Le bal des cocus, souvenirs des années Mitterrand
- Détails
- Catégorie : POLITIQUE
Les socialistes français sont bel et bien la pire engeance qui soit. Non contents d’avoir été cocus, ils en redemandent en fêtant l’arrivée de ce satrape au pouvoir que fut François Mitterrand, un certain 10 mai 1981. Suprême masochisme de cette génération Mitterrand, c’est le Maître lui-même qui les a auto-dissout. Tout comme il a eu la peau du parti communiste. Il faut bien dire que l’homme de droite qu’il a toujours été – on demeure toujours fidèle à son enfance - avait un sérieux compte à régler avec la gauche et plus encore les gaullistes.
Comme quoi, il faut bien distinguer opinion et ambition. Toute la vie de Mitterrand démontre que sur le fond, il n’a aucune conviction particulière mais une terrible ambition : être en sortant de l’indistinct comme le note très justement Jules Monnerot dans Les lois du tragique (PUF, 1969). Exister, prendre le pouvoir, tel est l’ambition du jeune Mitterrand éduqué chez les « bons pères » et dont toute la jeunesse est placée sous le signe de l’Action française et de Charles Maurras ! Excusez du peu.
Sous Vichy, le voici mordicus collabo au point de faire des pieds et des mains pour se voir décorer de la Francisque. C’est chose faite. Sentant le vent tourner, Mitterrand va aussi tourner – il a comme Edgar Faure un sens inné du vent - et s’invente un passé de résistant en participant à un réseau peu ou prou bidon. A la Libération – sur fond de sanglante épuration à laquelle il échappera grâce à ce viatique de résistant -, il comprend que De Gaulle et les communistes écrasent toute la vie politique française. Enfin, à cette époque surtout de Gaulle, dont notre ami, Henri-Christian Giraud, dans un ouvrage magistral (De Gaulle et les communistes (Perrin, 2020, édition revue et corrigée), nous décrit par le menu les connivences instruites à Londres entre De Gaulle et les cocos. Ce que confirmera d’ailleurs l’étoilé déserteur en 1958 avec son coup d’Etat.
De Gaulle-Mitterrand, deux destins parallèles. Mitterrand comprend dès lors que son destin est à gauche s’il veut satisfaire ses ambitions. Car la droite qu’il a connue, est décapitée pour longtemps et notamment toute cette droite intellectuelle – qu’il adore - qui a tenu le haut du pavé entre les deux guerres. Où sont les Drieu La Rochelle, les Alexandre Marc, les Jean-Pierre Maxence, les Jean de Fabrègues, etc., Disparus dans la nasse du nouveau totalitarisme qu’instaure l’alliance des communistes et des gaullistes. Les prisons regorgent de ces soi-disant « collabos » qui en avaient marre des politicards et escrocs de cette troisième République qui nous a laissé démuni pour ne pas dire à poil face à l’armée allemande en 1940. Mitterrand se faufile entre les balles et entame une carrière politique disons de centre gauche. Et pour se faire la main, il faut magouiller pour entrer au gouvernement, acquérir une légitimité.
Dès 1946, il s’inscrit à l’Union démocratique et socialiste de la Résistance (UDSR) dont il deviendra le président, ce qui lui vaut en 1954 de devenir ministre de l’Intérieur dans le gouvernement Mendès-France qui, par ailleurs, le détestera cordialement. Il se montrera curieusement défenseur de l’Algérie française, « parce que l’Algérie c’est la France ». Pour l’anecdote, Mitterrand défendra Jean-Louis Tixier Vignancour, défenseur de Salan dont il sauva la tête mais aussi comme avocat de Rivarol, au nom d’une vieille amitié noué aux Volontaires nationaux au bon temps du Maréchal. Le même Tixier qui lui renverra l’ascenseur en appelant à voter Mitterrand à la présidentielle de 1965.
Arrivé enfin au pouvoir, grâce à un certain Jacques Chirac qui a flingué en vol Valéry Giscard d’Estaing, Mitterrand va laisser la main à ces socialistes qu’il obligera toutefois à accepter le tournant libéral du régime en nommant Premier ministre Laurent Fabius à la place de Pierre Mauroy qui a allègrement vidé les caisses de l’Etat. Résultat, les boursicoteurs n’ont jamais gagné autant de fric que sous Mitterrand ! Paradoxe ? Non pas. Mitterrand aimait l’argent. Surtout celui des autres ! Raison pour laquelle, voir tous les éclopés du Mitterrandisme fêter leur saint patron nous fait hurler de rire.
Patrick Parment
Sources : Synthèse nationale
Une date, un évènement: Mai 148O, il était une croix par P. Vial
- Détails
- Catégorie : HISTOIRE
La chute de Constantinople, en 1453, sous les coups des Turcs, a fait l'effet d'un coup de tonnerre dans le ciel de l'Europe. L'empire byzantin, qui avait été un rempart contre l'Islam depuis huit siècles, en assumant l'héritage de la tradition romaine (les Byzantins se désignent eux-mêmes, en grec, par le nom de Romaioi, « les Romains » repris dans le monde musulman sous la forme « Roumis », disparaît, submergé par la marée musulmane. Après avoir pénétré dans l'église Sainte-Sophie (c'est-à-dire « Sainte Sagesse »), Mehmet II danse une gigue triomphale sur l'autel avant de transformer l'édifice en mosquée.
Rien ne semble plus pouvoir faire obstacle, en Méditerranée, aux envahisseurs. Et pourtant, tenace, farouche, une résistance s'affirme : celle des chevaliers Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem, installés à Rhodes depuis la chute de la Terre Sainte à la fin du XIIIe siècle. Ils ont mené et continuent de mener une guerre impitoyable, sur mer, contre les Turcs. Ceux-ci, exaspérés par cette poignée d'irréductibles, décident d'en venir à bout. En 1480, Mehmet II concentre aux abords d'Istanbul une formidable armée de 100 000 hommes, confiée à Miseh Pacha.
Celui-ci s'appelle, en fait, Paléologue. Descendant de la célèbre famille impériale byzantine, il a renié le christianisme et fait, du coup, carrière au service des Turcs. Il est secondé par trois autres renégats, Démétrios Sophianos, Antoine Méligale et Georges Frapam, un expert en artillerie. La flotte turque arrive devant Rhodes le 23 mai.
L'île doit son nom (qui signifie « la fleur »), selon la mythologie grecque, à une nymphe, fille de Poséidon, qui s'unit en d'ardentes amours à Hélios. L'île est donc le symbole de l'union du soleil et de la mer. Elle n'en va pas moins connaître de tragiques évènements. Dès qu'a été signalée l'approche des voiles turques, le grand maître des Hospitaliers a mis Rhodes en état d'alerte. Pierre d'Aubusson sait pouvoir compter sur ses chevaliers, qui portent fièrement le manteau noir frappé de la croix blanche. En entrant dans l'ordre ils ont, une fois pour toutes, fait don de leur vie. Leur moral, en acier trempé, est encore conforté par l'arrivée d'un contingent de volontaires venus de France : cinq cents chevaliers et deux mille hommes d'armes, conduits par le frère du grand maître, Antoine d'Aubusson, ancien chambellan de Charles VII puis de Louis XI.
Sitôt débarqués, les Turcs installent de puissantes batteries d'artillerie. Un feu d'enfer est déclenché contre le fort Saint-Nicolas. Le harcèlement dure jusqu'au 9 juin. Les Turcs se lancent alors à l'attaque, misant sur leur écrasante supériorité numérique. Les combats font rage, au corps à corps. Le grand maître est en première ligne, comme il se doit.
Trois assauts ont lieu, jusqu'au 27 juillet. Ce jour-là les Turcs réussissent à prendre pied sur les murailles. Mais le grand maître a donné comme mot d'ordre : « Mourons ici, mes chers frères, plutôt que de reculer ». Il reçoit cinq blessures. Au prix de pertes très sévères, les Hospitaliers restent maîtres de la place. Le flot musulman reflue. Mais Pierre d'Aubusson sait qu'il faudra rester vigilant.
Cinq siècles plus tard, ses mots d'ordre restent d'actualité.
Pierre VIAL
Charles Maurras, le littéraire, le classique, au-delà de la politique !
- Détails
- Catégorie : Littérature
Dans cette vidéo, nous parlerons de Charles Maurras, la grande figure très connue de la droite nationale. Mais nous l’aborderons sous l’angle inédit de son esthétique. Si vous souhaitez en apprendre sur la vie de Maurras, je vous renvoie également à l’excellente biographie de Stéphane Giocanti ou encore à la titanesque œuvre de Pierre Boutang, « Maurras, la destinée et l’œuvre ».
Si vous désirez m’écrire :
Par mail :
Sur Twitter : twitter.com/jeremie_B04
Quand Nietzsche évoquait Napoléon
- Détails
- Catégorie : HISTOIRE
En ces jours particuliers, citons ce bel extrait de Nietzsche à propos de Napoléon. En contrepoint aux discours convenus, un texte aux antipodes de l’esprit du temps.
« Notre foi en une virilisation de l’Europe. – C’est à Napoléon (et nullement à la Révolution française qui cherchait la « fraternité » entre les peuples et les universelles effusions fleuries) que nous devons de pouvoir pressentir maintenant une suite de quelques siècles guerriers, qui n’aura pas son égale dans l’histoire, en un mot, d’être entrés dans l’âge classique de la guerre, de la guerre scientifique et en même temps populaire, de la guerre faite en grand (de par les moyens, les talents et la discipline qui y seront employés). Tous les siècles à venir jetteront sur cet âge de perfection un regard plein d’envie et de respect : – car le mouvement national dont sortira cette gloire guerrière n’est que le contre-coup de l’effort de Napoléon et n’existerait pas sans Napoléon.
C’est donc à lui que reviendra un jour l’honneur d’avoir refait un monde dans lequel l’homme, le guerrier en Europe, l’emportera, une fois de plus, sur le commerçant et le « philistin » ; peut-être même sur la « femme » cajolée par le christianisme et l’esprit enthousiaste du dix-huitième siècle, plus encore par les « idées modernes ».
Napoléon, qui voyait dans les idées modernes et, en général, dans la civilisation, quelque chose comme un ennemi personnel, a prouvé, par cette hostilité, qu’il était un des principaux continuateurs de la Renaissance : il a remis en lumière toute une face du monde antique, peut-être la plus définitive, la face de granit. Et qui sait si, grâce à elle, l’héroïsme antique ne finira pas quelque jour par triompher du mouvement national, s’il ne se fera pas nécessairement l’héritier et le continuateur de Napoléon : – de Napoléon qui voulait, comme on sait, l’Europe Unie pour qu’elle fût la maîtresse du monde. »
Frédéric Nietzsche Le Gai savoir §362
Sources : Breizh-info.com, 2021.
Il n’y avait pas un bon et un mauvais Céline : il y avait Céline, un point c’est tout!
- Détails
- Catégorie : Littérature
« La postérité est surtout exigeante pour son hypocrisie.» Une hypocrisie qui, comme l'écrit Pol Vandromme, les conduit à mesurer les artistes avec la lentille du moralisme, à la myopie qui regarde le passé, ou pire l'art, avec les yeux du présent. Laisser de côté la grande littérature pour des raisons politiques, sans se soucier du style, de l'œuvre, voilà de quoi il retourne. Même si, trop souvent, une mauvaise écriture a été pardonnée au nom d'une mauvaise politique. Cependant, Vandromme, critique belge et cosmopolite, n'était pas affecté par ces myopies et consacrait son activité à la diffusion d'auteurs gênants, dont les grandes œuvres ne pouvaient être éclipsées par des moralismes. Parmi eux, Louis Ferdinand Céline, raconté dans un splendide essai du même nom publié par ITALIA STORICA, sous la direction d'Andrea Lombardi. Un essai nécessaire pour connaître ce maudit auteur capable d'écrire les grands chefs-d'œuvre du vingtième siècle, comme Voyage ou Nord. Un auteur réadmis trop tard, et partiellement seulement, au Panthéon des Lettres, tiraillé entre la thèse du bon Céline des premiers romans et du mauvais Céline des pamphlets et de la trilogie allemande.
Vandromme parvient à mettre en évidence comment, cependant, cette différence n'est qu'apparente, comment les pamphlets, inexcusables et déplorables par leur contenu, ne peuvent être séparés de la personnalité et du style de cet Ezéchiel parisien, puisque « les romans racontent la peur, les pamphlets cherchent à la détruire », mais les uns comme les autres sont les enfants de la même atmosphère et du même monde. Un monde dont le thème fondamental est la peur, qui est exacerbée, déformée, créant des monstres, créant des rêves d'obsessions. Des obsessions qui sont le lent présage de la mort, de la dissolution. D'une condition de putréfaction et de fin dont Céline s'illusionne pour s'en sortir grâce aux exorcismes de ses pages. Une peur que l'on retrouve dans tous les textes de Céline et qui se manifeste par la « dénonciation de l'imposture contemporaine, du long combat victorieux que la décadence menait contre l'instinct de l'espèce ». Une dénonciation qui devient un réquisitoire contre la guerre, comme la prophétie de la mort. Une mort qui est « la seule vérité de la vie », pour laquelle la guerre est une tragédie, un crime humanitaire sans « si » ni « mais ». Une description de la condition existentielle amplifiée par un langage expressionniste et déformant, qui plonge dans les abîmes de l'âme humaine, voyant ses monstruosités, ses petitesses. La création de personnages parmi les plus vrais de la littérature et un style qui parvient à devenir porteur d'un nouveau naturel. Un naturel qui bouleverse le langage et en fait le grand mégaphone des émotions. En le transformant en un discours artificiel et vrai. De la petite musique qui fait bouger l'âme des ténèbres et de la nuit.
La couleur des fantasmagories absurdes de Guignol’s Band et de Mort à crédit, de la liquéfaction du mot, de la fragmentation et du délire. Qui raconte la foule solitaire, le crépuscule halluciné du colonialisme, le désert de la guerre, la rage du bombardement, de Voyage a Nord. Vandromme vivisectionne le langage, les thèmes et les masques de l'œuvre de Céline, entre l'imminence de la peur, la destruction de la guerre et l'innovation linguistique. Récit de ce chroniqueur et styliste de la décadence, entre l'ironie de Swift et le cynisme de La Rochefoucauld. Réaliser l'exégèse de romans et de pamphlets, évalués à la lumière de leur validité stylistique, en considérant toujours l'horreur de son contenu. En nous disant que « nous ne devons pas avoir peur de ses livres ». La société littéraire doit être capable de supporter tous les scandales et toutes les folies, d'avaler ses œuvres et de digérer ses mesquineries. « D'autre part, comme le disait Arbasino, « l'œuvre d'art s'écrit elle-même ». Et il parle le langage du style et de l'émotion.
Francesco Subiaco.
SOURCE: https://culturaidentita.it/non-cera-un-celine-buono-e-uno...
Mémorisation du Futhark PAR HALFDAN REKKIRSSON - 4.
- Détails
- Catégorie : Traditions
Les poèmes runiques anglo-saxons et islandais nous ont énormément appris sur les runes. En l’occurrence, ils sont une preuve que les anciens avaient développé grâce à une très riche poésie, des techniques de mémorisation et d'apprentissage des valeurs de chaque rune. Ici, H. Rekkirsson propose une mnémotechnique pour apprendre les runes du futhark dans l'ordre, leurs sons, noms et quelques aspects de leurs valeurs symboliques.
Le survivalisme en question
- Détails
- Catégorie : ACTUALITE
L’enlèvement de la jeune Mia, le 13 avril dernier, dans les Vosges par des proches de sa mère permet au Système médiatique de dénoncer gratuitement la constellation survivaliste. L’arrestation, quelques jours plus tard, de la mère de Mia et de ses complices supposés autorise la Grasse Presse subventionnée à poursuivre les amalgames grossiers. La mise en cause par le Parquet d’Épinal d’un individu interlope dont les initiatives douteuses ont été mises en lumière dans le n° 491 de l’excellente lettre confidentielle Faits & Documents des 15 au 30 novembre 2020 invite à prendre de la hauteur par rapport à ce fait-divers monté volontairement en épingle.
Cette regrettable affaire familiale sert de prétexte pour une large entreprise de manipulation psychologique auprès de l’opinion. Observons cette manœuvre magistrale d’intoxication mentale en deux temps. Depuis les Gilets jaunes, la caste au pouvoir vit dans la crainte d’une reprise de ce vaste mouvement populaire, hélas !, inorganisé. Les nombreuses restrictions liberticides prises officiellement pour contrer la pandémie covidesque sont en réalité des rétorsions implicites envers une population rétive ou circonspecte envers le capitalisme de surveillance globale.
À l’approche de l’élection présidentielle, la caste dirigeante craint l’émergence d’un candidat hors système et anti-Système capable de tout balayer sur son passage. Elle garde dans un coin de son esprit l’excellente série Baron noir. Ses scénaristes finissent la première saison tournée en 2015 par la démission du président socialiste. Ils commencent la deuxième saison tournée en 2017 par l’élection à l’Élysée de la candidate socialiste novice qui n’hésite pas à gouverner avec les centristes. Dans la troisième saison, ils mettent en avant un professeur de SVT, chantre du tirage au sort et vedette sur Internet, qui réunit autour de sa candidature les dissidents de la Droite nationale et de la gauche radicale.
Il s’agit pour le Régime d’empêcher que cette fiction politique se réalise en 2022, d’où la mise en évidence négative d’une grande gueule sur la Toile qui vivrait en Extrême-Orient. L’emploi par les journalistes officiels d’une argumentation psychiatrique et « secticide » digne de l’URSS de Brejnev à son encontre participe à cette vaste opération de disqualification médiatique. Le Système cherche ensuite à noircir le survivalisme et à faire passer ses pratiquants pour de doux dingues ou des tarés extrémistes. Les ouvrages de Piero San Giorgio ne sont bien sûr jamais cités, car ils contrecarrent la narration médiatique fallacieuse.
Pour faire simple, le survivalisme se formalise dans les années 1970 en Amérique du Nord à un moment où le risque d’une guerre nucléaire entre l’Est et l’Ouest paraît inévitable. Bien des romans, des films, des nouvelles et des feuilletons de science-fiction décrivent le monde d’après les explosions atomiques. Donald Eugene Sisco alias Kurt Saxon qui navigue entre différents milieux nationalistes, libertariens et satanistes appelle dans ses livres et au cours de ses conférences à se préparer à n’importe quelle catastrophe afin de survivre. Au fil des décennies, en se répandant en Occident, le survivalisme prend selon les moments et les endroits une coloration politique gauchiste ou écologiste radicale.
On distingue aujourd’hui six principaux profils issus de cette mouvance hétérogène. Les plus connus sont les autonomes zadistes qui s’élèvent plus ou moins avec raison à Boyron ou à Notre-Dame-des-Landes contre des projets inutiles et coûteux. Sous le patronage de l’ancien ministre Vert Yves Cochet, les collapsologues envisagent la fin prochaine de la civilisation techno-industrielle en se fondant sur les postulats d’une nouvelle science : la collapsologie. Les plus modérés sont les adeptes de la « survie douce ». Ce sont les habitués des stages de survie en pleine nature. Un député LREM veut légiférer sur ces stages et leurs participants. De quoi ose-t-il se mêler ? Les « preppers » se préparent à un quotidien post-catastrophique proche des films Mad Max II et III. Il y a enfin, théorisée par Michel Drac et Serge Ayoub, la BAD ou « base autonome durable ». Le badiste ne cache pas son engagement identitaire européen. Il veut assurer la pérennité de son clan au sein de communautés enracinées et écologiquement armées. L’essayiste catholique identitaire radical Julien Langella partage ce point de vue salutaire.
Divers, le survivalisme ne rentre pas par conséquent dans le moule confortable des certitudes médiatiques et universitaires. On comprend mieux pourquoi le Régime s’en méfie tant. Des braves gens qui pensent par eux-mêmes ne peuvent avoir que des intentions maléfiques...
Georges FELTIN-TRACOL
Sources: http://www.europemaxima.com – Euro Synergies
La CEDH sous influence de George Soros ?
- Détails
- Catégorie : MONDIALISME
Une idéologie dominante derrière la Cour européenne des droits de l'Homme ? D'après un rapport réalisé par l'ECJL et Gregor Puppinck juriste à la CEDH, de nombreux juges de cette juridiction seraient affiliés à la très idéologique #OpenSociety.
- la nuit de Walpurgis
- De quoi l'art contemporain est-il le nom? Le « big reset » a déjà eu lieu en 1917!
- LA ROMANITE par FRANZ ALTHEIM
- Tenhi - Sees
- I-Média n°341 – Joe Biden : double discours et sénilité ?
- Parution du N° 56 du magazine des Amis de Jean Mabire
- Tribune des généraux : fake news, putsch et coup d'État
- Symbolique des fêtes de Mai: Les feux de Beltaine
- La fête de Beltaine par Hathuwolf Harson
- LA FETE DE BELTAINE
Page 582 sur 762