrage d’Éric Delcroix, avocat à la retraite, auteur notamment de deux livres majeurs sur l’effondrement du système pénal en France et de nos libertés individuelles avec Le Théâtre de Satan suivi de Manifeste Libertin.
Son nouvel ouvrage, intitulé Droits, conscience et sentiments, fait mouche alors que notre société semble tomber de plus en plus dans le totalitarisme.
Voici la présentation du livre par son éditeur (à commander ici) :
Les droits de l’homme permettent désormais tout, y compris et d’abord la répression de la pensée et la censure, au nom d’une morale abstraite qui dénature et supplante le droit au nom du Bien. Les droits de l’homme, dans leur logique de subversion, ont fait passer l’individu de l’état de sujet de droit privé à celui d’acteur de droit public ayant des droits constitutionnels, dits « fondamentaux », qui corrodent l’impératif de l’intérêt général censé être garanti par l’État. L’exemple vient d’Amérique; il mêle l’acte fondateur de la Convention universelle des droits de l’homme de 1948 et le mythe de l’État de droit, fondé sur un concept étranger qui s’est répandu depuis insidieusement chez nous. Pour Maître Delcroix, les libertés de conscience, de pensée et d’expression ne relèvent pas des droits de l’homme, mais de la liberté de l’esprit intrinsèque à la civilisation européenne. Elle est aujourd’hui menacée, spécialement à l’heure où un nouvel ordre moral nous enserre dans ses rets et nous assomme de ses prêches incessants. Pour les droits de l’homme contemporains, la liberté de conscience est réduite à la liberté religieuse, alors qu’ils la bafouent en interpellant le sujet de droit dans son for intérieur pour en extirper le péché capital de discrimination! Éric Delcroix a déjà développé ses idées dans des plaidoiries, des conférences et des livres. Le présent ouvrage en est un résumé actualisé saisissant, accessible aux non-juristes. Il s’agit d’une mise en garde et d’un signal d’alarme contre une société totalitaire rampante et une justice devenue structurellement partiale.
Nous avons interrogé Eric Delcroix à son sujet, mais aussi sur le regard que porte l’avocat retraité sur l’évolution de la Justice en France.
Breizh-info.com : pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?
Maître Éric Delcroix : J’ai été avocat au barreau de Paris pendant trente huit ans et j’y ai découvert l’involution décadente des libertés publiques en France, singulièrement quant à la liberté d’expression des idées et des sentiments. J’ai vu apparaître les lois subversives, Pleven (1972), Fabius-Gayssot (1990), Lellouche (2003) et Perben (2004).
Breizh-info.com : 15 ans après Manifeste Libertin, qu’est-ce qui vous amène à reprendre la plume avec Droits, conscience et sentiments ?
Maître Éric Delcroix : Toutes ces lois vont dans le même sens, savoir ravir au sujet de droit (vous et moi) son arbitraire intime, pour le livrer à l’inquisition des consciences, ce qui était interdit depuis les Lumières (et c’est ce qu’elles eurent de meilleur). Illustration élémentaire : les testings, qui visent à condamner cet arbitaire intime. La puissance publique (ou la LICRA !) n’a pas à nous confesser et à rechercher ce qui est au fond de nos coeur, pensées, arrières pensée ou phantasmes ; l’antiracisme permet tout et c’est même à ça qu’on le reconnaît, comme le disait Michel Audiard parlant des cons !
Breizh-info.com : Quel regard porte l’avocat que vous êtes sur l’évolution, en matière pénale, des lois encadrant, réprimant, pénalisant, la liberté d’expression ?
Maître Éric Delcroix : Les liberté de conscience et d’expression n’existent plus en France et en Europe (Voir Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme, Charte européenne des droits fondamentaux et autres Conseil constitutionnel qui vont dans ce sens et paralysent également les libertés collectives des nations, au nom d’un droit humanitaire qui rime avec délétère : bref, tout ce qui correspond à l’Etat de droit, incongruité importée en France par ces institutions totalitaires). Le droit, de simple et lubrifiant social, est devenu depuis 1945 une idéologie d’essence principalement américaine donc gavée de moralisme et de prêches.
Vous êtes libre de vous exprimer si vous restez rigoureusement fidèle à la philosophie égalitariste des droits de l’homme (le communisme, mais dans la sauvegarde de la Bourse). Avocat de Faurisson pendant 28 ans, et condamné moi-même pour délit d’opinion (ma seule décoration – 1996), j’en sais quelque chose !
Breizh-info.com : Comment expliquez-vous que personne sur la scène politique française, pas même ceux qui se prévalent d’un statut d’opposants politiques comme les principaux dirigeants du RN, n’entendent revenir sur ces dérives du droit français ?
Maître Éric Delcroix : En trois mots : Ignorance, électoralisme et lâcheté.
Breizh-info.com : Dans votre ouvrage, vous mettez en garde contre une société totalitaire qui se met petit à petit en place. Beaucoup vous rétorquerons que la République française n’est pas la Chine, la Corée du Nord, ou d’autres régimes autoritaires qui existent dans le monde …
Maître Éric Delcroix : Bien sûr que nous ne sommes pas en Chine, ni en URSS où j’avais été soutenir les dissidents (Brejnev regante 1973-1974). En occident c’est beaucoup plus subtile, mais les maîtres du discours éliminent toute dissidence, au nom du Bien, révélé derechef sur terre en 1945. A l’ombre de la Shoah, toute dissidence est regardée, sous un consensus quasi religieux effroyable, comme procédant du Mal…
Breizh-info.com : En tant qu’avocat, quel regard portez vous sur la magistrature française ? Peut-on parler de règne de « juges rouges » qui jugent souvent faiblement vis à vis des forts, fortement vis à vis des faibles ? La justice est-elle réellement indépendante du politique ?
Maître Éric Delcroix : Je porterais plutôt un regard nuancé sur la magistrature française, même si la situation s’aggrave, car elle est à l’image de la Société. Mais les choses se dégradent affreusement quand intervient l’Idéologie. Et dans l’après 1968 elle s’est infiltrée, là comme dans nombre d’institutions… Je ne dis pas une idéologie, car il n’y en a plus qu’une. J’aspire pour ma part à une neutralité axiologique du droit et de la magistrature, ce que l’on peut appeler l’impartialité ou, plus modestement l’aspiration à celle-ci. Les « juges rouges », qui ne sont que des Bobos et ne dérangent en rien le Système, en sont particulièrement éloignés…
Breizh-info.com : Finalement, le courant libertarien (libertin ?) que vous incarnez dans votre fonction d’avocat ne manque-t-il pas d’une relève ? L’erreur des partisans des libertés, et notamment d’une partie de la droite, n’a-t-elle pas été d’abandonner et de mépriser les carrières judiciaires au profit du militaire, de l’économique, laissant les clés à d’autres ?
Maître Éric Delcroix : Non pas libertarien, je suis aux antipodes de ces anglo-saxonneries ! Les libertins, au sens intellectuel du terme, constituèrent un courant européen des XVI° et XVII° siècle (Molière !), avant les illusions messianiques progressistes des Lumières. Il postulait qu’aucune inhibition morale ou théologique ne devait s’opposer au libre constat des réalités tangibles et vérifiables. Le puritanisme des droits de l’homme est à cet égard tout l’inverse, c’est une chape de plomb, que j’appelais déjà la Chape dans le Théâtre de Satan (2002).
Dans le Barreau, que j’ai quitté pour prendre ma retraite, écoeuré, il y a une heureusement certaine relève, mais rarement dans l’esprit, je le crains, que j’exprime dans Droit, conscience et sentiments.
Quant aux carrières dans la magistrature, la question est difficile, car l’ENM (Ecole nationale de la Magistrature) est infectée par l’Idéologie, qui s’y est instillée après 1968… Dans ces conditions, iriez-vous ? Il faudrait des capacités d’entrisme qui font défaut dans ces temps crépusculaires…
Sources : Breizh-info.com - 11/12/2020.
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